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La Chine Annonce une Politique Budgétaire « Plus Active » pour 2025

La Chine annonce une politique budgétaire "plus active" pour 2025, avec une hausse du déficit pour stimuler la consommation et aider les finances locales. Mais suffira-t-elle face aux défis économiques du pays ? Décryptage des dernières mesures...

Face aux défis économiques persistants, la Chine sort l’artillerie budgétaire. Le ministère des Finances a annoncé mardi la mise en place d’une politique « encore plus active » pour 2025, ouvrant la voie à une hausse du déficit. Un plan en cinq mesures pour tenter de doper une consommation en berne et soutenir des collectivités locales fragilisées.

Un « arsenal » de mesures pour stimuler l’économie chinoise

Selon une source proche du dossier, le gouvernement chinois prévoit de mettre en place une politique budgétaire « plus active » l’année prochaine. Au menu : renforcement du soutien aux collectivités locales, émission d’obligations d’État, augmentation de certaines prestations sociales… L’objectif est clair : relancer la consommation intérieure, moteur essentiel de la croissance du pays, mais qui peine à redémarrer.

Car le constat est sans appel. Malgré une levée des restrictions anti-Covid fin 2022, les ménages chinois restent frileux. Les ventes au détail ont progressé de seulement 2,5 % sur un an en juillet, loin des attentes des analystes. Et les revenus dans les zones rurales ont même reculé au premier semestre.

Consommation en berne et immobilier en crise

Autre sujet d’inquiétude pour Pékin : la santé financière des collectivités locales. Leur manne principale, les recettes foncières, a fondu avec la crise persistante de l’immobilier. Un secteur qui pèse pour près de 25% du PIB chinois et qui traverse une passe difficile depuis le resserrement réglementaire de 2020. Les défauts de paiement des promoteurs se multiplient et les prix des logements neufs reculent depuis un an.

Pour soutenir le marché, les autorités ont multiplié les mesures ces derniers mois : baisse des taux d’intérêt, assouplissement des critères d’emprunt, aides à l’achat… Mais la confiance n’est pas au rendez-vous. Les ventes de logements neufs ont encore plongé de 27% en juillet sur un an.

La deuxième puissance mondiale n’a donc pas fini de manœuvrer face aux écueils. La politique budgétaire plus active sera un levier essentiel, mais pas forcément suffisant. La Chine va devoir jouer sur tous les tableaux – monétaire, fiscale, règlementaire – pour tenter de retrouver son élan.

En Bref

  • La Chine annonce une politique budgétaire « plus active » pour 2025
  • Objectif : soutenir la consommation et les finances des collectivités locales
  • Hausse prévue du déficit budgétaire, qui pourrait atteindre 3,5 à 4% du PIB
  • Mesures pour aider les entreprises exportatrices face aux incertitudes
  • Croissance de 5% visée en 2024, mais des prévisions plus prudentes du FMI

Face à une conjoncture compliquée, Pékin sort donc les grands moyens budgétaires. Une stratégie nécessaire, mais pas dénuée de risques dans un pays déjà très endetté. L’équilibre sera subtil à trouver pour relancer la machine économique chinoise sans dérailler. Tout un programme pour le nouveau gouvernement du Président Xi.

La deuxième puissance mondiale n’a donc pas fini de manœuvrer face aux écueils. La politique budgétaire plus active sera un levier essentiel, mais pas forcément suffisant. La Chine va devoir jouer sur tous les tableaux – monétaire, fiscale, règlementaire – pour tenter de retrouver son élan.

En Bref

  • La Chine annonce une politique budgétaire « plus active » pour 2025
  • Objectif : soutenir la consommation et les finances des collectivités locales
  • Hausse prévue du déficit budgétaire, qui pourrait atteindre 3,5 à 4% du PIB
  • Mesures pour aider les entreprises exportatrices face aux incertitudes
  • Croissance de 5% visée en 2024, mais des prévisions plus prudentes du FMI

Face à une conjoncture compliquée, Pékin sort donc les grands moyens budgétaires. Une stratégie nécessaire, mais pas dénuée de risques dans un pays déjà très endetté. L’équilibre sera subtil à trouver pour relancer la machine économique chinoise sans dérailler. Tout un programme pour le nouveau gouvernement du Président Xi.

Mais tous les économistes ne partagent pas cet optimisme. Le FMI table plutôt sur une hausse du PIB de 4,8% l’an prochain, avant un nouveau ralentissement à 4,5% en 2025.

La deuxième puissance mondiale n’a donc pas fini de manœuvrer face aux écueils. La politique budgétaire plus active sera un levier essentiel, mais pas forcément suffisant. La Chine va devoir jouer sur tous les tableaux – monétaire, fiscale, règlementaire – pour tenter de retrouver son élan.

