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Rudy Gobert et les Wolves sous pression avant Dallas

Rudy Gobert et les Wolves sont dos au mur avant leur déplacement à Dallas. L'arrivée de Randle a déséquilibré le jeu offensif, mettant l'équipe sous pression. Gobert tiendra-t-il son rôle de patron défensif pour relancer Minnesota ? Les enjeux sont

La pression monte d’un cran pour les Minnesota Timberwolves et leur pivot français Rudy Gobert avant leur déplacement périlleux à Dallas ce mercredi. Malgré les ambitions de titre affichées en début de saison, l’équipe peine à trouver son rythme depuis le départ de Karl-Anthony Towns. Avec un bilan instable de 14 victoires pour 14 défaites, les Wolves pointent seulement à la 10ème place de la Conférence Ouest.

L’incorporation de Julius Randle, scoreur compulsif arrivé de New York en octobre, a clairement déséquilibré le jeu offensif des Wolves. Son profil de « dévoreur de ballons » ne colle pas avec le basket fluide et collectif prôné par le coach. La star Anthony Edwards n’hésite pas à tacler ses coéquipiers : « On est trop tendres. On joue comme des enfants et on est incapables de se dire les choses. »

Rudy Gobert, dernier rempart défensif

Au cœur des difficultés des Wolves, Rudy Gobert fait figure d’îlot de stabilité. Sacré meilleur défenseur de l’année pour la 4ème fois en mai dernier, le Français est le patron incontesté de la défense. Avec seulement 108,3 points encaissés pour 100 possessions, les Wolves possèdent la 6ème meilleure défense de la Ligue. « On doit continuer de s’appuyer sur notre identité défensive. Parfois, quand les choses se passent bien, on a tendance à se relâcher », constate Gobert.

Luka Doncic, ogre offensif à stopper

Côté Mavericks, Luka Doncic est tout simplement injouable cette saison. Deuxième meilleur marqueur de la Ligue avec 34 points de moyenne, le Slovène marche sur la NBA. La mission s’annonce délicate pour la défense des Wolves face à ce phénomène offensif. Limiter son impact sera une des clés du match.

L’heure des ajustements

Pour regagner en efficacité, une meilleure répartition des rôles semble indispensable au sein des Wolves. Leurs deux stars, Edwards et Gobert, doivent pouvoir coexister de façon optimale. Cela passera par une implication offensive accrue du pivot tricolore, dont la moyenne de points est passée de 14 à 10,3 par match depuis l’arrivée de Randle.

Certains ajustements sont nécessaires pour atteindre notre plein potentiel. Ça prendra peut-être du temps mais je suis confiant.

– Rudy Gobert

Le choc contre Dallas doit servir de déclic pour relancer la machine à gagner des Wolves. Leur saison en dépend. Si Gobert et ses partenaires gardent leur solidité défensive et retrouvent de la fluidité en attaque, ils ont les armes pour rivaliser avec n’importe qui à l’Ouest. Le défi est posé.

Une ambition de titre intacte

Malgré ce premier tiers de saison mitigé, les Wolves n’ont pas abdiqué sur leurs objectifs de début de saison. Atteindre les sommets en fin d’exercice reste le but ultime. Le talent ne manque pas dans l’effectif, il faut maintenant que la mayonnaise prenne. Un succès chez les Mavs serait un premier pas important dans cette quête.

Le patron défensif Gobert y croit dur comme fer, lui qui avait mené Utah en finale de conférence en 2022. Il sait l’importance de construire des automatismes solides et une alchimie collective quand les enjeux s’élèvent. Ses coéquipiers sont prévenus, il faudra être prêt à monter en régime le moment venu.

On a beaucoup travaillé depuis le début de saison. Rien n’est perdu, au contraire. Cette équipe a soif de victoires et de trophées.

– Anthony Edwards

L’avenir nous dira si ce déplacement à Dallas aura été un tournant. Une chose est sûre, pour voir les Wolves jouer les premiers rôles à l’Ouest, ils devront impérativement se sublimer collectivement. Avec un Rudy Gobert en patron défensif et une attaque retrouvant sa fluidité, ils en ont les moyens. Réponse dès mercredi soir au Texas!

Pour regagner en efficacité, une meilleure répartition des rôles semble indispensable au sein des Wolves. Leurs deux stars, Edwards et Gobert, doivent pouvoir coexister de façon optimale. Cela passera par une implication offensive accrue du pivot tricolore, dont la moyenne de points est passée de 14 à 10,3 par match depuis l’arrivée de Randle.

Certains ajustements sont nécessaires pour atteindre notre plein potentiel. Ça prendra peut-être du temps mais je suis confiant.

– Rudy Gobert

Le choc contre Dallas doit servir de déclic pour relancer la machine à gagner des Wolves. Leur saison en dépend. Si Gobert et ses partenaires gardent leur solidité défensive et retrouvent de la fluidité en attaque, ils ont les armes pour rivaliser avec n’importe qui à l’Ouest. Le défi est posé.

Une ambition de titre intacte

Malgré ce premier tiers de saison mitigé, les Wolves n’ont pas abdiqué sur leurs objectifs de début de saison. Atteindre les sommets en fin d’exercice reste le but ultime. Le talent ne manque pas dans l’effectif, il faut maintenant que la mayonnaise prenne. Un succès chez les Mavs serait un premier pas important dans cette quête.

Le patron défensif Gobert y croit dur comme fer, lui qui avait mené Utah en finale de conférence en 2022. Il sait l’importance de construire des automatismes solides et une alchimie collective quand les enjeux s’élèvent. Ses coéquipiers sont prévenus, il faudra être prêt à monter en régime le moment venu.

On a beaucoup travaillé depuis le début de saison. Rien n’est perdu, au contraire. Cette équipe a soif de victoires et de trophées.

– Anthony Edwards

L’avenir nous dira si ce déplacement à Dallas aura été un tournant. Une chose est sûre, pour voir les Wolves jouer les premiers rôles à l’Ouest, ils devront impérativement se sublimer collectivement. Avec un Rudy Gobert en patron défensif et une attaque retrouvant sa fluidité, ils en ont les moyens. Réponse dès mercredi soir au Texas!

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