Les États-Unis sont au bord du gouffre. Ce vendredi, le pays risque de sombrer dans une paralysie budgétaire, connue sous le nom de « shutdown », suite à une série d’échecs au Congrès pour adopter un nouveau budget fédéral. En jeu : le chômage technique pour des centaines de milliers de fonctionnaires, le gel d’aides sociales et la fermeture de services publics. Une situation chaotique qui survient à l’approche de Noël.
Pourtant, un accord semblait à portée de main en début de semaine. D’après des sources proches des négociations, le président républicain de la Chambre des représentants Mike Johnson était parvenu à un compromis avec les démocrates, incluant plus de 100 milliards de dollars d’aides aux régions américaines touchées par des catastrophes naturelles.
Le revirement de Trump et l’influence grandissante de Musk
C’était sans compter sur l’intervention fracassante de deux personnalités de premier plan : le président élu Donald Trump et l’homme le plus riche du monde, Elon Musk. Dans un style rappelant son premier mandat, Trump a violemment dénoncé un texte « ridicule et extraordinairement onéreux », n’hésitant pas à provoquer le chaos à quelques semaines de son retour à la Maison Blanche.
De son côté, Elon Musk a déclenché une véritable tempête sur les réseaux sociaux. Dans une série de messages publiés sur X, le réseau social dont il est propriétaire, le milliardaire a exprimé avec virulence son opposition au projet de loi, exhortant les élus à « tuer le texte ». Une prise de position qui illustre l’influence grandissante du patron de Tesla et SpaceX sur la vie politique américaine.
Un « président Musk » dans l’ombre de Trump ?
L’impact du milliardaire est tel que certains élus démocrates n’hésitent plus à ironiser sur un « président Musk », reléguant Donald Trump à un rôle de second plan. Une situation inédite qui soulève des questions sur les rapports de force au sein du pouvoir et les réelles motivations derrière ces prises de position tranchées.
Le casse-tête du plafond de la dette
Malgré la bénédiction de Trump, l’adoption du nouveau texte a échoué jeudi à la Chambre des représentants, une majorité de l’aile trumpiste du parti républicain ayant fait défection. Les négociations sont désormais dans l’impasse, les démocrates exigeant un retour à l’accord initial tandis qu’une frange des républicains réclame des coupes budgétaires.
Face à cette situation inextricable, les chefs de file démocrates et républicains tentent de reprendre la main. Pour le démocrate Hakeem Jeffries, les élus trumpistes « extrêmes » n’ont pas la volonté « sérieuse d’aider les Américains de la classe populaire » et sont « tout simplement aux ordres de leurs riches donateurs ». Une attaque frontale qui illustre le climat délétère régnant à Washington.
Du côté républicain, certaines voix influentes comme celle de James Comer appellent à un compromis impliquant le soutien d’élus démocrates, seule voie selon eux pour débloquer la situation. Mike Johnson a quant à lui promis de « rassembler tout le monde pour trouver une autre solution ».
Mais à quelques heures de l’échéance fatidique, l’horizon semble bouché. Si aucun terrain d’entente n’est trouvé, les États-Unis basculeront à minuit dans ce « shutdown » tant redouté, synonyme de paralysie pour de larges pans de l’administration et de l’économie. Une perspective cauchemardesque pour des millions d’Américains et un véritable baptême du feu pour un Donald Trump qui semble déjà imprimer sa marque sur la vie politique du pays.
Malgré la bénédiction de Trump, l’adoption du nouveau texte a échoué jeudi à la Chambre des représentants, une majorité de l’aile trumpiste du parti républicain ayant fait défection. Les négociations sont désormais dans l’impasse, les démocrates exigeant un retour à l’accord initial tandis qu’une frange des républicains réclame des coupes budgétaires.
Face à cette situation inextricable, les chefs de file démocrates et républicains tentent de reprendre la main. Pour le démocrate Hakeem Jeffries, les élus trumpistes « extrêmes » n’ont pas la volonté « sérieuse d’aider les Américains de la classe populaire » et sont « tout simplement aux ordres de leurs riches donateurs ». Une attaque frontale qui illustre le climat délétère régnant à Washington.
Du côté républicain, certaines voix influentes comme celle de James Comer appellent à un compromis impliquant le soutien d’élus démocrates, seule voie selon eux pour débloquer la situation. Mike Johnson a quant à lui promis de « rassembler tout le monde pour trouver une autre solution ».