En Bref

  • La Chine annonce une politique budgétaire « plus active » pour 2025
  • Objectif : soutenir la consommation et les finances des collectivités locales
  • Hausse prévue du déficit budgétaire, qui pourrait atteindre 3,5 à 4% du PIB
  • Mesures pour aider les entreprises exportatrices face aux incertitudes
  • Croissance de 5% visée en 2024, mais des prévisions plus prudentes du FMI

Face à une conjoncture compliquée, Pékin sort donc les grands moyens budgétaires. Une stratégie nécessaire, mais pas dénuée de risques dans un pays déjà très endetté. L’équilibre sera subtil à trouver pour relancer la machine économique chinoise sans dérailler. Tout un programme pour le nouveau gouvernement du Président Xi.

Mais tous les économistes ne partagent pas cet optimisme. Le FMI table plutôt sur une hausse du PIB de 4,8% l’an prochain, avant un nouveau ralentissement à 4,5% en 2025.

La deuxième puissance mondiale n’a donc pas fini de manœuvrer face aux écueils. La politique budgétaire plus active sera un levier essentiel, mais pas forcément suffisant. La Chine va devoir jouer sur tous les tableaux – monétaire, fiscale, règlementaire – pour tenter de retrouver son élan.

En Bref

  • La Chine annonce une politique budgétaire « plus active » pour 2025
  • Objectif : soutenir la consommation et les finances des collectivités locales
  • Hausse prévue du déficit budgétaire, qui pourrait atteindre 3,5 à 4% du PIB
  • Mesures pour aider les entreprises exportatrices face aux incertitudes
  • Croissance de 5% visée en 2024, mais des prévisions plus prudentes du FMI

Face à une conjoncture compliquée, Pékin sort donc les grands moyens budgétaires. Une stratégie nécessaire, mais pas dénuée de risques dans un pays déjà très endetté. L’équilibre sera subtil à trouver pour relancer la machine économique chinoise sans dérailler. Tout un programme pour le nouveau gouvernement du Président Xi.

Malgré ce cocktail de défis, les autorités chinoises se veulent confiantes. Elles visent une croissance d’environ 5% en 2024, un objectif jugé atteignable malgré les vents contraires.

Mais tous les économistes ne partagent pas cet optimisme. Le FMI table plutôt sur une hausse du PIB de 4,8% l’an prochain, avant un nouveau ralentissement à 4,5% en 2025.

La deuxième puissance mondiale n’a donc pas fini de manœuvrer face aux écueils. La politique budgétaire plus active sera un levier essentiel, mais pas forcément suffisant. La Chine va devoir jouer sur tous les tableaux – monétaire, fiscale, règlementaire – pour tenter de retrouver son élan.

En Bref

  • La Chine annonce une politique budgétaire « plus active » pour 2025
  • Objectif : soutenir la consommation et les finances des collectivités locales
  • Hausse prévue du déficit budgétaire, qui pourrait atteindre 3,5 à 4% du PIB
  • Mesures pour aider les entreprises exportatrices face aux incertitudes
  • Croissance de 5% visée en 2024, mais des prévisions plus prudentes du FMI

Face à une conjoncture compliquée, Pékin sort donc les grands moyens budgétaires. Une stratégie nécessaire, mais pas dénuée de risques dans un pays déjà très endetté. L’équilibre sera subtil à trouver pour relancer la machine économique chinoise sans dérailler. Tout un programme pour le nouveau gouvernement du Président Xi.

Malgré ce cocktail de défis, les autorités chinoises se veulent confiantes. Elles visent une croissance d’environ 5% en 2024, un objectif jugé atteignable malgré les vents contraires.

Mais tous les économistes ne partagent pas cet optimisme. Le FMI table plutôt sur une hausse du PIB de 4,8% l’an prochain, avant un nouveau ralentissement à 4,5% en 2025.

La deuxième puissance mondiale n’a donc pas fini de manœuvrer face aux écueils. La politique budgétaire plus active sera un levier essentiel, mais pas forcément suffisant. La Chine va devoir jouer sur tous les tableaux – monétaire, fiscale, règlementaire – pour tenter de retrouver son élan.

En Bref

  • La Chine annonce une politique budgétaire « plus active » pour 2025
  • Objectif : soutenir la consommation et les finances des collectivités locales
  • Hausse prévue du déficit budgétaire, qui pourrait atteindre 3,5 à 4% du PIB
  • Mesures pour aider les entreprises exportatrices face aux incertitudes
  • Croissance de 5% visée en 2024, mais des prévisions plus prudentes du FMI

Face à une conjoncture compliquée, Pékin sort donc les grands moyens budgétaires. Une stratégie nécessaire, mais pas dénuée de risques dans un pays déjà très endetté. L’équilibre sera subtil à trouver pour relancer la machine économique chinoise sans dérailler. Tout un programme pour le nouveau gouvernement du Président Xi.

Atteindre l’objectif de 5% de croissance en 2024 ?

