C’est une affaire qui dure depuis plus de 40 ans et qui continue de déchirer l’opinion. Georges Ibrahim Abdallah, militant libanais pro-palestinien détenu en France depuis 1984 pour complicité dans l’assassinat de deux diplomates, un Américain et un Israélien, pourrait bientôt recouvrer la liberté. Une perspective qui suscite autant d’espoir chez ses soutiens que d’inquiétude chez ses détracteurs.
La justice française au cœur d’un dossier explosif
Condamné en 1987 à la réclusion criminelle à perpétuité, Georges Ibrahim Abdallah est aujourd’hui âgé de 73 ans. Bien que libérable depuis 25 ans, ses précédentes demandes de remise en liberté avaient toutes été rejetées, sauf une en 2013, acceptée sous condition d’expulsion vers le Liban. Une décision finalement bloquée, le gouvernement français n’ayant jamais signé l’arrêté nécessaire.
Mais en novembre dernier, un espoir est né pour celui que beaucoup considèrent comme le plus ancien prisonnier politique d’Europe. Le tribunal d’application des peines antiterroriste a en effet autorisé sa libération conditionnelle, estimant qu’il ne présentait plus de risque de récidive terroriste. Une décision historique, immédiatement suspendue par l’appel du parquet.
Washington s’oppose à sa libération
C’est maintenant à la cour d’appel de Paris de trancher. Et le dossier est explosif, car les États-Unis, partie civile lors du procès de 1987, font pression pour que Georges Ibrahim Abdallah reste derrière les barreaux. Ils ont systématiquement combattu toutes ses demandes de libération au fil des années.
Dans le cas contraire, ses soutiens promettent de ne pas désarmer et d’utiliser toutes les voies de recours possibles, y compris devant la Cour européenne des droits de l’Homme, dénonçant un « acharnement judiciaire » et une « vengeance d’État ». La balle est maintenant dans le camp de la justice française, qui devra trancher dans ce dossier aussi politique que judiciaire.
Dans le cas contraire, ses soutiens promettent de ne pas désarmer et d’utiliser toutes les voies de recours possibles, y compris devant la Cour européenne des droits de l’Homme, dénonçant un « acharnement judiciaire » et une « vengeance d’État ». La balle est maintenant dans le camp de la justice française, qui devra trancher dans ce dossier aussi politique que judiciaire.
Si la cour d’appel confirme la décision de première instance, un retour au Liban de Georges Ibrahim Abdallah sera quasi inéluctable. Son pays, par la voix de son ambassade à Paris, a en effet indiqué être prêt à l’accueillir.
Dans le cas contraire, ses soutiens promettent de ne pas désarmer et d’utiliser toutes les voies de recours possibles, y compris devant la Cour européenne des droits de l’Homme, dénonçant un « acharnement judiciaire » et une « vengeance d’État ». La balle est maintenant dans le camp de la justice française, qui devra trancher dans ce dossier aussi politique que judiciaire.
Si la cour d’appel confirme la décision de première instance, un retour au Liban de Georges Ibrahim Abdallah sera quasi inéluctable. Son pays, par la voix de son ambassade à Paris, a en effet indiqué être prêt à l’accueillir.
Dans le cas contraire, ses soutiens promettent de ne pas désarmer et d’utiliser toutes les voies de recours possibles, y compris devant la Cour européenne des droits de l’Homme, dénonçant un « acharnement judiciaire » et une « vengeance d’État ». La balle est maintenant dans le camp de la justice française, qui devra trancher dans ce dossier aussi politique que judiciaire.
Resté un symbole pour la cause palestinienne, sa détention est très surveillée. Les autorités craignent qu’il ne redevienne une figure de la lutte armée s’il était remis en liberté. Une éventualité balayée par ses avocats qui mettent en avant son âge, son parcours carcéral exemplaire et son engagement à mener un combat pacifique une fois libéré.
Un dénouement attendu
Si la cour d’appel confirme la décision de première instance, un retour au Liban de Georges Ibrahim Abdallah sera quasi inéluctable. Son pays, par la voix de son ambassade à Paris, a en effet indiqué être prêt à l’accueillir.
Dans le cas contraire, ses soutiens promettent de ne pas désarmer et d’utiliser toutes les voies de recours possibles, y compris devant la Cour européenne des droits de l’Homme, dénonçant un « acharnement judiciaire » et une « vengeance d’État ». La balle est maintenant dans le camp de la justice française, qui devra trancher dans ce dossier aussi politique que judiciaire.
Resté un symbole pour la cause palestinienne, sa détention est très surveillée. Les autorités craignent qu’il ne redevienne une figure de la lutte armée s’il était remis en liberté. Une éventualité balayée par ses avocats qui mettent en avant son âge, son parcours carcéral exemplaire et son engagement à mener un combat pacifique une fois libéré.
