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Réforme des Retraites en Péril : La Droite Menace de Quitter le Gouvernement

La réforme des retraites divise le gouvernement Bayrou. La droite pose un ultimatum : pas question de suspendre le projet. Un bras de fer qui menace la stabilité de l'exécutif. Jusqu'où ira la crise ?

En pleine tempête autour de la réforme des retraites, le gouvernement Bayrou fait face à un ultimatum de la droite. Invitée sur France Inter ce lundi, Valérie Pécresse, présidente LR de la région Île-de-France, a prévenu : si le projet est suspendu, «la droite ne pourra plus participer au gouvernement». Une menace qui fait monter la pression sur un exécutif déjà fragilisé.

La Droite Refuse une Réforme « Démagogique »

Pour Valérie Pécresse, revenir sur le report de l’âge de départ à 64 ans serait « le triomphe de la démagogie et de l’irresponsabilité ». Elle dénonce des partis politiques « qui disent aux Français ce qu’ils ont envie d’entendre » plutôt que de défendre les « valeurs de responsabilité » chères à la droite.

Un retour en arrière hypothétique qui risquerait de faire imploser le « socle commun » sur lequel s’appuyait le prédécesseur de François Bayrou, Michel Barnier. « Dans ces conditions surtout, la droite ne peut plus participer à ce gouvernement », a martelé l’ex-candidate à la présidentielle.

Des Ministres LR dans la Balance

Sans s’exprimer directement sur l’avenir des sept ministres issus de LR, dont le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, Valérie Pécresse a tenu à rappeler l’importance de « l’ordre dans nos comptes », au même titre que le retour à l’ordre assuré par Retailleau « à nos frontières et dans la rue ».

Je parle en tant que femme de conviction.

Valérie Pécresse

La Mise en Garde de Laurent Wauquiez

Au cœur de ce bras de fer, l’exécutif apparaît plus fragilisé que jamais. Tiraillé entre une gauche qui exige des gages et une droite qui refuse toute concession, François Bayrou marche sur un fil. L’équilibre précaire de son « gouvernement d’union nationale » est menacé, au risque de provoquer une crise politique majeure, à peine deux mois après sa nomination à Matignon.

Suspendue au discours du Premier ministre devant les députés, la France retient son souffle. Les prochains jours s’annoncent décisifs pour l’avenir de la réforme des retraites, mais aussi pour la survie du gouvernement et la stabilité des institutions. Dans ce climat d’incertitude, une seule chose est sûre : la partie d’échecs qui se joue à l’Assemblée est loin d’avoir livré son dernier coup.

Au cœur de ce bras de fer, l’exécutif apparaît plus fragilisé que jamais. Tiraillé entre une gauche qui exige des gages et une droite qui refuse toute concession, François Bayrou marche sur un fil. L’équilibre précaire de son « gouvernement d’union nationale » est menacé, au risque de provoquer une crise politique majeure, à peine deux mois après sa nomination à Matignon.

Suspendue au discours du Premier ministre devant les députés, la France retient son souffle. Les prochains jours s’annoncent décisifs pour l’avenir de la réforme des retraites, mais aussi pour la survie du gouvernement et la stabilité des institutions. Dans ce climat d’incertitude, une seule chose est sûre : la partie d’échecs qui se joue à l’Assemblée est loin d’avoir livré son dernier coup.

En cherchant à amadouer la gauche, François Bayrou joue donc à un jeu périlleux. Socialistes, écologistes et communistes réclament une suspension, voire une abrogation de la réforme contestée, en échange de leur soutien lors de sa déclaration de politique générale ce mardi. Un choix cornélien pour le Premier ministre, dont les arbitrages sont très attendus à la veille d’un vote à haut risque pour la survie de son gouvernement.

Un Exécutif en Crise, un Avenir Incertain

Au cœur de ce bras de fer, l’exécutif apparaît plus fragilisé que jamais. Tiraillé entre une gauche qui exige des gages et une droite qui refuse toute concession, François Bayrou marche sur un fil. L’équilibre précaire de son « gouvernement d’union nationale » est menacé, au risque de provoquer une crise politique majeure, à peine deux mois après sa nomination à Matignon.

Suspendue au discours du Premier ministre devant les députés, la France retient son souffle. Les prochains jours s’annoncent décisifs pour l’avenir de la réforme des retraites, mais aussi pour la survie du gouvernement et la stabilité des institutions. Dans ce climat d’incertitude, une seule chose est sûre : la partie d’échecs qui se joue à l’Assemblée est loin d’avoir livré son dernier coup.

En cherchant à amadouer la gauche, François Bayrou joue donc à un jeu périlleux. Socialistes, écologistes et communistes réclament une suspension, voire une abrogation de la réforme contestée, en échange de leur soutien lors de sa déclaration de politique générale ce mardi. Un choix cornélien pour le Premier ministre, dont les arbitrages sont très attendus à la veille d’un vote à haut risque pour la survie de son gouvernement.