Malgré ce cocktail de défis, les autorités chinoises se veulent confiantes. Elles visent une croissance d’environ 5% en 2024, un objectif jugé atteignable malgré les vents contraires.

Mais tous les économistes ne partagent pas cet optimisme. Le FMI table plutôt sur une hausse du PIB de 4,8% l’an prochain, avant un nouveau ralentissement à 4,5% en 2025.

La deuxième puissance mondiale n’a donc pas fini de manœuvrer face aux écueils. La politique budgétaire plus active sera un levier essentiel, mais pas forcément suffisant. La Chine va devoir jouer sur tous les tableaux – monétaire, fiscale, règlementaire – pour tenter de retrouver son élan.

En Bref

  • La Chine annonce une politique budgétaire « plus active » pour 2025
  • Objectif : soutenir la consommation et les finances des collectivités locales
  • Hausse prévue du déficit budgétaire, qui pourrait atteindre 3,5 à 4% du PIB
  • Mesures pour aider les entreprises exportatrices face aux incertitudes
  • Croissance de 5% visée en 2024, mais des prévisions plus prudentes du FMI

Face à une conjoncture compliquée, Pékin sort donc les grands moyens budgétaires. Une stratégie nécessaire, mais pas dénuée de risques dans un pays déjà très endetté. L’équilibre sera subtil à trouver pour relancer la machine économique chinoise sans dérailler. Tout un programme pour le nouveau gouvernement du Président Xi.

Atteindre l’objectif de 5% de croissance en 2024 ?

Malgré ce cocktail de défis, les autorités chinoises se veulent confiantes. Elles visent une croissance d’environ 5% en 2024, un objectif jugé atteignable malgré les vents contraires.

Mais tous les économistes ne partagent pas cet optimisme. Le FMI table plutôt sur une hausse du PIB de 4,8% l’an prochain, avant un nouveau ralentissement à 4,5% en 2025.

La deuxième puissance mondiale n’a donc pas fini de manœuvrer face aux écueils. La politique budgétaire plus active sera un levier essentiel, mais pas forcément suffisant. La Chine va devoir jouer sur tous les tableaux – monétaire, fiscale, règlementaire – pour tenter de retrouver son élan.

En Bref

  • La Chine annonce une politique budgétaire « plus active » pour 2025
  • Objectif : soutenir la consommation et les finances des collectivités locales
  • Hausse prévue du déficit budgétaire, qui pourrait atteindre 3,5 à 4% du PIB
  • Mesures pour aider les entreprises exportatrices face aux incertitudes
  • Croissance de 5% visée en 2024, mais des prévisions plus prudentes du FMI

Face à une conjoncture compliquée, Pékin sort donc les grands moyens budgétaires. Une stratégie nécessaire, mais pas dénuée de risques dans un pays déjà très endetté. L’équilibre sera subtil à trouver pour relancer la machine économique chinoise sans dérailler. Tout un programme pour le nouveau gouvernement du Président Xi.

Pour les aider, Pékin prévoit de continuer à assouplir certaines règles à l’exportation et renforcer les aides au « sauvetage ». Mais les perspectives à l’international restent contrastées à court terme.

Atteindre l’objectif de 5% de croissance en 2024 ?

Malgré ce cocktail de défis, les autorités chinoises se veulent confiantes. Elles visent une croissance d’environ 5% en 2024, un objectif jugé atteignable malgré les vents contraires.

Mais tous les économistes ne partagent pas cet optimisme. Le FMI table plutôt sur une hausse du PIB de 4,8% l’an prochain, avant un nouveau ralentissement à 4,5% en 2025.

La deuxième puissance mondiale n’a donc pas fini de manœuvrer face aux écueils. La politique budgétaire plus active sera un levier essentiel, mais pas forcément suffisant. La Chine va devoir jouer sur tous les tableaux – monétaire, fiscale, règlementaire – pour tenter de retrouver son élan.

En Bref

  • La Chine annonce une politique budgétaire « plus active » pour 2025
  • Objectif : soutenir la consommation et les finances des collectivités locales
  • Hausse prévue du déficit budgétaire, qui pourrait atteindre 3,5 à 4% du PIB
  • Mesures pour aider les entreprises exportatrices face aux incertitudes
  • Croissance de 5% visée en 2024, mais des prévisions plus prudentes du FMI

Face à une conjoncture compliquée, Pékin sort donc les grands moyens budgétaires. Une stratégie nécessaire, mais pas dénuée de risques dans un pays déjà très endetté. L’équilibre sera subtil à trouver pour relancer la machine économique chinoise sans dérailler. Tout un programme pour le nouveau gouvernement du Président Xi.

Pour les aider, Pékin prévoit de continuer à assouplir certaines règles à l’exportation et renforcer les aides au « sauvetage ». Mais les perspectives à l’international restent contrastées à court terme.

Atteindre l’objectif de 5% de croissance en 2024 ?

