En cette année de 60e anniversaire de la création des Doors, Paris s’apprête à rendre un vibrant hommage à Jim Morrison. Une passerelle enjambant le bassin de l’Arsenal, près de la place de la Bastille, sera prochainement rebaptisée au nom du légendaire chanteur. Un geste fort de la part de la capitale française, dernière demeure de l’icône du rock.
Un nouveau lieu de pèlerinage pour les fans
Avec cette passerelle Jim Morrison, c’est un nouveau repère qui s’ajoute à la géographie parisienne du chanteur. Sa tombe au cimetière du Père-Lachaise, protégée par des barrières pour contenir l’ardeur des admirateurs, reste le point d’orgue de tout pèlerinage. Les fans les plus avertis connaissent également son dernier appartement, situé rue Beautreillis dans le Marais, ainsi que les quais de Seine où il aimait flâner au milieu des bouquinistes.
Bientôt nous pourrons passer du 4e au 12e au-dessus du bassin de l’Arsenal par la passerelle qui prend le nom de Jim Morrison en cette année de 60e anniversaire de la création des Doors.
Laurence Patrice, adjointe à la mairie de Paris en charge de la mémoire
Morrison, éternel enfant terrible du rock
Mort à seulement 27 ans, Jim Morrison a brûlé sa vie par les deux bouts, laissant derrière lui l’image d’un poète maudit et d’un rockeur scandaleux. Avec les Doors, il a révolutionné le rock psychédélique de la fin des années 60, enchaînant les tubes comme « Light My Fire », « Riders on the Storm » ou « People Are Strange ». Mais c’est aussi pour ses frasques et ses provocations que le « Roi Lézard » est entré dans la légende.
Les derniers jours parisiens de Morrison
Lassé par sa célébrité, Morrison s’était installé à Paris en mars 1971, rejoignant sa compagne Pamela Courson. Le couple vivait dans un appartement du Marais, où le chanteur tentait de se consacrer à la poésie. Mais son mode de vie dissolu et sa santé fragile auront raison de lui. Le 3 juillet 1971, Pamela retrouve Jim inanimé dans la baignoire. La thèse officielle conclut à une crise cardiaque, mais les circonstances exactes de sa mort restent mystérieuses, alimentant rumeurs et fantasmes.
L’hypothèse de l’overdose au Rock’n’Roll Circus
Depuis quelques années, une autre version s’est fait entendre. Selon le journaliste Sam Bernett, Morrison serait en réalité décédé d’une overdose dans les toilettes d’une boîte de nuit, le Rock’n’Roll Circus, puis ramené chez lui pour maquiller sa mort. Une hypothèse qui repose sur des témoignages invérifiables, mais qui montre à quel point le destin tragique de Morrison continue de fasciner, près de 50 ans après sa disparition.
Paris, éternelle muse des rockeurs
Avec cet hommage à Jim Morrison, Paris confirme son statut de capitale du rock. De nombreux artistes ont puisé leur inspiration dans ses rues, ses cafés, sa vie nocturne. Des Rolling Stones à David Bowie en passant par Serge Gainsbourg ou Patti Smith, ils sont nombreux à avoir fait de Paris leur terrain de jeu et de création. La passerelle Jim Morrison est une nouvelle preuve de cette histoire d’amour entre la Ville Lumière et les enfants terribles du rock.
Un anniversaire en fanfare pour les Doors
2025 marque les 60 ans de la formation des Doors, un moment charnière dans l’histoire du rock. Pour célébrer cette date, les hommages se multiplient à travers le monde, entre rééditions, documentaires et concerts de tribute. Mais c’est à Paris, là où s’est éteint son leader charismatique, que la mémoire du groupe est peut-être la plus vive.
Jim Morrison a fait de Paris le lieu de ses dernières inspirations.
Laurence Patrice, adjointe à la mairie de Paris en charge de la mémoire
En donnant le nom de Jim Morrison à cette passerelle parisienne, la capitale offre aux fans un nouveau lieu pour se recueillir et se souvenir. Un pont entre le Paris d’aujourd’hui et le Paris de Jim Morrison, entre la réalité et le mythe. Car plus qu’un simple chanteur, c’est une véritable légende que la ville lumière célèbre à travers ce geste : celle d’un poète maudit, d’une rock star flamboyante et d’une idole à jamais liée au destin de Paris.
Mort à seulement 27 ans, Jim Morrison a brûlé sa vie par les deux bouts, laissant derrière lui l’image d’un poète maudit et d’un rockeur scandaleux. Avec les Doors, il a révolutionné le rock psychédélique de la fin des années 60, enchaînant les tubes comme « Light My Fire », « Riders on the Storm » ou « People Are Strange ». Mais c’est aussi pour ses frasques et ses provocations que le « Roi Lézard » est entré dans la légende.
Les derniers jours parisiens de Morrison
Lassé par sa célébrité, Morrison s’était installé à Paris en mars 1971, rejoignant sa compagne Pamela Courson. Le couple vivait dans un appartement du Marais, où le chanteur tentait de se consacrer à la poésie. Mais son mode de vie dissolu et sa santé fragile auront raison de lui. Le 3 juillet 1971, Pamela retrouve Jim inanimé dans la baignoire. La thèse officielle conclut à une crise cardiaque, mais les circonstances exactes de sa mort restent mystérieuses, alimentant rumeurs et fantasmes.
L’hypothèse de l’overdose au Rock’n’Roll Circus
Depuis quelques années, une autre version s’est fait entendre. Selon le journaliste Sam Bernett, Morrison serait en réalité décédé d’une overdose dans les toilettes d’une boîte de nuit, le Rock’n’Roll Circus, puis ramené chez lui pour maquiller sa mort. Une hypothèse qui repose sur des témoignages invérifiables, mais qui montre à quel point le destin tragique de Morrison continue de fasciner, près de 50 ans après sa disparition.
Paris, éternelle muse des rockeurs
Avec cet hommage à Jim Morrison, Paris confirme son statut de capitale du rock. De nombreux artistes ont puisé leur inspiration dans ses rues, ses cafés, sa vie nocturne. Des Rolling Stones à David Bowie en passant par Serge Gainsbourg ou Patti Smith, ils sont nombreux à avoir fait de Paris leur terrain de jeu et de création. La passerelle Jim Morrison est une nouvelle preuve de cette histoire d’amour entre la Ville Lumière et les enfants terribles du rock.
Un anniversaire en fanfare pour les Doors
2025 marque les 60 ans de la formation des Doors, un moment charnière dans l’histoire du rock. Pour célébrer cette date, les hommages se multiplient à travers le monde, entre rééditions, documentaires et concerts de tribute. Mais c’est à Paris, là où s’est éteint son leader charismatique, que la mémoire du groupe est peut-être la plus vive.
Jim Morrison a fait de Paris le lieu de ses dernières inspirations.
Laurence Patrice, adjointe à la mairie de Paris en charge de la mémoire
En donnant le nom de Jim Morrison à cette passerelle parisienne, la capitale offre aux fans un nouveau lieu pour se recueillir et se souvenir. Un pont entre le Paris d’aujourd’hui et le Paris de Jim Morrison, entre la réalité et le mythe. Car plus qu’un simple chanteur, c’est une véritable légende que la ville lumière célèbre à travers ce geste : celle d’un poète maudit, d’une rock star flamboyante et d’une idole à jamais liée au destin de Paris.