Un dénouement attendu
Si la cour d’appel confirme la décision de première instance, un retour au Liban de Georges Ibrahim Abdallah sera quasi inéluctable. Son pays, par la voix de son ambassade à Paris, a en effet indiqué être prêt à l’accueillir.
Dans le cas contraire, ses soutiens promettent de ne pas désarmer et d’utiliser toutes les voies de recours possibles, y compris devant la Cour européenne des droits de l’Homme, dénonçant un « acharnement judiciaire » et une « vengeance d’État ». La balle est maintenant dans le camp de la justice française, qui devra trancher dans ce dossier aussi politique que judiciaire.
Pendant ses longues années de détention, d’abord à la prison de la Santé à Paris puis au centre pénitentiaire de Lannemezan dans les Hautes-Pyrénées, Georges Ibrahim Abdallah s’est forgé une réputation de détenu modèle, étudiant assidûment la philosophie et écrivant de la poésie engagée.
Resté un symbole pour la cause palestinienne, sa détention est très surveillée. Les autorités craignent qu’il ne redevienne une figure de la lutte armée s’il était remis en liberté. Une éventualité balayée par ses avocats qui mettent en avant son âge, son parcours carcéral exemplaire et son engagement à mener un combat pacifique une fois libéré.
Un dénouement attendu
Si la cour d’appel confirme la décision de première instance, un retour au Liban de Georges Ibrahim Abdallah sera quasi inéluctable. Son pays, par la voix de son ambassade à Paris, a en effet indiqué être prêt à l’accueillir.
Dans le cas contraire, ses soutiens promettent de ne pas désarmer et d’utiliser toutes les voies de recours possibles, y compris devant la Cour européenne des droits de l’Homme, dénonçant un « acharnement judiciaire » et une « vengeance d’État ». La balle est maintenant dans le camp de la justice française, qui devra trancher dans ce dossier aussi politique que judiciaire.
Pendant ses longues années de détention, d’abord à la prison de la Santé à Paris puis au centre pénitentiaire de Lannemezan dans les Hautes-Pyrénées, Georges Ibrahim Abdallah s’est forgé une réputation de détenu modèle, étudiant assidûment la philosophie et écrivant de la poésie engagée.
Resté un symbole pour la cause palestinienne, sa détention est très surveillée. Les autorités craignent qu’il ne redevienne une figure de la lutte armée s’il était remis en liberté. Une éventualité balayée par ses avocats qui mettent en avant son âge, son parcours carcéral exemplaire et son engagement à mener un combat pacifique une fois libéré.
Un dénouement attendu
Si la cour d’appel confirme la décision de première instance, un retour au Liban de Georges Ibrahim Abdallah sera quasi inéluctable. Son pays, par la voix de son ambassade à Paris, a en effet indiqué être prêt à l’accueillir.
Dans le cas contraire, ses soutiens promettent de ne pas désarmer et d’utiliser toutes les voies de recours possibles, y compris devant la Cour européenne des droits de l’Homme, dénonçant un « acharnement judiciaire » et une « vengeance d’État ». La balle est maintenant dans le camp de la justice française, qui devra trancher dans ce dossier aussi politique que judiciaire.
Une détention très surveillée
Pendant ses longues années de détention, d’abord à la prison de la Santé à Paris puis au centre pénitentiaire de Lannemezan dans les Hautes-Pyrénées, Georges Ibrahim Abdallah s’est forgé une réputation de détenu modèle, étudiant assidûment la philosophie et écrivant de la poésie engagée.
Resté un symbole pour la cause palestinienne, sa détention est très surveillée. Les autorités craignent qu’il ne redevienne une figure de la lutte armée s’il était remis en liberté. Une éventualité balayée par ses avocats qui mettent en avant son âge, son parcours carcéral exemplaire et son engagement à mener un combat pacifique une fois libéré.
Un dénouement attendu
Si la cour d’appel confirme la décision de première instance, un retour au Liban de Georges Ibrahim Abdallah sera quasi inéluctable. Son pays, par la voix de son ambassade à Paris, a en effet indiqué être prêt à l’accueillir.
Dans le cas contraire, ses soutiens promettent de ne pas désarmer et d’utiliser toutes les voies de recours possibles, y compris devant la Cour européenne des droits de l’Homme, dénonçant un « acharnement judiciaire » et une « vengeance d’État ». La balle est maintenant dans le camp de la justice française, qui devra trancher dans ce dossier aussi politique que judiciaire.
Une détention très surveillée
Pendant ses longues années de détention, d’abord à la prison de la Santé à Paris puis au centre pénitentiaire de Lannemezan dans les Hautes-Pyrénées, Georges Ibrahim Abdallah s’est forgé une réputation de détenu modèle, étudiant assidûment la philosophie et écrivant de la poésie engagée.