Malgré ce cocktail de défis, les autorités chinoises se veulent confiantes. Elles visent une croissance d’environ 5% en 2024, un objectif jugé atteignable malgré les vents contraires.

Mais tous les économistes ne partagent pas cet optimisme. Le FMI table plutôt sur une hausse du PIB de 4,8% l’an prochain, avant un nouveau ralentissement à 4,5% en 2025.

La deuxième puissance mondiale n’a donc pas fini de manœuvrer face aux écueils. La politique budgétaire plus active sera un levier essentiel, mais pas forcément suffisant. La Chine va devoir jouer sur tous les tableaux – monétaire, fiscale, règlementaire – pour tenter de retrouver son élan.

En Bref

  • La Chine annonce une politique budgétaire « plus active » pour 2025
  • Objectif : soutenir la consommation et les finances des collectivités locales
  • Hausse prévue du déficit budgétaire, qui pourrait atteindre 3,5 à 4% du PIB
  • Mesures pour aider les entreprises exportatrices face aux incertitudes
  • Croissance de 5% visée en 2024, mais des prévisions plus prudentes du FMI

Face à une conjoncture compliquée, Pékin sort donc les grands moyens budgétaires. Une stratégie nécessaire, mais pas dénuée de risques dans un pays déjà très endetté. L’équilibre sera subtil à trouver pour relancer la machine économique chinoise sans dérailler. Tout un programme pour le nouveau gouvernement du Président Xi.

Au tableau des défis économiques figure aussi le climat d’incertitude sur le commerce international. Entre tensions géopolitiques, guerre technologique sino-américaine et découplage partiel des chaînes d’approvisionnement, les entreprises chinoises font face à un contexte plus volatil et potentiellement moins porteur.

Pour les aider, Pékin prévoit de continuer à assouplir certaines règles à l’exportation et renforcer les aides au « sauvetage ». Mais les perspectives à l’international restent contrastées à court terme.

Atteindre l’objectif de 5% de croissance en 2024 ?

Malgré ce cocktail de défis, les autorités chinoises se veulent confiantes. Elles visent une croissance d’environ 5% en 2024, un objectif jugé atteignable malgré les vents contraires.

Mais tous les économistes ne partagent pas cet optimisme. Le FMI table plutôt sur une hausse du PIB de 4,8% l’an prochain, avant un nouveau ralentissement à 4,5% en 2025.

La deuxième puissance mondiale n’a donc pas fini de manœuvrer face aux écueils. La politique budgétaire plus active sera un levier essentiel, mais pas forcément suffisant. La Chine va devoir jouer sur tous les tableaux – monétaire, fiscale, règlementaire – pour tenter de retrouver son élan.

En Bref

  • La Chine annonce une politique budgétaire « plus active » pour 2025
  • Objectif : soutenir la consommation et les finances des collectivités locales
  • Hausse prévue du déficit budgétaire, qui pourrait atteindre 3,5 à 4% du PIB
  • Mesures pour aider les entreprises exportatrices face aux incertitudes
  • Croissance de 5% visée en 2024, mais des prévisions plus prudentes du FMI

Face à une conjoncture compliquée, Pékin sort donc les grands moyens budgétaires. Une stratégie nécessaire, mais pas dénuée de risques dans un pays déjà très endetté. L’équilibre sera subtil à trouver pour relancer la machine économique chinoise sans dérailler. Tout un programme pour le nouveau gouvernement du Président Xi.

Au tableau des défis économiques figure aussi le climat d’incertitude sur le commerce international. Entre tensions géopolitiques, guerre technologique sino-américaine et découplage partiel des chaînes d’approvisionnement, les entreprises chinoises font face à un contexte plus volatil et potentiellement moins porteur.

Pour les aider, Pékin prévoit de continuer à assouplir certaines règles à l’exportation et renforcer les aides au « sauvetage ». Mais les perspectives à l’international restent contrastées à court terme.

Atteindre l’objectif de 5% de croissance en 2024 ?

Malgré ce cocktail de défis, les autorités chinoises se veulent confiantes. Elles visent une croissance d’environ 5% en 2024, un objectif jugé atteignable malgré les vents contraires.

Mais tous les économistes ne partagent pas cet optimisme. Le FMI table plutôt sur une hausse du PIB de 4,8% l’an prochain, avant un nouveau ralentissement à 4,5% en 2025.

La deuxième puissance mondiale n’a donc pas fini de manœuvrer face aux écueils. La politique budgétaire plus active sera un levier essentiel, mais pas forcément suffisant. La Chine va devoir jouer sur tous les tableaux – monétaire, fiscale, règlementaire – pour tenter de retrouver son élan.

