Alors que le nouveau gouvernement vient à peine d’être annoncé, avec à sa tête le Premier ministre centriste François Bayrou, les organisations patronales françaises se mobilisent déjà. Dans un contexte économique incertain, marqué par un net ralentissement, le Medef, principal syndicat patronal, a rappelé l’urgence de trouver des compromis pour relever les défis qui s’annoncent.
Selon une source proche du dossier, la priorité numéro un du gouvernement sera de proposer un budget 2025 équilibré. Un exercice périlleux qui devra concilier baisse des dépenses publiques et soutien à la croissance des entreprises, créatrices d’emplois. Le Medef assure qu’il sera au rendez-vous d’un dialogue indispensable sur ces questions.
Stabilité fiscale et compétitivité au cœur des attentes patronales
Pour le gouvernement Bayrou, l’équation est complexe. Il s’agira de présenter rapidement un budget crédible de redressement des comptes publics, sans tuer dans l’œuf une reprise économique encore fragile. Un numéro d’équilibriste qui ne pourra se faire sans concertation avec les partenaires sociaux.
Réduction des déficits, maîtrise de la dépense, soutien à l’activité et à l’emploi… Autant de priorités difficiles à concilier, qui nécessiteront des arbitrages délicats. Les prochaines semaines s’annoncent déterminantes, avec des discussions qui s’ouvrent dans un climat social tendu, sur fond de pouvoir d’achat en berne et d’inflation persistante.
Un dialogue indispensable pour définir une trajectoire soutenable
Tous les regards sont désormais tournés vers Matignon et Bercy, d’où devront émerger des propositions à même de rassembler une majorité à l’Assemblée. Un défi de taille après des mois de blocage politique et de relations dégradées entre exécutif et oppositions.
Pour le patronat comme pour les syndicats, l’heure est au dialogue et au compromis. Avec un impératif : définir rapidement une trajectoire budgétaire et économique soutenable, qui redonne de la visibilité aux acteurs économiques. Un préalable indispensable pour renouer avec une croissance durable et inclusive.
Pour le gouvernement Bayrou, l’équation est complexe. Il s’agira de présenter rapidement un budget crédible de redressement des comptes publics, sans tuer dans l’œuf une reprise économique encore fragile. Un numéro d’équilibriste qui ne pourra se faire sans concertation avec les partenaires sociaux.
Réduction des déficits, maîtrise de la dépense, soutien à l’activité et à l’emploi… Autant de priorités difficiles à concilier, qui nécessiteront des arbitrages délicats. Les prochaines semaines s’annoncent déterminantes, avec des discussions qui s’ouvrent dans un climat social tendu, sur fond de pouvoir d’achat en berne et d’inflation persistante.
Un dialogue indispensable pour définir une trajectoire soutenable
Tous les regards sont désormais tournés vers Matignon et Bercy, d’où devront émerger des propositions à même de rassembler une majorité à l’Assemblée. Un défi de taille après des mois de blocage politique et de relations dégradées entre exécutif et oppositions.
Pour le patronat comme pour les syndicats, l’heure est au dialogue et au compromis. Avec un impératif : définir rapidement une trajectoire budgétaire et économique soutenable, qui redonne de la visibilité aux acteurs économiques. Un préalable indispensable pour renouer avec une croissance durable et inclusive.
Du côté des PME, la CPME attend du nouvel exécutif qu’il agisse concrètement sur les dépenses de fonctionnement, tout en garantissant une stabilité fiscale et en évitant toute hausse du coût du travail. Des revendications partagées par les indépendants et TPE de l’U2P, qui mettent en garde contre l’impact de la paralysie politique sur l’économie.
Pour redonner des perspectives aux entreprises, le gouvernement est appelé à réformer le temps de travail. Une ligne rouge est toutefois fixée : pas de hausse des prélèvements obligatoires. Alors que la France affiche le pire déficit public de l’UE après la Roumanie, avec plus de 6% du PIB attendus cette année, les marges de manœuvre sont étroites.
Un budget 2025 en suspens après la censure du gouvernement Barnier
La tâche s’annonce ardue pour le nouveau ministre de l’Économie, Éric Lombard, ex-DG de la Caisse des Dépôts, et sa collègue des Comptes publics, Amélie de Montchalin. Ils devront remettre sur les rails un budget 2025 laissé en suspens depuis la censure surprise en décembre dernier du gouvernement mené par le conservateur Michel Barnier, trois mois seulement après sa nomination.