Resté un symbole pour la cause palestinienne, sa détention est très surveillée. Les autorités craignent qu’il ne redevienne une figure de la lutte armée s’il était remis en liberté. Une éventualité balayée par ses avocats qui mettent en avant son âge, son parcours carcéral exemplaire et son engagement à mener un combat pacifique une fois libéré.
Un dénouement attendu
Si la cour d’appel confirme la décision de première instance, un retour au Liban de Georges Ibrahim Abdallah sera quasi inéluctable. Son pays, par la voix de son ambassade à Paris, a en effet indiqué être prêt à l’accueillir.
Dans le cas contraire, ses soutiens promettent de ne pas désarmer et d’utiliser toutes les voies de recours possibles, y compris devant la Cour européenne des droits de l’Homme, dénonçant un « acharnement judiciaire » et une « vengeance d’État ». La balle est maintenant dans le camp de la justice française, qui devra trancher dans ce dossier aussi politique que judiciaire.
Accusé d’avoir participé à la préparation des assassinats revendiqués par les FARL, il est interpellé à Lyon en 1984. Lors de son procès très médiatisé, il ne niera pas son engagement révolutionnaire mais contestera toute implication directe dans ces crimes. Les preuves contre lui reposeront essentiellement sur des écoutes téléphoniques et des notes manuscrites.
Une détention très surveillée
Pendant ses longues années de détention, d’abord à la prison de la Santé à Paris puis au centre pénitentiaire de Lannemezan dans les Hautes-Pyrénées, Georges Ibrahim Abdallah s’est forgé une réputation de détenu modèle, étudiant assidûment la philosophie et écrivant de la poésie engagée.
Resté un symbole pour la cause palestinienne, sa détention est très surveillée. Les autorités craignent qu’il ne redevienne une figure de la lutte armée s’il était remis en liberté. Une éventualité balayée par ses avocats qui mettent en avant son âge, son parcours carcéral exemplaire et son engagement à mener un combat pacifique une fois libéré.
Un dénouement attendu
Si la cour d’appel confirme la décision de première instance, un retour au Liban de Georges Ibrahim Abdallah sera quasi inéluctable. Son pays, par la voix de son ambassade à Paris, a en effet indiqué être prêt à l’accueillir.
Dans le cas contraire, ses soutiens promettent de ne pas désarmer et d’utiliser toutes les voies de recours possibles, y compris devant la Cour européenne des droits de l’Homme, dénonçant un « acharnement judiciaire » et une « vengeance d’État ». La balle est maintenant dans le camp de la justice française, qui devra trancher dans ce dossier aussi politique que judiciaire.
Accusé d’avoir participé à la préparation des assassinats revendiqués par les FARL, il est interpellé à Lyon en 1984. Lors de son procès très médiatisé, il ne niera pas son engagement révolutionnaire mais contestera toute implication directe dans ces crimes. Les preuves contre lui reposeront essentiellement sur des écoutes téléphoniques et des notes manuscrites.
Une détention très surveillée
Pendant ses longues années de détention, d’abord à la prison de la Santé à Paris puis au centre pénitentiaire de Lannemezan dans les Hautes-Pyrénées, Georges Ibrahim Abdallah s’est forgé une réputation de détenu modèle, étudiant assidûment la philosophie et écrivant de la poésie engagée.
Resté un symbole pour la cause palestinienne, sa détention est très surveillée. Les autorités craignent qu’il ne redevienne une figure de la lutte armée s’il était remis en liberté. Une éventualité balayée par ses avocats qui mettent en avant son âge, son parcours carcéral exemplaire et son engagement à mener un combat pacifique une fois libéré.
Un dénouement attendu
Si la cour d’appel confirme la décision de première instance, un retour au Liban de Georges Ibrahim Abdallah sera quasi inéluctable. Son pays, par la voix de son ambassade à Paris, a en effet indiqué être prêt à l’accueillir.
Dans le cas contraire, ses soutiens promettent de ne pas désarmer et d’utiliser toutes les voies de recours possibles, y compris devant la Cour européenne des droits de l’Homme, dénonçant un « acharnement judiciaire » et une « vengeance d’État ». La balle est maintenant dans le camp de la justice française, qui devra trancher dans ce dossier aussi politique que judiciaire.
Pour comprendre les enjeux, il faut revenir à la personnalité de Georges Ibrahim Abdallah. Originaire du nord du Liban, il a été très jeune un militant anti-impérialiste et pro-palestinien engagé. Au début des années 80, il rejoint les Fractions Armées Révolutionnaires Libanaises (FARL), un groupe armé responsable de plusieurs attentats et assassinats.