En Bref

  • La Chine annonce une politique budgétaire « plus active » pour 2025
  • Objectif : soutenir la consommation et les finances des collectivités locales
  • Hausse prévue du déficit budgétaire, qui pourrait atteindre 3,5 à 4% du PIB
  • Mesures pour aider les entreprises exportatrices face aux incertitudes
  • Croissance de 5% visée en 2024, mais des prévisions plus prudentes du FMI

Face à une conjoncture compliquée, Pékin sort donc les grands moyens budgétaires. Une stratégie nécessaire, mais pas dénuée de risques dans un pays déjà très endetté. L’équilibre sera subtil à trouver pour relancer la machine économique chinoise sans dérailler. Tout un programme pour le nouveau gouvernement du Président Xi.

Des incertitudes commerciales pèsent aussi

Au tableau des défis économiques figure aussi le climat d’incertitude sur le commerce international. Entre tensions géopolitiques, guerre technologique sino-américaine et découplage partiel des chaînes d’approvisionnement, les entreprises chinoises font face à un contexte plus volatil et potentiellement moins porteur.

Pour les aider, Pékin prévoit de continuer à assouplir certaines règles à l’exportation et renforcer les aides au « sauvetage ». Mais les perspectives à l’international restent contrastées à court terme.

Atteindre l’objectif de 5% de croissance en 2024 ?

Malgré ce cocktail de défis, les autorités chinoises se veulent confiantes. Elles visent une croissance d’environ 5% en 2024, un objectif jugé atteignable malgré les vents contraires.

Mais tous les économistes ne partagent pas cet optimisme. Le FMI table plutôt sur une hausse du PIB de 4,8% l’an prochain, avant un nouveau ralentissement à 4,5% en 2025.

La deuxième puissance mondiale n’a donc pas fini de manœuvrer face aux écueils. La politique budgétaire plus active sera un levier essentiel, mais pas forcément suffisant. La Chine va devoir jouer sur tous les tableaux – monétaire, fiscale, règlementaire – pour tenter de retrouver son élan.

En Bref

  • La Chine annonce une politique budgétaire « plus active » pour 2025
  • Objectif : soutenir la consommation et les finances des collectivités locales
  • Hausse prévue du déficit budgétaire, qui pourrait atteindre 3,5 à 4% du PIB
  • Mesures pour aider les entreprises exportatrices face aux incertitudes
  • Croissance de 5% visée en 2024, mais des prévisions plus prudentes du FMI

Face à une conjoncture compliquée, Pékin sort donc les grands moyens budgétaires. Une stratégie nécessaire, mais pas dénuée de risques dans un pays déjà très endetté. L’équilibre sera subtil à trouver pour relancer la machine économique chinoise sans dérailler. Tout un programme pour le nouveau gouvernement du Président Xi.

Des incertitudes commerciales pèsent aussi

Au tableau des défis économiques figure aussi le climat d’incertitude sur le commerce international. Entre tensions géopolitiques, guerre technologique sino-américaine et découplage partiel des chaînes d’approvisionnement, les entreprises chinoises font face à un contexte plus volatil et potentiellement moins porteur.

Pour les aider, Pékin prévoit de continuer à assouplir certaines règles à l’exportation et renforcer les aides au « sauvetage ». Mais les perspectives à l’international restent contrastées à court terme.

Atteindre l’objectif de 5% de croissance en 2024 ?

Malgré ce cocktail de défis, les autorités chinoises se veulent confiantes. Elles visent une croissance d’environ 5% en 2024, un objectif jugé atteignable malgré les vents contraires.

Mais tous les économistes ne partagent pas cet optimisme. Le FMI table plutôt sur une hausse du PIB de 4,8% l’an prochain, avant un nouveau ralentissement à 4,5% en 2025.

La deuxième puissance mondiale n’a donc pas fini de manœuvrer face aux écueils. La politique budgétaire plus active sera un levier essentiel, mais pas forcément suffisant. La Chine va devoir jouer sur tous les tableaux – monétaire, fiscale, règlementaire – pour tenter de retrouver son élan.

En Bref

  • La Chine annonce une politique budgétaire « plus active » pour 2025
  • Objectif : soutenir la consommation et les finances des collectivités locales
  • Hausse prévue du déficit budgétaire, qui pourrait atteindre 3,5 à 4% du PIB
  • Mesures pour aider les entreprises exportatrices face aux incertitudes
  • Croissance de 5% visée en 2024, mais des prévisions plus prudentes du FMI

Face à une conjoncture compliquée, Pékin sort donc les grands moyens budgétaires. Une stratégie nécessaire, mais pas dénuée de risques dans un pays déjà très endetté. L’équilibre sera subtil à trouver pour relancer la machine économique chinoise sans dérailler. Tout un programme pour le nouveau gouvernement du Président Xi.

Une hausse significative, mais l’ampleur réelle des mesures reste à préciser. Certains experts doutent d’un véritable « quoi qu’il en coûte » à la chinoise et y voient surtout un outil pour gérer les risques financiers. Le spectre de la dette plane toujours sur l’Empire du Milieu.