Ce projet de loi de finances, qui visait à assainir des comptes publics très dégradés avec un déficit supérieur à 6% du PIB, devait ramener la France dans les clous européens, sous la barre des 3%. Un objectif désormais compromis, alors que l’Hexagone affiche le déficit le plus élevé de l’UE derrière la Roumanie, loin devant tous ses partenaires.
Le gouvernement Bayrou face à une équation budgétaire complexe
Pour le gouvernement Bayrou, l’équation est complexe. Il s’agira de présenter rapidement un budget crédible de redressement des comptes publics, sans tuer dans l’œuf une reprise économique encore fragile. Un numéro d’équilibriste qui ne pourra se faire sans concertation avec les partenaires sociaux.
Réduction des déficits, maîtrise de la dépense, soutien à l’activité et à l’emploi… Autant de priorités difficiles à concilier, qui nécessiteront des arbitrages délicats. Les prochaines semaines s’annoncent déterminantes, avec des discussions qui s’ouvrent dans un climat social tendu, sur fond de pouvoir d’achat en berne et d’inflation persistante.
Un dialogue indispensable pour définir une trajectoire soutenable
Tous les regards sont désormais tournés vers Matignon et Bercy, d’où devront émerger des propositions à même de rassembler une majorité à l’Assemblée. Un défi de taille après des mois de blocage politique et de relations dégradées entre exécutif et oppositions.
Pour le patronat comme pour les syndicats, l’heure est au dialogue et au compromis. Avec un impératif : définir rapidement une trajectoire budgétaire et économique soutenable, qui redonne de la visibilité aux acteurs économiques. Un préalable indispensable pour renouer avec une croissance durable et inclusive.
Du côté des PME, la CPME attend du nouvel exécutif qu’il agisse concrètement sur les dépenses de fonctionnement, tout en garantissant une stabilité fiscale et en évitant toute hausse du coût du travail. Des revendications partagées par les indépendants et TPE de l’U2P, qui mettent en garde contre l’impact de la paralysie politique sur l’économie.
Pour redonner des perspectives aux entreprises, le gouvernement est appelé à réformer le temps de travail. Une ligne rouge est toutefois fixée : pas de hausse des prélèvements obligatoires. Alors que la France affiche le pire déficit public de l’UE après la Roumanie, avec plus de 6% du PIB attendus cette année, les marges de manœuvre sont étroites.
Un budget 2025 en suspens après la censure du gouvernement Barnier
La tâche s’annonce ardue pour le nouveau ministre de l’Économie, Éric Lombard, ex-DG de la Caisse des Dépôts, et sa collègue des Comptes publics, Amélie de Montchalin. Ils devront remettre sur les rails un budget 2025 laissé en suspens depuis la censure surprise en décembre dernier du gouvernement mené par le conservateur Michel Barnier, trois mois seulement après sa nomination.
Ce projet de loi de finances, qui visait à assainir des comptes publics très dégradés avec un déficit supérieur à 6% du PIB, devait ramener la France dans les clous européens, sous la barre des 3%. Un objectif désormais compromis, alors que l’Hexagone affiche le déficit le plus élevé de l’UE derrière la Roumanie, loin devant tous ses partenaires.
Le gouvernement Bayrou face à une équation budgétaire complexe
Pour le gouvernement Bayrou, l’équation est complexe. Il s’agira de présenter rapidement un budget crédible de redressement des comptes publics, sans tuer dans l’œuf une reprise économique encore fragile. Un numéro d’équilibriste qui ne pourra se faire sans concertation avec les partenaires sociaux.
Réduction des déficits, maîtrise de la dépense, soutien à l’activité et à l’emploi… Autant de priorités difficiles à concilier, qui nécessiteront des arbitrages délicats. Les prochaines semaines s’annoncent déterminantes, avec des discussions qui s’ouvrent dans un climat social tendu, sur fond de pouvoir d’achat en berne et d’inflation persistante.
Un dialogue indispensable pour définir une trajectoire soutenable
Tous les regards sont désormais tournés vers Matignon et Bercy, d’où devront émerger des propositions à même de rassembler une majorité à l’Assemblée. Un défi de taille après des mois de blocage politique et de relations dégradées entre exécutif et oppositions.
Pour le patronat comme pour les syndicats, l’heure est au dialogue et au compromis. Avec un impératif : définir rapidement une trajectoire budgétaire et économique soutenable, qui redonne de la visibilité aux acteurs économiques. Un préalable indispensable pour renouer avec une croissance durable et inclusive.