Accusé d’avoir participé à la préparation des assassinats revendiqués par les FARL, il est interpellé à Lyon en 1984. Lors de son procès très médiatisé, il ne niera pas son engagement révolutionnaire mais contestera toute implication directe dans ces crimes. Les preuves contre lui reposeront essentiellement sur des écoutes téléphoniques et des notes manuscrites.
Une détention très surveillée
Pendant ses longues années de détention, d’abord à la prison de la Santé à Paris puis au centre pénitentiaire de Lannemezan dans les Hautes-Pyrénées, Georges Ibrahim Abdallah s’est forgé une réputation de détenu modèle, étudiant assidûment la philosophie et écrivant de la poésie engagée.
Resté un symbole pour la cause palestinienne, sa détention est très surveillée. Les autorités craignent qu’il ne redevienne une figure de la lutte armée s’il était remis en liberté. Une éventualité balayée par ses avocats qui mettent en avant son âge, son parcours carcéral exemplaire et son engagement à mener un combat pacifique une fois libéré.
Un dénouement attendu
Si la cour d’appel confirme la décision de première instance, un retour au Liban de Georges Ibrahim Abdallah sera quasi inéluctable. Son pays, par la voix de son ambassade à Paris, a en effet indiqué être prêt à l’accueillir.
Dans le cas contraire, ses soutiens promettent de ne pas désarmer et d’utiliser toutes les voies de recours possibles, y compris devant la Cour européenne des droits de l’Homme, dénonçant un « acharnement judiciaire » et une « vengeance d’État ». La balle est maintenant dans le camp de la justice française, qui devra trancher dans ce dossier aussi politique que judiciaire.
Pour comprendre les enjeux, il faut revenir à la personnalité de Georges Ibrahim Abdallah. Originaire du nord du Liban, il a été très jeune un militant anti-impérialiste et pro-palestinien engagé. Au début des années 80, il rejoint les Fractions Armées Révolutionnaires Libanaises (FARL), un groupe armé responsable de plusieurs attentats et assassinats.
Accusé d’avoir participé à la préparation des assassinats revendiqués par les FARL, il est interpellé à Lyon en 1984. Lors de son procès très médiatisé, il ne niera pas son engagement révolutionnaire mais contestera toute implication directe dans ces crimes. Les preuves contre lui reposeront essentiellement sur des écoutes téléphoniques et des notes manuscrites.
Une détention très surveillée
Pendant ses longues années de détention, d’abord à la prison de la Santé à Paris puis au centre pénitentiaire de Lannemezan dans les Hautes-Pyrénées, Georges Ibrahim Abdallah s’est forgé une réputation de détenu modèle, étudiant assidûment la philosophie et écrivant de la poésie engagée.
Resté un symbole pour la cause palestinienne, sa détention est très surveillée. Les autorités craignent qu’il ne redevienne une figure de la lutte armée s’il était remis en liberté. Une éventualité balayée par ses avocats qui mettent en avant son âge, son parcours carcéral exemplaire et son engagement à mener un combat pacifique une fois libéré.
Un dénouement attendu
Si la cour d’appel confirme la décision de première instance, un retour au Liban de Georges Ibrahim Abdallah sera quasi inéluctable. Son pays, par la voix de son ambassade à Paris, a en effet indiqué être prêt à l’accueillir.
Dans le cas contraire, ses soutiens promettent de ne pas désarmer et d’utiliser toutes les voies de recours possibles, y compris devant la Cour européenne des droits de l’Homme, dénonçant un « acharnement judiciaire » et une « vengeance d’État ». La balle est maintenant dans le camp de la justice française, qui devra trancher dans ce dossier aussi politique que judiciaire.
Un militant anti-impérialiste
Pour comprendre les enjeux, il faut revenir à la personnalité de Georges Ibrahim Abdallah. Originaire du nord du Liban, il a été très jeune un militant anti-impérialiste et pro-palestinien engagé. Au début des années 80, il rejoint les Fractions Armées Révolutionnaires Libanaises (FARL), un groupe armé responsable de plusieurs attentats et assassinats.
Accusé d’avoir participé à la préparation des assassinats revendiqués par les FARL, il est interpellé à Lyon en 1984. Lors de son procès très médiatisé, il ne niera pas son engagement révolutionnaire mais contestera toute implication directe dans ces crimes. Les preuves contre lui reposeront essentiellement sur des écoutes téléphoniques et des notes manuscrites.
Une détention très surveillée
Pendant ses longues années de détention, d’abord à la prison de la Santé à Paris puis au centre pénitentiaire de Lannemezan dans les Hautes-Pyrénées, Georges Ibrahim Abdallah s’est forgé une réputation de détenu modèle, étudiant assidûment la philosophie et écrivant de la poésie engagée.