Des incertitudes commerciales pèsent aussi

Au tableau des défis économiques figure aussi le climat d’incertitude sur le commerce international. Entre tensions géopolitiques, guerre technologique sino-américaine et découplage partiel des chaînes d’approvisionnement, les entreprises chinoises font face à un contexte plus volatil et potentiellement moins porteur.

Pour les aider, Pékin prévoit de continuer à assouplir certaines règles à l’exportation et renforcer les aides au « sauvetage ». Mais les perspectives à l’international restent contrastées à court terme.

Atteindre l’objectif de 5% de croissance en 2024 ?

Malgré ce cocktail de défis, les autorités chinoises se veulent confiantes. Elles visent une croissance d’environ 5% en 2024, un objectif jugé atteignable malgré les vents contraires.

Mais tous les économistes ne partagent pas cet optimisme. Le FMI table plutôt sur une hausse du PIB de 4,8% l’an prochain, avant un nouveau ralentissement à 4,5% en 2025.

La deuxième puissance mondiale n’a donc pas fini de manœuvrer face aux écueils. La politique budgétaire plus active sera un levier essentiel, mais pas forcément suffisant. La Chine va devoir jouer sur tous les tableaux – monétaire, fiscale, règlementaire – pour tenter de retrouver son élan.

En Bref

  • La Chine annonce une politique budgétaire « plus active » pour 2025
  • Objectif : soutenir la consommation et les finances des collectivités locales
  • Hausse prévue du déficit budgétaire, qui pourrait atteindre 3,5 à 4% du PIB
  • Mesures pour aider les entreprises exportatrices face aux incertitudes
  • Croissance de 5% visée en 2024, mais des prévisions plus prudentes du FMI

Face à une conjoncture compliquée, Pékin sort donc les grands moyens budgétaires. Une stratégie nécessaire, mais pas dénuée de risques dans un pays déjà très endetté. L’équilibre sera subtil à trouver pour relancer la machine économique chinoise sans dérailler. Tout un programme pour le nouveau gouvernement du Président Xi.

Une hausse significative, mais l’ampleur réelle des mesures reste à préciser. Certains experts doutent d’un véritable « quoi qu’il en coûte » à la chinoise et y voient surtout un outil pour gérer les risques financiers. Le spectre de la dette plane toujours sur l’Empire du Milieu.

Des incertitudes commerciales pèsent aussi

Au tableau des défis économiques figure aussi le climat d’incertitude sur le commerce international. Entre tensions géopolitiques, guerre technologique sino-américaine et découplage partiel des chaînes d’approvisionnement, les entreprises chinoises font face à un contexte plus volatil et potentiellement moins porteur.

Pour les aider, Pékin prévoit de continuer à assouplir certaines règles à l’exportation et renforcer les aides au « sauvetage ». Mais les perspectives à l’international restent contrastées à court terme.

Atteindre l’objectif de 5% de croissance en 2024 ?

Malgré ce cocktail de défis, les autorités chinoises se veulent confiantes. Elles visent une croissance d’environ 5% en 2024, un objectif jugé atteignable malgré les vents contraires.

Mais tous les économistes ne partagent pas cet optimisme. Le FMI table plutôt sur une hausse du PIB de 4,8% l’an prochain, avant un nouveau ralentissement à 4,5% en 2025.

La deuxième puissance mondiale n’a donc pas fini de manœuvrer face aux écueils. La politique budgétaire plus active sera un levier essentiel, mais pas forcément suffisant. La Chine va devoir jouer sur tous les tableaux – monétaire, fiscale, règlementaire – pour tenter de retrouver son élan.

En Bref

  • La Chine annonce une politique budgétaire « plus active » pour 2025
  • Objectif : soutenir la consommation et les finances des collectivités locales
  • Hausse prévue du déficit budgétaire, qui pourrait atteindre 3,5 à 4% du PIB
  • Mesures pour aider les entreprises exportatrices face aux incertitudes
  • Croissance de 5% visée en 2024, mais des prévisions plus prudentes du FMI

Face à une conjoncture compliquée, Pékin sort donc les grands moyens budgétaires. Une stratégie nécessaire, mais pas dénuée de risques dans un pays déjà très endetté. L’équilibre sera subtil à trouver pour relancer la machine économique chinoise sans dérailler. Tout un programme pour le nouveau gouvernement du Président Xi.

Pour donner plus de marge de manœuvre aux autorités locales et nationales, le gouvernement envisage donc d’accroître son déficit budgétaire en 2025. Celui-ci pourrait atteindre 3,5% à 4% du PIB selon des économistes, contre 3% visé cette année.

Une hausse significative, mais l’ampleur réelle des mesures reste à préciser. Certains experts doutent d’un véritable « quoi qu’il en coûte » à la chinoise et y voient surtout un outil pour gérer les risques financiers. Le spectre de la dette plane toujours sur l’Empire du Milieu.

