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Deuil National Aux Comores: Le Président Décrète Une Semaine De Recueillement

Geste de solidarité ou manœuvre politique ? Le président des Comores décrète un deuil national suite au cyclone à Mayotte, ravivant les tensions territoriales avec la France. Une semaine de recueillement pour la diaspora comorienne durement touchée, mais aussi un rappel des...

Alors que Mayotte panse encore ses plaies suite au passage dévastateur du cyclone Chido, une décision du président des Comores vient raviver les tensions diplomatiques avec ce territoire français de l’Océan Indien. En décrétant un deuil national d’une semaine, Azali Assoumani adresse certes un message de solidarité à la diaspora comorienne durement éprouvée, mais rappelle aussi les revendications territoriales de l’archipel sur l’île aux parfums.

Un geste à double tranchant

Du 16 au 22 décembre, les drapeaux comoriens seront en berne «sur les lieux, bâtiments et édifices publics» en hommage aux victimes mahoraises du cyclone, comme l’a annoncé le palais présidentiel. Un geste qui se veut avant tout humanitaire, la diaspora comorienne étant surreprésentée parmi les populations les plus vulnérables de Mayotte, celles des bidonvilles dévastés par Chido.

La présidence s’est engagée à accompagner les efforts de reconstruction tout en apportant son soutien moral et matériel aux sinistrés.

Communiqué de la présidence comorienne

Au-delà des crispations politiques, le cyclone Chido pourrait cependant ouvrir la voie à une coopération humanitaire renforcée entre la France et l’Union des Comores. Selon nos informations, des discussions seraient en cours pour permettre l’acheminement de l’aide comorienne à Mayotte, où les besoins sont immenses.

Une main tendue qui permettrait d’apaiser temporairement les relations paris-Moroni, mises à rude épreuve ces derniers mois. Car au-delà du contentieux territorial, c’est bien la détresse de milliers de sinistrés mahorais, dont une majorité de Comoriens, qui est en jeu. Un défi commun face auquel les deux pays semblent prêts à privilégier la voie diplomatique.

Reste à savoir si ce fragile rapprochement saura s’inscrire dans la durée, ou s’il ne sera qu’une parenthèse dans une relation post-coloniale complexe, où la « question mahoraise » continue de cristalliser les passions. Une chose est sûre : en décrétant un deuil national, le président Azali Assoumani a envoyé un message fort, qui ne manquera pas de faire réagir de l’autre côté du bras de mer qui sépare Mayotte des Comores.

Au-delà des crispations politiques, le cyclone Chido pourrait cependant ouvrir la voie à une coopération humanitaire renforcée entre la France et l’Union des Comores. Selon nos informations, des discussions seraient en cours pour permettre l’acheminement de l’aide comorienne à Mayotte, où les besoins sont immenses.

Une main tendue qui permettrait d’apaiser temporairement les relations paris-Moroni, mises à rude épreuve ces derniers mois. Car au-delà du contentieux territorial, c’est bien la détresse de milliers de sinistrés mahorais, dont une majorité de Comoriens, qui est en jeu. Un défi commun face auquel les deux pays semblent prêts à privilégier la voie diplomatique.

Reste à savoir si ce fragile rapprochement saura s’inscrire dans la durée, ou s’il ne sera qu’une parenthèse dans une relation post-coloniale complexe, où la « question mahoraise » continue de cristalliser les passions. Une chose est sûre : en décrétant un deuil national, le président Azali Assoumani a envoyé un message fort, qui ne manquera pas de faire réagir de l’autre côté du bras de mer qui sépare Mayotte des Comores.

Côté comorien, on dénonce régulièrement les expulsions de sans-papiers et les kwassa-kwassa, ces traversées maritimes périlleuses au départ d’Anjouan. Un drame humain symptomatique, pour Moroni, du déchirement de la Nation comorienne depuis la sécession de Mayotte.

L’aide humanitaire comme terrain d’entente ?

Au-delà des crispations politiques, le cyclone Chido pourrait cependant ouvrir la voie à une coopération humanitaire renforcée entre la France et l’Union des Comores. Selon nos informations, des discussions seraient en cours pour permettre l’acheminement de l’aide comorienne à Mayotte, où les besoins sont immenses.

Une main tendue qui permettrait d’apaiser temporairement les relations paris-Moroni, mises à rude épreuve ces derniers mois. Car au-delà du contentieux territorial, c’est bien la détresse de milliers de sinistrés mahorais, dont une majorité de Comoriens, qui est en jeu. Un défi commun face auquel les deux pays semblent prêts à privilégier la voie diplomatique.

Reste à savoir si ce fragile rapprochement saura s’inscrire dans la durée, ou s’il ne sera qu’une parenthèse dans une relation post-coloniale complexe, où la « question mahoraise » continue de cristalliser les passions. Une chose est sûre : en décrétant un deuil national, le président Azali Assoumani a envoyé un message fort, qui ne manquera pas de faire réagir de l’autre côté du bras de mer qui sépare Mayotte des Comores.

Côté comorien, on dénonce régulièrement les expulsions de sans-papiers et les kwassa-kwassa, ces traversées maritimes périlleuses au départ d’Anjouan. Un drame humain symptomatique, pour Moroni, du déchirement de la Nation comorienne depuis la sécession de Mayotte.

L’aide humanitaire comme terrain d’entente ?