Mais à quelques heures de l’échéance fatidique, l’horizon semble bouché. Si aucun terrain d’entente n’est trouvé, les États-Unis basculeront à minuit dans ce « shutdown » tant redouté, synonyme de paralysie pour de larges pans de l’administration et de l’économie. Une perspective cauchemardesque pour des millions d’Américains et un véritable baptême du feu pour un Donald Trump qui semble déjà imprimer sa marque sur la vie politique du pays.
Conscient de cet enjeu, Donald Trump a conditionné son soutien à un nouveau texte budgétaire au report de cette échéance à janvier 2027, soit bien après la fin de son mandat. Une manœuvre jugée purement politique par ses détracteurs, mais que le président élu justifie par sa volonté d’éviter un « piège vicieux » tendu selon lui par les démocrates.
Vers une issue à la crise ?
Malgré la bénédiction de Trump, l’adoption du nouveau texte a échoué jeudi à la Chambre des représentants, une majorité de l’aile trumpiste du parti républicain ayant fait défection. Les négociations sont désormais dans l’impasse, les démocrates exigeant un retour à l’accord initial tandis qu’une frange des républicains réclame des coupes budgétaires.
Face à cette situation inextricable, les chefs de file démocrates et républicains tentent de reprendre la main. Pour le démocrate Hakeem Jeffries, les élus trumpistes « extrêmes » n’ont pas la volonté « sérieuse d’aider les Américains de la classe populaire » et sont « tout simplement aux ordres de leurs riches donateurs ». Une attaque frontale qui illustre le climat délétère régnant à Washington.
Du côté républicain, certaines voix influentes comme celle de James Comer appellent à un compromis impliquant le soutien d’élus démocrates, seule voie selon eux pour débloquer la situation. Mike Johnson a quant à lui promis de « rassembler tout le monde pour trouver une autre solution ».
Mais à quelques heures de l’échéance fatidique, l’horizon semble bouché. Si aucun terrain d’entente n’est trouvé, les États-Unis basculeront à minuit dans ce « shutdown » tant redouté, synonyme de paralysie pour de larges pans de l’administration et de l’économie. Une perspective cauchemardesque pour des millions d’Américains et un véritable baptême du feu pour un Donald Trump qui semble déjà imprimer sa marque sur la vie politique du pays.
Conscient de cet enjeu, Donald Trump a conditionné son soutien à un nouveau texte budgétaire au report de cette échéance à janvier 2027, soit bien après la fin de son mandat. Une manœuvre jugée purement politique par ses détracteurs, mais que le président élu justifie par sa volonté d’éviter un « piège vicieux » tendu selon lui par les démocrates.
Vers une issue à la crise ?
Malgré la bénédiction de Trump, l’adoption du nouveau texte a échoué jeudi à la Chambre des représentants, une majorité de l’aile trumpiste du parti républicain ayant fait défection. Les négociations sont désormais dans l’impasse, les démocrates exigeant un retour à l’accord initial tandis qu’une frange des républicains réclame des coupes budgétaires.
Face à cette situation inextricable, les chefs de file démocrates et républicains tentent de reprendre la main. Pour le démocrate Hakeem Jeffries, les élus trumpistes « extrêmes » n’ont pas la volonté « sérieuse d’aider les Américains de la classe populaire » et sont « tout simplement aux ordres de leurs riches donateurs ». Une attaque frontale qui illustre le climat délétère régnant à Washington.
Du côté républicain, certaines voix influentes comme celle de James Comer appellent à un compromis impliquant le soutien d’élus démocrates, seule voie selon eux pour débloquer la situation. Mike Johnson a quant à lui promis de « rassembler tout le monde pour trouver une autre solution ».
Mais à quelques heures de l’échéance fatidique, l’horizon semble bouché. Si aucun terrain d’entente n’est trouvé, les États-Unis basculeront à minuit dans ce « shutdown » tant redouté, synonyme de paralysie pour de larges pans de l’administration et de l’économie. Une perspective cauchemardesque pour des millions d’Américains et un véritable baptême du feu pour un Donald Trump qui semble déjà imprimer sa marque sur la vie politique du pays.