Resté un symbole pour la cause palestinienne, sa détention est très surveillée. Les autorités craignent qu’il ne redevienne une figure de la lutte armée s’il était remis en liberté. Une éventualité balayée par ses avocats qui mettent en avant son âge, son parcours carcéral exemplaire et son engagement à mener un combat pacifique une fois libéré.
Un dénouement attendu
Si la cour d’appel confirme la décision de première instance, un retour au Liban de Georges Ibrahim Abdallah sera quasi inéluctable. Son pays, par la voix de son ambassade à Paris, a en effet indiqué être prêt à l’accueillir.
Dans le cas contraire, ses soutiens promettent de ne pas désarmer et d’utiliser toutes les voies de recours possibles, y compris devant la Cour européenne des droits de l’Homme, dénonçant un « acharnement judiciaire » et une « vengeance d’État ». La balle est maintenant dans le camp de la justice française, qui devra trancher dans ce dossier aussi politique que judiciaire.
Un militant anti-impérialiste
Pour comprendre les enjeux, il faut revenir à la personnalité de Georges Ibrahim Abdallah. Originaire du nord du Liban, il a été très jeune un militant anti-impérialiste et pro-palestinien engagé. Au début des années 80, il rejoint les Fractions Armées Révolutionnaires Libanaises (FARL), un groupe armé responsable de plusieurs attentats et assassinats.
Accusé d’avoir participé à la préparation des assassinats revendiqués par les FARL, il est interpellé à Lyon en 1984. Lors de son procès très médiatisé, il ne niera pas son engagement révolutionnaire mais contestera toute implication directe dans ces crimes. Les preuves contre lui reposeront essentiellement sur des écoutes téléphoniques et des notes manuscrites.
Une détention très surveillée
Pendant ses longues années de détention, d’abord à la prison de la Santé à Paris puis au centre pénitentiaire de Lannemezan dans les Hautes-Pyrénées, Georges Ibrahim Abdallah s’est forgé une réputation de détenu modèle, étudiant assidûment la philosophie et écrivant de la poésie engagée.
Resté un symbole pour la cause palestinienne, sa détention est très surveillée. Les autorités craignent qu’il ne redevienne une figure de la lutte armée s’il était remis en liberté. Une éventualité balayée par ses avocats qui mettent en avant son âge, son parcours carcéral exemplaire et son engagement à mener un combat pacifique une fois libéré.
Un dénouement attendu
Si la cour d’appel confirme la décision de première instance, un retour au Liban de Georges Ibrahim Abdallah sera quasi inéluctable. Son pays, par la voix de son ambassade à Paris, a en effet indiqué être prêt à l’accueillir.
Dans le cas contraire, ses soutiens promettent de ne pas désarmer et d’utiliser toutes les voies de recours possibles, y compris devant la Cour européenne des droits de l’Homme, dénonçant un « acharnement judiciaire » et une « vengeance d’État ». La balle est maintenant dans le camp de la justice française, qui devra trancher dans ce dossier aussi politique que judiciaire.
Plusieurs manifestations ont ainsi eu lieu, comme ce jeudi soir à Toulouse où environ 200 personnes ont défilé pour réclamer sa libération. Selon les organisateurs, son maintien en détention est « l’expression d’un acharnement politique des autorités françaises » au mépris du droit.
Un militant anti-impérialiste
Pour comprendre les enjeux, il faut revenir à la personnalité de Georges Ibrahim Abdallah. Originaire du nord du Liban, il a été très jeune un militant anti-impérialiste et pro-palestinien engagé. Au début des années 80, il rejoint les Fractions Armées Révolutionnaires Libanaises (FARL), un groupe armé responsable de plusieurs attentats et assassinats.
Accusé d’avoir participé à la préparation des assassinats revendiqués par les FARL, il est interpellé à Lyon en 1984. Lors de son procès très médiatisé, il ne niera pas son engagement révolutionnaire mais contestera toute implication directe dans ces crimes. Les preuves contre lui reposeront essentiellement sur des écoutes téléphoniques et des notes manuscrites.
Une détention très surveillée
Pendant ses longues années de détention, d’abord à la prison de la Santé à Paris puis au centre pénitentiaire de Lannemezan dans les Hautes-Pyrénées, Georges Ibrahim Abdallah s’est forgé une réputation de détenu modèle, étudiant assidûment la philosophie et écrivant de la poésie engagée.
Resté un symbole pour la cause palestinienne, sa détention est très surveillée. Les autorités craignent qu’il ne redevienne une figure de la lutte armée s’il était remis en liberté. Une éventualité balayée par ses avocats qui mettent en avant son âge, son parcours carcéral exemplaire et son engagement à mener un combat pacifique une fois libéré.