Au-delà des crispations politiques, le cyclone Chido pourrait cependant ouvrir la voie à une coopération humanitaire renforcée entre la France et l’Union des Comores. Selon nos informations, des discussions seraient en cours pour permettre l’acheminement de l’aide comorienne à Mayotte, où les besoins sont immenses.

Une main tendue qui permettrait d’apaiser temporairement les relations paris-Moroni, mises à rude épreuve ces derniers mois. Car au-delà du contentieux territorial, c’est bien la détresse de milliers de sinistrés mahorais, dont une majorité de Comoriens, qui est en jeu. Un défi commun face auquel les deux pays semblent prêts à privilégier la voie diplomatique.

Reste à savoir si ce fragile rapprochement saura s’inscrire dans la durée, ou s’il ne sera qu’une parenthèse dans une relation post-coloniale complexe, où la « question mahoraise » continue de cristalliser les passions. Une chose est sûre : en décrétant un deuil national, le président Azali Assoumani a envoyé un message fort, qui ne manquera pas de faire réagir de l’autre côté du bras de mer qui sépare Mayotte des Comores.

Mais difficile de ne pas y voir aussi un message politique. Depuis son indépendance en 1975, l’Union des Comores n’a jamais reconnu la souveraineté française sur Mayotte et continue de revendiquer ce territoire comme le quatrième island de l’archipel. En décrétant un deuil national, Azali Assoumani rappelle que le sort de la diaspora mahoraise reste une préoccupation majeure pour Moroni.

La « question mahoraise » ravivée

Cette décision intervient dans un contexte de tensions récurrentes autour de l’immigration clandestine des Comoriens vers Mayotte. Selon des sources proches du dossier, les autorités françaises craignent qu’elle ne soit utilisée pour justifier de nouvelles arrivées, alors que l’île fait déjà face à une pression migratoire et une situation sociale explosive.

Côté comorien, on dénonce régulièrement les expulsions de sans-papiers et les kwassa-kwassa, ces traversées maritimes périlleuses au départ d’Anjouan. Un drame humain symptomatique, pour Moroni, du déchirement de la Nation comorienne depuis la sécession de Mayotte.

L’aide humanitaire comme terrain d’entente ?

Au-delà des crispations politiques, le cyclone Chido pourrait cependant ouvrir la voie à une coopération humanitaire renforcée entre la France et l’Union des Comores. Selon nos informations, des discussions seraient en cours pour permettre l’acheminement de l’aide comorienne à Mayotte, où les besoins sont immenses.

Une main tendue qui permettrait d’apaiser temporairement les relations paris-Moroni, mises à rude épreuve ces derniers mois. Car au-delà du contentieux territorial, c’est bien la détresse de milliers de sinistrés mahorais, dont une majorité de Comoriens, qui est en jeu. Un défi commun face auquel les deux pays semblent prêts à privilégier la voie diplomatique.

Reste à savoir si ce fragile rapprochement saura s’inscrire dans la durée, ou s’il ne sera qu’une parenthèse dans une relation post-coloniale complexe, où la « question mahoraise » continue de cristalliser les passions. Une chose est sûre : en décrétant un deuil national, le président Azali Assoumani a envoyé un message fort, qui ne manquera pas de faire réagir de l’autre côté du bras de mer qui sépare Mayotte des Comores.

Mais difficile de ne pas y voir aussi un message politique. Depuis son indépendance en 1975, l’Union des Comores n’a jamais reconnu la souveraineté française sur Mayotte et continue de revendiquer ce territoire comme le quatrième island de l’archipel. En décrétant un deuil national, Azali Assoumani rappelle que le sort de la diaspora mahoraise reste une préoccupation majeure pour Moroni.

La « question mahoraise » ravivée

Cette décision intervient dans un contexte de tensions récurrentes autour de l’immigration clandestine des Comoriens vers Mayotte. Selon des sources proches du dossier, les autorités françaises craignent qu’elle ne soit utilisée pour justifier de nouvelles arrivées, alors que l’île fait déjà face à une pression migratoire et une situation sociale explosive.

Côté comorien, on dénonce régulièrement les expulsions de sans-papiers et les kwassa-kwassa, ces traversées maritimes périlleuses au départ d’Anjouan. Un drame humain symptomatique, pour Moroni, du déchirement de la Nation comorienne depuis la sécession de Mayotte.

L’aide humanitaire comme terrain d’entente ?

Au-delà des crispations politiques, le cyclone Chido pourrait cependant ouvrir la voie à une coopération humanitaire renforcée entre la France et l’Union des Comores. Selon nos informations, des discussions seraient en cours pour permettre l’acheminement de l’aide comorienne à Mayotte, où les besoins sont immenses.

Une main tendue qui permettrait d’apaiser temporairement les relations paris-Moroni, mises à rude épreuve ces derniers mois. Car au-delà du contentieux territorial, c’est bien la détresse de milliers de sinistrés mahorais, dont une majorité de Comoriens, qui est en jeu. Un défi commun face auquel les deux pays semblent prêts à privilégier la voie diplomatique.

Reste à savoir si ce fragile rapprochement saura s’inscrire dans la durée, ou s’il ne sera qu’une parenthèse dans une relation post-coloniale complexe, où la « question mahoraise » continue de cristalliser les passions. Une chose est sûre : en décrétant un deuil national, le président Azali Assoumani a envoyé un message fort, qui ne manquera pas de faire réagir de l’autre côté du bras de mer qui sépare Mayotte des Comores.

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