Au cœur des débats se trouve également l’épineuse question du plafond de la dette américaine. Les États-Unis ont la particularité de se heurter régulièrement à une limite d’endettement fixée par le Congrès. Sans un accord pour suspendre ou relever ce plafond, le pays pourrait se retrouver en défaut de paiement dès le mois de juin.
Conscient de cet enjeu, Donald Trump a conditionné son soutien à un nouveau texte budgétaire au report de cette échéance à janvier 2027, soit bien après la fin de son mandat. Une manœuvre jugée purement politique par ses détracteurs, mais que le président élu justifie par sa volonté d’éviter un « piège vicieux » tendu selon lui par les démocrates.
Vers une issue à la crise ?
Malgré la bénédiction de Trump, l’adoption du nouveau texte a échoué jeudi à la Chambre des représentants, une majorité de l’aile trumpiste du parti républicain ayant fait défection. Les négociations sont désormais dans l’impasse, les démocrates exigeant un retour à l’accord initial tandis qu’une frange des républicains réclame des coupes budgétaires.
Face à cette situation inextricable, les chefs de file démocrates et républicains tentent de reprendre la main. Pour le démocrate Hakeem Jeffries, les élus trumpistes « extrêmes » n’ont pas la volonté « sérieuse d’aider les Américains de la classe populaire » et sont « tout simplement aux ordres de leurs riches donateurs ». Une attaque frontale qui illustre le climat délétère régnant à Washington.
Du côté républicain, certaines voix influentes comme celle de James Comer appellent à un compromis impliquant le soutien d’élus démocrates, seule voie selon eux pour débloquer la situation. Mike Johnson a quant à lui promis de « rassembler tout le monde pour trouver une autre solution ».
Mais à quelques heures de l’échéance fatidique, l’horizon semble bouché. Si aucun terrain d’entente n’est trouvé, les États-Unis basculeront à minuit dans ce « shutdown » tant redouté, synonyme de paralysie pour de larges pans de l’administration et de l’économie. Une perspective cauchemardesque pour des millions d’Américains et un véritable baptême du feu pour un Donald Trump qui semble déjà imprimer sa marque sur la vie politique du pays.
Au cœur des débats se trouve également l’épineuse question du plafond de la dette américaine. Les États-Unis ont la particularité de se heurter régulièrement à une limite d’endettement fixée par le Congrès. Sans un accord pour suspendre ou relever ce plafond, le pays pourrait se retrouver en défaut de paiement dès le mois de juin.
Conscient de cet enjeu, Donald Trump a conditionné son soutien à un nouveau texte budgétaire au report de cette échéance à janvier 2027, soit bien après la fin de son mandat. Une manœuvre jugée purement politique par ses détracteurs, mais que le président élu justifie par sa volonté d’éviter un « piège vicieux » tendu selon lui par les démocrates.
Vers une issue à la crise ?
Malgré la bénédiction de Trump, l’adoption du nouveau texte a échoué jeudi à la Chambre des représentants, une majorité de l’aile trumpiste du parti républicain ayant fait défection. Les négociations sont désormais dans l’impasse, les démocrates exigeant un retour à l’accord initial tandis qu’une frange des républicains réclame des coupes budgétaires.
Face à cette situation inextricable, les chefs de file démocrates et républicains tentent de reprendre la main. Pour le démocrate Hakeem Jeffries, les élus trumpistes « extrêmes » n’ont pas la volonté « sérieuse d’aider les Américains de la classe populaire » et sont « tout simplement aux ordres de leurs riches donateurs ». Une attaque frontale qui illustre le climat délétère régnant à Washington.
Du côté républicain, certaines voix influentes comme celle de James Comer appellent à un compromis impliquant le soutien d’élus démocrates, seule voie selon eux pour débloquer la situation. Mike Johnson a quant à lui promis de « rassembler tout le monde pour trouver une autre solution ».
Mais à quelques heures de l’échéance fatidique, l’horizon semble bouché. Si aucun terrain d’entente n’est trouvé, les États-Unis basculeront à minuit dans ce « shutdown » tant redouté, synonyme de paralysie pour de larges pans de l’administration et de l’économie. Une perspective cauchemardesque pour des millions d’Américains et un véritable baptême du feu pour un Donald Trump qui semble déjà imprimer sa marque sur la vie politique du pays.