Un Exécutif en Crise, un Avenir Incertain

Au cœur de ce bras de fer, l’exécutif apparaît plus fragilisé que jamais. Tiraillé entre une gauche qui exige des gages et une droite qui refuse toute concession, François Bayrou marche sur un fil. L’équilibre précaire de son « gouvernement d’union nationale » est menacé, au risque de provoquer une crise politique majeure, à peine deux mois après sa nomination à Matignon.

Suspendue au discours du Premier ministre devant les députés, la France retient son souffle. Les prochains jours s’annoncent décisifs pour l’avenir de la réforme des retraites, mais aussi pour la survie du gouvernement et la stabilité des institutions. Dans ce climat d’incertitude, une seule chose est sûre : la partie d’échecs qui se joue à l’Assemblée est loin d’avoir livré son dernier coup.

La veille, le patron de la droite à l’Assemblée, Laurent Wauquiez, avait lui aussi adressé un avertissement au Premier ministre dans les colonnes du Parisien, à l’approche de l’examen du projet de loi de finances fin janvier. Disposant d’une précieuse force d’appoint pour la majorité, il a prévenu : « Suspendre (la réforme) sans scénario alternatif revient à sauter dans le vide sans parachute. Ce sera sans la Droite républicaine. »

Gérard Larcher Fixe une Ligne Rouge au Sénat

Quant à Gérard Larcher, président LR du Sénat, il a lui aussi établi un point de non-retour : « Au Sénat, je ne conduirai pas une procédure de suspension ou d’abrogation ». Un message clair, même si le sénateur tient à rappeler que « participation (au gouvernement) ne veut pas dire renoncement ».

François Bayrou Face à un Choix Cornélien

En cherchant à amadouer la gauche, François Bayrou joue donc à un jeu périlleux. Socialistes, écologistes et communistes réclament une suspension, voire une abrogation de la réforme contestée, en échange de leur soutien lors de sa déclaration de politique générale ce mardi. Un choix cornélien pour le Premier ministre, dont les arbitrages sont très attendus à la veille d’un vote à haut risque pour la survie de son gouvernement.

Un Exécutif en Crise, un Avenir Incertain

Au cœur de ce bras de fer, l’exécutif apparaît plus fragilisé que jamais. Tiraillé entre une gauche qui exige des gages et une droite qui refuse toute concession, François Bayrou marche sur un fil. L’équilibre précaire de son « gouvernement d’union nationale » est menacé, au risque de provoquer une crise politique majeure, à peine deux mois après sa nomination à Matignon.

Suspendue au discours du Premier ministre devant les députés, la France retient son souffle. Les prochains jours s’annoncent décisifs pour l’avenir de la réforme des retraites, mais aussi pour la survie du gouvernement et la stabilité des institutions. Dans ce climat d’incertitude, une seule chose est sûre : la partie d’échecs qui se joue à l’Assemblée est loin d’avoir livré son dernier coup.

La veille, le patron de la droite à l’Assemblée, Laurent Wauquiez, avait lui aussi adressé un avertissement au Premier ministre dans les colonnes du Parisien, à l’approche de l’examen du projet de loi de finances fin janvier. Disposant d’une précieuse force d’appoint pour la majorité, il a prévenu : « Suspendre (la réforme) sans scénario alternatif revient à sauter dans le vide sans parachute. Ce sera sans la Droite républicaine. »

Gérard Larcher Fixe une Ligne Rouge au Sénat

Quant à Gérard Larcher, président LR du Sénat, il a lui aussi établi un point de non-retour : « Au Sénat, je ne conduirai pas une procédure de suspension ou d’abrogation ». Un message clair, même si le sénateur tient à rappeler que « participation (au gouvernement) ne veut pas dire renoncement ».

François Bayrou Face à un Choix Cornélien

En cherchant à amadouer la gauche, François Bayrou joue donc à un jeu périlleux. Socialistes, écologistes et communistes réclament une suspension, voire une abrogation de la réforme contestée, en échange de leur soutien lors de sa déclaration de politique générale ce mardi. Un choix cornélien pour le Premier ministre, dont les arbitrages sont très attendus à la veille d’un vote à haut risque pour la survie de son gouvernement.

Un Exécutif en Crise, un Avenir Incertain

Au cœur de ce bras de fer, l’exécutif apparaît plus fragilisé que jamais. Tiraillé entre une gauche qui exige des gages et une droite qui refuse toute concession, François Bayrou marche sur un fil. L’équilibre précaire de son « gouvernement d’union nationale » est menacé, au risque de provoquer une crise politique majeure, à peine deux mois après sa nomination à Matignon.

Suspendue au discours du Premier ministre devant les députés, la France retient son souffle. Les prochains jours s’annoncent décisifs pour l’avenir de la réforme des retraites, mais aussi pour la survie du gouvernement et la stabilité des institutions. Dans ce climat d’incertitude, une seule chose est sûre : la partie d’échecs qui se joue à l’Assemblée est loin d’avoir livré son dernier coup.

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