Un dénouement attendu
Si la cour d’appel confirme la décision de première instance, un retour au Liban de Georges Ibrahim Abdallah sera quasi inéluctable. Son pays, par la voix de son ambassade à Paris, a en effet indiqué être prêt à l’accueillir.
Dans le cas contraire, ses soutiens promettent de ne pas désarmer et d’utiliser toutes les voies de recours possibles, y compris devant la Cour européenne des droits de l’Homme, dénonçant un « acharnement judiciaire » et une « vengeance d’État ». La balle est maintenant dans le camp de la justice française, qui devra trancher dans ce dossier aussi politique que judiciaire.
Plusieurs manifestations ont ainsi eu lieu, comme ce jeudi soir à Toulouse où environ 200 personnes ont défilé pour réclamer sa libération. Selon les organisateurs, son maintien en détention est « l’expression d’un acharnement politique des autorités françaises » au mépris du droit.
Un militant anti-impérialiste
Pour comprendre les enjeux, il faut revenir à la personnalité de Georges Ibrahim Abdallah. Originaire du nord du Liban, il a été très jeune un militant anti-impérialiste et pro-palestinien engagé. Au début des années 80, il rejoint les Fractions Armées Révolutionnaires Libanaises (FARL), un groupe armé responsable de plusieurs attentats et assassinats.
Accusé d’avoir participé à la préparation des assassinats revendiqués par les FARL, il est interpellé à Lyon en 1984. Lors de son procès très médiatisé, il ne niera pas son engagement révolutionnaire mais contestera toute implication directe dans ces crimes. Les preuves contre lui reposeront essentiellement sur des écoutes téléphoniques et des notes manuscrites.
Une détention très surveillée
Pendant ses longues années de détention, d’abord à la prison de la Santé à Paris puis au centre pénitentiaire de Lannemezan dans les Hautes-Pyrénées, Georges Ibrahim Abdallah s’est forgé une réputation de détenu modèle, étudiant assidûment la philosophie et écrivant de la poésie engagée.
Resté un symbole pour la cause palestinienne, sa détention est très surveillée. Les autorités craignent qu’il ne redevienne une figure de la lutte armée s’il était remis en liberté. Une éventualité balayée par ses avocats qui mettent en avant son âge, son parcours carcéral exemplaire et son engagement à mener un combat pacifique une fois libéré.
Un dénouement attendu
Si la cour d’appel confirme la décision de première instance, un retour au Liban de Georges Ibrahim Abdallah sera quasi inéluctable. Son pays, par la voix de son ambassade à Paris, a en effet indiqué être prêt à l’accueillir.
Dans le cas contraire, ses soutiens promettent de ne pas désarmer et d’utiliser toutes les voies de recours possibles, y compris devant la Cour européenne des droits de l’Homme, dénonçant un « acharnement judiciaire » et une « vengeance d’État ». La balle est maintenant dans le camp de la justice française, qui devra trancher dans ce dossier aussi politique que judiciaire.
Ses soutiens gardent espoir
Malgré ces vents contraires, les soutiens de Georges Ibrahim Abdallah veulent croire à une issue positive le 20 février prochain. Son comité de soutien a multiplié les actions ces dernières années pour sensibiliser l’opinion à son sort.
Plusieurs manifestations ont ainsi eu lieu, comme ce jeudi soir à Toulouse où environ 200 personnes ont défilé pour réclamer sa libération. Selon les organisateurs, son maintien en détention est « l’expression d’un acharnement politique des autorités françaises » au mépris du droit.
Un militant anti-impérialiste
Pour comprendre les enjeux, il faut revenir à la personnalité de Georges Ibrahim Abdallah. Originaire du nord du Liban, il a été très jeune un militant anti-impérialiste et pro-palestinien engagé. Au début des années 80, il rejoint les Fractions Armées Révolutionnaires Libanaises (FARL), un groupe armé responsable de plusieurs attentats et assassinats.
Accusé d’avoir participé à la préparation des assassinats revendiqués par les FARL, il est interpellé à Lyon en 1984. Lors de son procès très médiatisé, il ne niera pas son engagement révolutionnaire mais contestera toute implication directe dans ces crimes. Les preuves contre lui reposeront essentiellement sur des écoutes téléphoniques et des notes manuscrites.
Une détention très surveillée
Pendant ses longues années de détention, d’abord à la prison de la Santé à Paris puis au centre pénitentiaire de Lannemezan dans les Hautes-Pyrénées, Georges Ibrahim Abdallah s’est forgé une réputation de détenu modèle, étudiant assidûment la philosophie et écrivant de la poésie engagée.
