La France sous le choc. Mercredi 5 juin, un drame a secoué la paisible commune de La Tour en Haute-Savoie. Un mineur isolé hébergé dans un centre d’accueil local a poignardé son éducateur avant de mettre le feu à la villa et de se retourner contre les gendarmes, les contraignant à faire usage de leurs armes. Face à cet acte d’une violence inouïe, le maire de la commune voisine de Saint-Jeoire, Antoine Valentin, a décidé de prendre la parole pour alerter sur les dangers de la politique migratoire actuelle. Son cri d’alarme résonne comme un appel à un sursaut national face à une situation explosive.
Un élu ancré dans la réalité du terrain
En tant que maire d’une commune rurale directement concernée par l’accueil de migrants, Antoine Valentin a une vision claire et sans concession de la situation. Loin des discours parisiens, il est confronté au quotidien aux conséquences concrètes d’une immigration de masse devenue incontrôlable. Pour lui, les élus locaux sont les mieux placés pour constater “la faillite progressive mais certaine de notre modèle de société”.
La responsabilité de l’exécutif pointée du doigt
Dans une tribune publiée suite au drame, le maire n’hésite pas à pointer la responsabilité de l’exécutif. Il dénonce son inaction face à une immigration massive, mais aussi le manque cruel de moyens alloués aux structures chargées d’accueillir et d’accompagner les migrants. “Si ce migrant était déséquilibré, que faisait-il libre et en colocation dans une villa ?” interroge-t-il, mettant en lumière les failles béantes du système.
En répartissant les migrants sur l’ensemble du territoire, l’exécutif disperse des barils de poudre.
– Antoine Valentin, maire de Saint-Jeoire
L’ensauvagement gagne les campagnes
Pour Antoine Valentin, cet évènement dramatique n’est que la partie émergée d’un iceberg bien plus vaste. Depuis le début de son mandat, il a pris conscience que l’ensauvagement de la société n’épargnait pas les zones rurales. Une tendance d’autant plus préoccupante que les effectifs de gendarmerie se réduisent comme peau de chagrin, aspirés par les besoins croissants des zones urbaines. Déjà en 2021, il avait alerté dans une tribune sur les risques de délinquance et de terrorisme islamiste pesant sur les petites communes, s’attirant les foudres de sa hiérarchie.
Un cri d’alarme pour un sursaut national
Au-delà du drame humain, cet évènement doit servir d’électrochoc. Il met en lumière les conséquences désastreuses d’une politique migratoire irresponsable et déconnectée des réalités. En dispersant les migrants dans des centres sous-équipés aux quatre coins du pays, le gouvernement met en danger la sécurité de tous les Français. Il est plus que temps de revoir en profondeur cette stratégie et de donner aux territoires les moyens d’assurer la sécurité et la cohésion sociale.
Le cri d’alarme d’Antoine Valentin ne doit pas rester lettre morte. Il appelle à une prise de conscience collective et à des actes forts pour endiguer une immigration incontrôlée qui menace chaque jour un peu plus notre modèle de société. Les attaques au couteau de La Tour doivent marquer un tournant : celui d’une reprise en main courageuse et déterminée de notre destin collectif. À nous tous de répondre présents à cet enjeu crucial pour l’avenir de notre pays.
