C’est un véritable coup de tonnerre diplomatique qui vient de retentir à Washington. Fraîchement investi dans ses fonctions, le nouveau président américain Donald Trump a pour la première fois mis la pression sur son homologue russe Vladimir Poutine. Son message est clair : trouver rapidement un « accord » pour « mettre fin à la guerre » qui fait rage en Ukraine depuis près de 3 ans maintenant. Faute de quoi, a averti Trump, la Russie risque ni plus ni moins que d’être « détruite ».
Trump veut en finir avec le conflit ukrainien
Dès son arrivée à la Maison Blanche, le milliardaire républicain avait affirmé à plusieurs reprises qu’il comptait rencontrer Poutine au plus vite pour « en finir » avec cette guerre, déclenchée par l’invasion russe de l’Ukraine le 24 février 2022. De retour dans le Bureau ovale pour signer ses premiers décrets, Trump a réaffirmé sa volonté de « parler au président Poutine », estimant que ce dernier « sera très satisfait de mettre fin à cette guerre ».
Mais cette fois, le ton a changé. Pour la première fois, le président américain a clairement fait peser la menace de lourdes conséquences sur la Russie si elle refusait de négocier un cessez-le-feu ou un accord de paix avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky. Jugeant que Poutine était « en train de détruire la Russie en ne trouvant pas un règlement », Trump a pointé du doigt les difficultés économiques et l’inflation galopante qui frappe le pays.
Zelensky prêt à un accord, qu’en est-il de Poutine ?
Selon Donald Trump, « Zelensky veut passer un accord ». Mais le président américain s’est montré plus dubitatif quant à la volonté réelle du maître du Kremlin d’y parvenir. « Je ne sais pas si Poutine le souhaite, peut-être pas », a-t-il lâché devant la presse, avant de souligner que le conflit, qui devait initialement se régler « en une semaine » d’après Moscou, en était déjà à « trois années ».
Les conditions de Poutine pour la paix
Reste à savoir sur quelles bases un éventuel accord pourrait être trouvé. Car les positions des deux camps semblent pour l’heure difficilement conciliables. Si Donald Trump appelle à un « cessez-le-feu immédiat » et à des « pourparlers », Vladimir Poutine exige toujours la reddition de l’Ukraine, son renoncement à rejoindre l’Otan et l’abandon des territoires annexés par Moscou.
La paix passera par la force
Volodymyr Zelensky, président ukrainien
Dans un message sur X (ex-Twitter), le président Zelensky a estimé que la « politique de paix par la force » prônée par son homologue américain « offr[ait] l’occasion de renforcer le leadership américain et de parvenir à une paix juste et durable », sa « priorité absolue ». Une référence à peine voilée aux critiques formulées pendant la campagne par Donald Trump envers les dizaines de milliards de dollars d’aide militaire et économique déversés par l’administration Biden.
Un conflit aux lourdes pertes humaines
Présenté par le Kremlin comme un affrontement existentiel avec Washington et ses alliés européens, le conflit ukrainien a d’ores et déjà fait des ravages des deux côtés du front. Si les pertes exactes sont difficiles à vérifier, le bilan humain se chiffrerait en centaines de milliers de morts et de blessés dans les deux camps selon diverses estimations.
Face à une armée ukrainienne affaiblie qui manque de moyens, la Russie a lentement mais sûrement gagné du terrain ces derniers mois. L’issue de ce bras de fer diplomatique entre la Maison Blanche et le Kremlin sera donc cruciale pour déterminer la suite du conflit. Les prochaines semaines s’annoncent décisives.
Les conditions de Poutine pour la paix
Reste à savoir sur quelles bases un éventuel accord pourrait être trouvé. Car les positions des deux camps semblent pour l’heure difficilement conciliables. Si Donald Trump appelle à un « cessez-le-feu immédiat » et à des « pourparlers », Vladimir Poutine exige toujours la reddition de l’Ukraine, son renoncement à rejoindre l’Otan et l’abandon des territoires annexés par Moscou.
La paix passera par la force
Volodymyr Zelensky, président ukrainien
Dans un message sur X (ex-Twitter), le président Zelensky a estimé que la « politique de paix par la force » prônée par son homologue américain « offr[ait] l’occasion de renforcer le leadership américain et de parvenir à une paix juste et durable », sa « priorité absolue ». Une référence à peine voilée aux critiques formulées pendant la campagne par Donald Trump envers les dizaines de milliards de dollars d’aide militaire et économique déversés par l’administration Biden.