Resté un symbole pour la cause palestinienne, sa détention est très surveillée. Les autorités craignent qu’il ne redevienne une figure de la lutte armée s’il était remis en liberté. Une éventualité balayée par ses avocats qui mettent en avant son âge, son parcours carcéral exemplaire et son engagement à mener un combat pacifique une fois libéré.
Un dénouement attendu
Si la cour d’appel confirme la décision de première instance, un retour au Liban de Georges Ibrahim Abdallah sera quasi inéluctable. Son pays, par la voix de son ambassade à Paris, a en effet indiqué être prêt à l’accueillir.
Dans le cas contraire, ses soutiens promettent de ne pas désarmer et d’utiliser toutes les voies de recours possibles, y compris devant la Cour européenne des droits de l’Homme, dénonçant un « acharnement judiciaire » et une « vengeance d’État ». La balle est maintenant dans le camp de la justice française, qui devra trancher dans ce dossier aussi politique que judiciaire.
Ses soutiens gardent espoir
Malgré ces vents contraires, les soutiens de Georges Ibrahim Abdallah veulent croire à une issue positive le 20 février prochain. Son comité de soutien a multiplié les actions ces dernières années pour sensibiliser l’opinion à son sort.
Plusieurs manifestations ont ainsi eu lieu, comme ce jeudi soir à Toulouse où environ 200 personnes ont défilé pour réclamer sa libération. Selon les organisateurs, son maintien en détention est « l’expression d’un acharnement politique des autorités françaises » au mépris du droit.
Un militant anti-impérialiste
Pour comprendre les enjeux, il faut revenir à la personnalité de Georges Ibrahim Abdallah. Originaire du nord du Liban, il a été très jeune un militant anti-impérialiste et pro-palestinien engagé. Au début des années 80, il rejoint les Fractions Armées Révolutionnaires Libanaises (FARL), un groupe armé responsable de plusieurs attentats et assassinats.
Accusé d’avoir participé à la préparation des assassinats revendiqués par les FARL, il est interpellé à Lyon en 1984. Lors de son procès très médiatisé, il ne niera pas son engagement révolutionnaire mais contestera toute implication directe dans ces crimes. Les preuves contre lui reposeront essentiellement sur des écoutes téléphoniques et des notes manuscrites.
Une détention très surveillée
Pendant ses longues années de détention, d’abord à la prison de la Santé à Paris puis au centre pénitentiaire de Lannemezan dans les Hautes-Pyrénées, Georges Ibrahim Abdallah s’est forgé une réputation de détenu modèle, étudiant assidûment la philosophie et écrivant de la poésie engagée.
Resté un symbole pour la cause palestinienne, sa détention est très surveillée. Les autorités craignent qu’il ne redevienne une figure de la lutte armée s’il était remis en liberté. Une éventualité balayée par ses avocats qui mettent en avant son âge, son parcours carcéral exemplaire et son engagement à mener un combat pacifique une fois libéré.
Un dénouement attendu
Si la cour d’appel confirme la décision de première instance, un retour au Liban de Georges Ibrahim Abdallah sera quasi inéluctable. Son pays, par la voix de son ambassade à Paris, a en effet indiqué être prêt à l’accueillir.
Dans le cas contraire, ses soutiens promettent de ne pas désarmer et d’utiliser toutes les voies de recours possibles, y compris devant la Cour européenne des droits de l’Homme, dénonçant un « acharnement judiciaire » et une « vengeance d’État ». La balle est maintenant dans le camp de la justice française, qui devra trancher dans ce dossier aussi politique que judiciaire.
Lors de l’audience du 15 novembre, le parquet général s’est d’ailleurs aligné sur la position américaine selon l’avocat du détenu, maître Jean-Louis Chalanset, qui dénonce un « réquisitoire contre le jugement » et un « retour en arrière de 10 ans ». Les diplomates assassinés en 1982 étaient un attaché militaire américain et un diplomate israélien.
Ses soutiens gardent espoir
Malgré ces vents contraires, les soutiens de Georges Ibrahim Abdallah veulent croire à une issue positive le 20 février prochain. Son comité de soutien a multiplié les actions ces dernières années pour sensibiliser l’opinion à son sort.
Plusieurs manifestations ont ainsi eu lieu, comme ce jeudi soir à Toulouse où environ 200 personnes ont défilé pour réclamer sa libération. Selon les organisateurs, son maintien en détention est « l’expression d’un acharnement politique des autorités françaises » au mépris du droit.
Un militant anti-impérialiste
Pour comprendre les enjeux, il faut revenir à la personnalité de Georges Ibrahim Abdallah. Originaire du nord du Liban, il a été très jeune un militant anti-impérialiste et pro-palestinien engagé. Au début des années 80, il rejoint les Fractions Armées Révolutionnaires Libanaises (FARL), un groupe armé responsable de plusieurs attentats et assassinats.
