Qui n’a jamais dû finir une bouteille d’eau à la hâte ou fourrer des produits de beauté dans un sachet plastique avant de passer les contrôles de sûreté à l’aéroport, en croisant les doigts pour ne pas dépasser les fameux 100 ml autorisés en cabine ? Si cette règle draconienne, mise en place en 2006 comme mesure antiterroriste, reste la norme dans la plupart des aéroports, saviez-vous qu’il existe une exception française bien gourmande ?
Pâtés, foie gras et haricots tarbais exonérés à Tarbes-Lourdes
Direction l’aéroport de Tarbes-Lourdes-Pyrénées, 20e plateforme tricolore avec près de 600 000 passagers en 2022. Ici, de grands panneaux au niveau des contrôles de sûreté annoncent fièrement que “sont autorisés localement : terrines et bocaux > 100 ml, si conditionnement dans des pots en verre non opaques de 1 litre maximum”. Une dérogation qui concerne des produits emblématiques du terroir comme les pâtés, le foie gras, la garbure ou encore les haricots tarbais.
Cette mesure exceptionnelle a été mise en place à la demande de l’exploitant de l’aéroport, afin de soutenir les producteurs locaux en leur offrant une visibilité accrue et en facilitant l’exportation de leurs spécialités via les voyageurs. D’autres aéroports régionaux pourraient théoriquement solliciter des exemptions similaires auprès des autorités aéroportuaires.
L’eau de Lourdes soumise à la règle
Vers un assouplissement généralisé en Europe ?
Mais les progrès technologiques pourraient bientôt changer la donne pour tous les liquides. Plusieurs grands aéroports européens comme Londres-City, Amsterdam-Schiphol ou Rome-Fiumicino testent actuellement de nouveaux scanners 3D capables de différencier les liquides dangereux des produits anodins. Une petite révolution qui pourrait assouplir la limite des 100 ml à l’horizon 2024, en commençant par la possibilité de transporter jusqu’à deux litres.
En attendant cette potentielle évolution réglementaire, les accros au foie gras et autres douceurs du Sud-Ouest transitant par Tarbes-Lourdes peuvent déjà s’envoler l’esprit léger, leurs précieux bocaux en cabine. Et si d’aventure vous voyagez avec de l’eau bénite, vérifiez bien sa contenance !
Vers un assouplissement généralisé en Europe ?
Mais les progrès technologiques pourraient bientôt changer la donne pour tous les liquides. Plusieurs grands aéroports européens comme Londres-City, Amsterdam-Schiphol ou Rome-Fiumicino testent actuellement de nouveaux scanners 3D capables de différencier les liquides dangereux des produits anodins. Une petite révolution qui pourrait assouplir la limite des 100 ml à l’horizon 2024, en commençant par la possibilité de transporter jusqu’à deux litres.
En attendant cette potentielle évolution réglementaire, les accros au foie gras et autres douceurs du Sud-Ouest transitant par Tarbes-Lourdes peuvent déjà s’envoler l’esprit léger, leurs précieux bocaux en cabine. Et si d’aventure vous voyagez avec de l’eau bénite, vérifiez bien sa contenance !
Gare toutefois à ne pas généraliser : si les terrines passent les contrôles à Tarbes, l’eau bénite ramenée d’un pèlerinage à Lourdes reste, elle, soumise aux restrictions habituelles. Pas plus de 100 ml du précieux liquide en cabine donc, “afin d’éviter tout désagrément” comme le précise le site de l’aéroport. Pour transporter de plus grandes quantités, mieux vaut la placer en soute ou opter pour des contenants spéciaux.
Vers un assouplissement généralisé en Europe ?
Mais les progrès technologiques pourraient bientôt changer la donne pour tous les liquides. Plusieurs grands aéroports européens comme Londres-City, Amsterdam-Schiphol ou Rome-Fiumicino testent actuellement de nouveaux scanners 3D capables de différencier les liquides dangereux des produits anodins. Une petite révolution qui pourrait assouplir la limite des 100 ml à l’horizon 2024, en commençant par la possibilité de transporter jusqu’à deux litres.
En attendant cette potentielle évolution réglementaire, les accros au foie gras et autres douceurs du Sud-Ouest transitant par Tarbes-Lourdes peuvent déjà s’envoler l’esprit léger, leurs précieux bocaux en cabine. Et si d’aventure vous voyagez avec de l’eau bénite, vérifiez bien sa contenance !
Gare toutefois à ne pas généraliser : si les terrines passent les contrôles à Tarbes, l’eau bénite ramenée d’un pèlerinage à Lourdes reste, elle, soumise aux restrictions habituelles. Pas plus de 100 ml du précieux liquide en cabine donc, “afin d’éviter tout désagrément” comme le précise le site de l’aéroport. Pour transporter de plus grandes quantités, mieux vaut la placer en soute ou opter pour des contenants spéciaux.
Vers un assouplissement généralisé en Europe ?
Mais les progrès technologiques pourraient bientôt changer la donne pour tous les liquides. Plusieurs grands aéroports européens comme Londres-City, Amsterdam-Schiphol ou Rome-Fiumicino testent actuellement de nouveaux scanners 3D capables de différencier les liquides dangereux des produits anodins. Une petite révolution qui pourrait assouplir la limite des 100 ml à l’horizon 2024, en commençant par la possibilité de transporter jusqu’à deux litres.
En attendant cette potentielle évolution réglementaire, les accros au foie gras et autres douceurs du Sud-Ouest transitant par Tarbes-Lourdes peuvent déjà s’envoler l’esprit léger, leurs précieux bocaux en cabine. Et si d’aventure vous voyagez avec de l’eau bénite, vérifiez bien sa contenance !