Des incertitudes commerciales pèsent aussi

Au tableau des défis économiques figure aussi le climat d’incertitude sur le commerce international. Entre tensions géopolitiques, guerre technologique sino-américaine et découplage partiel des chaînes d’approvisionnement, les entreprises chinoises font face à un contexte plus volatil et potentiellement moins porteur.

Pour les aider, Pékin prévoit de continuer à assouplir certaines règles à l’exportation et renforcer les aides au « sauvetage ». Mais les perspectives à l’international restent contrastées à court terme.

Atteindre l’objectif de 5% de croissance en 2024 ?

Malgré ce cocktail de défis, les autorités chinoises se veulent confiantes. Elles visent une croissance d’environ 5% en 2024, un objectif jugé atteignable malgré les vents contraires.

Mais tous les économistes ne partagent pas cet optimisme. Le FMI table plutôt sur une hausse du PIB de 4,8% l’an prochain, avant un nouveau ralentissement à 4,5% en 2025.

La deuxième puissance mondiale n’a donc pas fini de manœuvrer face aux écueils. La politique budgétaire plus active sera un levier essentiel, mais pas forcément suffisant. La Chine va devoir jouer sur tous les tableaux – monétaire, fiscale, règlementaire – pour tenter de retrouver son élan.

En Bref

  • La Chine annonce une politique budgétaire « plus active » pour 2025
  • Objectif : soutenir la consommation et les finances des collectivités locales
  • Hausse prévue du déficit budgétaire, qui pourrait atteindre 3,5 à 4% du PIB
  • Mesures pour aider les entreprises exportatrices face aux incertitudes
  • Croissance de 5% visée en 2024, mais des prévisions plus prudentes du FMI

Face à une conjoncture compliquée, Pékin sort donc les grands moyens budgétaires. Une stratégie nécessaire, mais pas dénuée de risques dans un pays déjà très endetté. L’équilibre sera subtil à trouver pour relancer la machine économique chinoise sans dérailler. Tout un programme pour le nouveau gouvernement du Président Xi.

Pour donner plus de marge de manœuvre aux autorités locales et nationales, le gouvernement envisage donc d’accroître son déficit budgétaire en 2025. Celui-ci pourrait atteindre 3,5% à 4% du PIB selon des économistes, contre 3% visé cette année.

Une hausse significative, mais l’ampleur réelle des mesures reste à préciser. Certains experts doutent d’un véritable « quoi qu’il en coûte » à la chinoise et y voient surtout un outil pour gérer les risques financiers. Le spectre de la dette plane toujours sur l’Empire du Milieu.

Des incertitudes commerciales pèsent aussi

Au tableau des défis économiques figure aussi le climat d’incertitude sur le commerce international. Entre tensions géopolitiques, guerre technologique sino-américaine et découplage partiel des chaînes d’approvisionnement, les entreprises chinoises font face à un contexte plus volatil et potentiellement moins porteur.

Pour les aider, Pékin prévoit de continuer à assouplir certaines règles à l’exportation et renforcer les aides au « sauvetage ». Mais les perspectives à l’international restent contrastées à court terme.

Atteindre l’objectif de 5% de croissance en 2024 ?

Malgré ce cocktail de défis, les autorités chinoises se veulent confiantes. Elles visent une croissance d’environ 5% en 2024, un objectif jugé atteignable malgré les vents contraires.

Mais tous les économistes ne partagent pas cet optimisme. Le FMI table plutôt sur une hausse du PIB de 4,8% l’an prochain, avant un nouveau ralentissement à 4,5% en 2025.

La deuxième puissance mondiale n’a donc pas fini de manœuvrer face aux écueils. La politique budgétaire plus active sera un levier essentiel, mais pas forcément suffisant. La Chine va devoir jouer sur tous les tableaux – monétaire, fiscale, règlementaire – pour tenter de retrouver son élan.

En Bref

  • La Chine annonce une politique budgétaire « plus active » pour 2025
  • Objectif : soutenir la consommation et les finances des collectivités locales
  • Hausse prévue du déficit budgétaire, qui pourrait atteindre 3,5 à 4% du PIB
  • Mesures pour aider les entreprises exportatrices face aux incertitudes
  • Croissance de 5% visée en 2024, mais des prévisions plus prudentes du FMI

Face à une conjoncture compliquée, Pékin sort donc les grands moyens budgétaires. Une stratégie nécessaire, mais pas dénuée de risques dans un pays déjà très endetté. L’équilibre sera subtil à trouver pour relancer la machine économique chinoise sans dérailler. Tout un programme pour le nouveau gouvernement du Président Xi.

Un déficit budgétaire plus élevé en 2025

Pour donner plus de marge de manœuvre aux autorités locales et nationales, le gouvernement envisage donc d’accroître son déficit budgétaire en 2025. Celui-ci pourrait atteindre 3,5% à 4% du PIB selon des économistes, contre 3% visé cette année.