Accusé d’avoir participé à la préparation des assassinats revendiqués par les FARL, il est interpellé à Lyon en 1984. Lors de son procès très médiatisé, il ne niera pas son engagement révolutionnaire mais contestera toute implication directe dans ces crimes. Les preuves contre lui reposeront essentiellement sur des écoutes téléphoniques et des notes manuscrites.
Une détention très surveillée
Pendant ses longues années de détention, d’abord à la prison de la Santé à Paris puis au centre pénitentiaire de Lannemezan dans les Hautes-Pyrénées, Georges Ibrahim Abdallah s’est forgé une réputation de détenu modèle, étudiant assidûment la philosophie et écrivant de la poésie engagée.
Resté un symbole pour la cause palestinienne, sa détention est très surveillée. Les autorités craignent qu’il ne redevienne une figure de la lutte armée s’il était remis en liberté. Une éventualité balayée par ses avocats qui mettent en avant son âge, son parcours carcéral exemplaire et son engagement à mener un combat pacifique une fois libéré.
Un dénouement attendu
Si la cour d’appel confirme la décision de première instance, un retour au Liban de Georges Ibrahim Abdallah sera quasi inéluctable. Son pays, par la voix de son ambassade à Paris, a en effet indiqué être prêt à l’accueillir.
Dans le cas contraire, ses soutiens promettent de ne pas désarmer et d’utiliser toutes les voies de recours possibles, y compris devant la Cour européenne des droits de l’Homme, dénonçant un « acharnement judiciaire » et une « vengeance d’État ». La balle est maintenant dans le camp de la justice française, qui devra trancher dans ce dossier aussi politique que judiciaire.
Lors de l’audience du 15 novembre, le parquet général s’est d’ailleurs aligné sur la position américaine selon l’avocat du détenu, maître Jean-Louis Chalanset, qui dénonce un « réquisitoire contre le jugement » et un « retour en arrière de 10 ans ». Les diplomates assassinés en 1982 étaient un attaché militaire américain et un diplomate israélien.
Ses soutiens gardent espoir
Malgré ces vents contraires, les soutiens de Georges Ibrahim Abdallah veulent croire à une issue positive le 20 février prochain. Son comité de soutien a multiplié les actions ces dernières années pour sensibiliser l’opinion à son sort.
Plusieurs manifestations ont ainsi eu lieu, comme ce jeudi soir à Toulouse où environ 200 personnes ont défilé pour réclamer sa libération. Selon les organisateurs, son maintien en détention est « l’expression d’un acharnement politique des autorités françaises » au mépris du droit.
Un militant anti-impérialiste
Pour comprendre les enjeux, il faut revenir à la personnalité de Georges Ibrahim Abdallah. Originaire du nord du Liban, il a été très jeune un militant anti-impérialiste et pro-palestinien engagé. Au début des années 80, il rejoint les Fractions Armées Révolutionnaires Libanaises (FARL), un groupe armé responsable de plusieurs attentats et assassinats.
Accusé d’avoir participé à la préparation des assassinats revendiqués par les FARL, il est interpellé à Lyon en 1984. Lors de son procès très médiatisé, il ne niera pas son engagement révolutionnaire mais contestera toute implication directe dans ces crimes. Les preuves contre lui reposeront essentiellement sur des écoutes téléphoniques et des notes manuscrites.
Une détention très surveillée
Pendant ses longues années de détention, d’abord à la prison de la Santé à Paris puis au centre pénitentiaire de Lannemezan dans les Hautes-Pyrénées, Georges Ibrahim Abdallah s’est forgé une réputation de détenu modèle, étudiant assidûment la philosophie et écrivant de la poésie engagée.
Resté un symbole pour la cause palestinienne, sa détention est très surveillée. Les autorités craignent qu’il ne redevienne une figure de la lutte armée s’il était remis en liberté. Une éventualité balayée par ses avocats qui mettent en avant son âge, son parcours carcéral exemplaire et son engagement à mener un combat pacifique une fois libéré.
Un dénouement attendu
Si la cour d’appel confirme la décision de première instance, un retour au Liban de Georges Ibrahim Abdallah sera quasi inéluctable. Son pays, par la voix de son ambassade à Paris, a en effet indiqué être prêt à l’accueillir.
Dans le cas contraire, ses soutiens promettent de ne pas désarmer et d’utiliser toutes les voies de recours possibles, y compris devant la Cour européenne des droits de l’Homme, dénonçant un « acharnement judiciaire » et une « vengeance d’État ». La balle est maintenant dans le camp de la justice française, qui devra trancher dans ce dossier aussi politique que judiciaire.