Un conflit aux lourdes pertes humaines
Présenté par le Kremlin comme un affrontement existentiel avec Washington et ses alliés européens, le conflit ukrainien a d’ores et déjà fait des ravages des deux côtés du front. Si les pertes exactes sont difficiles à vérifier, le bilan humain se chiffrerait en centaines de milliers de morts et de blessés dans les deux camps selon diverses estimations.
Face à une armée ukrainienne affaiblie qui manque de moyens, la Russie a lentement mais sûrement gagné du terrain ces derniers mois. L’issue de ce bras de fer diplomatique entre la Maison Blanche et le Kremlin sera donc cruciale pour déterminer la suite du conflit. Les prochaines semaines s’annoncent décisives.
Une chose est sûre : Donald Trump entend bien jouer de sa proximité revendiquée avec Vladimir Poutine pour tenter d’influer sur le cours de la guerre. « Je m’entends très bien avec lui et j’espère qu’il veut passer un accord », a affirmé celui qui prône une diplomatie transactionnelle. De son côté, le Kremlin s’est dit « ouvert au contact » avec le nouveau président américain, sans « conditions préalables ».
Les conditions de Poutine pour la paix
Reste à savoir sur quelles bases un éventuel accord pourrait être trouvé. Car les positions des deux camps semblent pour l’heure difficilement conciliables. Si Donald Trump appelle à un « cessez-le-feu immédiat » et à des « pourparlers », Vladimir Poutine exige toujours la reddition de l’Ukraine, son renoncement à rejoindre l’Otan et l’abandon des territoires annexés par Moscou.
La paix passera par la force
Volodymyr Zelensky, président ukrainien
Dans un message sur X (ex-Twitter), le président Zelensky a estimé que la « politique de paix par la force » prônée par son homologue américain « offr[ait] l’occasion de renforcer le leadership américain et de parvenir à une paix juste et durable », sa « priorité absolue ». Une référence à peine voilée aux critiques formulées pendant la campagne par Donald Trump envers les dizaines de milliards de dollars d’aide militaire et économique déversés par l’administration Biden.
Un conflit aux lourdes pertes humaines
Présenté par le Kremlin comme un affrontement existentiel avec Washington et ses alliés européens, le conflit ukrainien a d’ores et déjà fait des ravages des deux côtés du front. Si les pertes exactes sont difficiles à vérifier, le bilan humain se chiffrerait en centaines de milliers de morts et de blessés dans les deux camps selon diverses estimations.
Face à une armée ukrainienne affaiblie qui manque de moyens, la Russie a lentement mais sûrement gagné du terrain ces derniers mois. L’issue de ce bras de fer diplomatique entre la Maison Blanche et le Kremlin sera donc cruciale pour déterminer la suite du conflit. Les prochaines semaines s’annoncent décisives.
Une chose est sûre : Donald Trump entend bien jouer de sa proximité revendiquée avec Vladimir Poutine pour tenter d’influer sur le cours de la guerre. « Je m’entends très bien avec lui et j’espère qu’il veut passer un accord », a affirmé celui qui prône une diplomatie transactionnelle. De son côté, le Kremlin s’est dit « ouvert au contact » avec le nouveau président américain, sans « conditions préalables ».
Les conditions de Poutine pour la paix
Reste à savoir sur quelles bases un éventuel accord pourrait être trouvé. Car les positions des deux camps semblent pour l’heure difficilement conciliables. Si Donald Trump appelle à un « cessez-le-feu immédiat » et à des « pourparlers », Vladimir Poutine exige toujours la reddition de l’Ukraine, son renoncement à rejoindre l’Otan et l’abandon des territoires annexés par Moscou.
La paix passera par la force
Volodymyr Zelensky, président ukrainien
Dans un message sur X (ex-Twitter), le président Zelensky a estimé que la « politique de paix par la force » prônée par son homologue américain « offr[ait] l’occasion de renforcer le leadership américain et de parvenir à une paix juste et durable », sa « priorité absolue ». Une référence à peine voilée aux critiques formulées pendant la campagne par Donald Trump envers les dizaines de milliards de dollars d’aide militaire et économique déversés par l’administration Biden.
Un conflit aux lourdes pertes humaines
Présenté par le Kremlin comme un affrontement existentiel avec Washington et ses alliés européens, le conflit ukrainien a d’ores et déjà fait des ravages des deux côtés du front. Si les pertes exactes sont difficiles à vérifier, le bilan humain se chiffrerait en centaines de milliers de morts et de blessés dans les deux camps selon diverses estimations.
Face à une armée ukrainienne affaiblie qui manque de moyens, la Russie a lentement mais sûrement gagné du terrain ces derniers mois. L’issue de ce bras de fer diplomatique entre la Maison Blanche et le Kremlin sera donc cruciale pour déterminer la suite du conflit. Les prochaines semaines s’annoncent décisives.