Une hausse significative, mais l’ampleur réelle des mesures reste à préciser. Certains experts doutent d’un véritable « quoi qu’il en coûte » à la chinoise et y voient surtout un outil pour gérer les risques financiers. Le spectre de la dette plane toujours sur l’Empire du Milieu.

Des incertitudes commerciales pèsent aussi

Au tableau des défis économiques figure aussi le climat d’incertitude sur le commerce international. Entre tensions géopolitiques, guerre technologique sino-américaine et découplage partiel des chaînes d’approvisionnement, les entreprises chinoises font face à un contexte plus volatil et potentiellement moins porteur.

Pour les aider, Pékin prévoit de continuer à assouplir certaines règles à l’exportation et renforcer les aides au « sauvetage ». Mais les perspectives à l’international restent contrastées à court terme.

Atteindre l’objectif de 5% de croissance en 2024 ?

Malgré ce cocktail de défis, les autorités chinoises se veulent confiantes. Elles visent une croissance d’environ 5% en 2024, un objectif jugé atteignable malgré les vents contraires.

Mais tous les économistes ne partagent pas cet optimisme. Le FMI table plutôt sur une hausse du PIB de 4,8% l’an prochain, avant un nouveau ralentissement à 4,5% en 2025.

La deuxième puissance mondiale n’a donc pas fini de manœuvrer face aux écueils. La politique budgétaire plus active sera un levier essentiel, mais pas forcément suffisant. La Chine va devoir jouer sur tous les tableaux – monétaire, fiscale, règlementaire – pour tenter de retrouver son élan.

En Bref

  • La Chine annonce une politique budgétaire « plus active » pour 2025
  • Objectif : soutenir la consommation et les finances des collectivités locales
  • Hausse prévue du déficit budgétaire, qui pourrait atteindre 3,5 à 4% du PIB
  • Mesures pour aider les entreprises exportatrices face aux incertitudes
  • Croissance de 5% visée en 2024, mais des prévisions plus prudentes du FMI

Face à une conjoncture compliquée, Pékin sort donc les grands moyens budgétaires. Une stratégie nécessaire, mais pas dénuée de risques dans un pays déjà très endetté. L’équilibre sera subtil à trouver pour relancer la machine économique chinoise sans dérailler. Tout un programme pour le nouveau gouvernement du Président Xi.

Un déficit budgétaire plus élevé en 2025

Pour donner plus de marge de manœuvre aux autorités locales et nationales, le gouvernement envisage donc d’accroître son déficit budgétaire en 2025. Celui-ci pourrait atteindre 3,5% à 4% du PIB selon des économistes, contre 3% visé cette année.

Une hausse significative, mais l’ampleur réelle des mesures reste à préciser. Certains experts doutent d’un véritable « quoi qu’il en coûte » à la chinoise et y voient surtout un outil pour gérer les risques financiers. Le spectre de la dette plane toujours sur l’Empire du Milieu.

Des incertitudes commerciales pèsent aussi

Au tableau des défis économiques figure aussi le climat d’incertitude sur le commerce international. Entre tensions géopolitiques, guerre technologique sino-américaine et découplage partiel des chaînes d’approvisionnement, les entreprises chinoises font face à un contexte plus volatil et potentiellement moins porteur.

Pour les aider, Pékin prévoit de continuer à assouplir certaines règles à l’exportation et renforcer les aides au « sauvetage ». Mais les perspectives à l’international restent contrastées à court terme.

Atteindre l’objectif de 5% de croissance en 2024 ?

Malgré ce cocktail de défis, les autorités chinoises se veulent confiantes. Elles visent une croissance d’environ 5% en 2024, un objectif jugé atteignable malgré les vents contraires.

Mais tous les économistes ne partagent pas cet optimisme. Le FMI table plutôt sur une hausse du PIB de 4,8% l’an prochain, avant un nouveau ralentissement à 4,5% en 2025.

La deuxième puissance mondiale n’a donc pas fini de manœuvrer face aux écueils. La politique budgétaire plus active sera un levier essentiel, mais pas forcément suffisant. La Chine va devoir jouer sur tous les tableaux – monétaire, fiscale, règlementaire – pour tenter de retrouver son élan.

En Bref

  • La Chine annonce une politique budgétaire « plus active » pour 2025
  • Objectif : soutenir la consommation et les finances des collectivités locales
  • Hausse prévue du déficit budgétaire, qui pourrait atteindre 3,5 à 4% du PIB
  • Mesures pour aider les entreprises exportatrices face aux incertitudes
  • Croissance de 5% visée en 2024, mais des prévisions plus prudentes du FMI

Face à une conjoncture compliquée, Pékin sort donc les grands moyens budgétaires. Une stratégie nécessaire, mais pas dénuée de risques dans un pays déjà très endetté. L’équilibre sera subtil à trouver pour relancer la machine économique chinoise sans dérailler. Tout un programme pour le nouveau gouvernement du Président Xi.

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