Une terrible catastrophe vient de frapper l’archipel du Vanuatu dans le Pacifique. Mardi, en pleine journée, un violent séisme de magnitude 7,3 a secoué l’île principale, semant la désolation et le chaos. Alors que les secours s’organisent, le bilan provisoire fait état d’au moins 9 morts, dont un ressortissant français. Un chiffre malheureusement appelé à s’alourdir selon les autorités locales.
L’aide internationale se mobilise
Face à l’ampleur du désastre, la solidarité internationale s’est rapidement mise en place. Des équipes de secouristes spécialisés, accompagnés de chiens et de matériel de sauvetage, sont arrivés de l’Australie, la Nouvelle-Zélande et la Nouvelle-Calédonie voisines. Leur mission : fouiller les décombres pour retrouver d’éventuels survivants.
La France a aussi apporté son soutien en dépêchant des renforts humains et logistiques depuis la Nouvelle-Calédonie. Car parmi les victimes figure hélas un de nos compatriotes, mort enseveli sous les décombres d’un bâtiment qui s’est effondré dans le centre de la capitale Port-Vila, a confirmé l’ambassadeur de France.
L’état d’urgence décrété, le pays sous le choc
Pour faire face aux terribles conséquences du séisme et de ses nombreuses répliques, le gouvernement du Vanuatu n’a eu d’autre choix que de décréter l’état d’urgence pour 7 jours. Un couvre-feu a aussi été instauré de 18h à 6h du matin afin de faciliter le travail des sauveteurs, dans une ville où de nombreux bâtiments se sont écroulés.
Malgré le danger, des habitants prêtent main forte aux secours pour déblayer les gravats, parfois à mains nues, dans l’espoir de retrouver des proches. Tous sont sous le choc. Comme Glen Craig, membre d’une association économique locale, qui a perdu un ami :
Un bon ami a été tué lors du tremblement de terre – les funérailles auront lieu à 14 heures aujourd’hui – mais je dois aussi penser aux 300.000 autres personnes qui vivent au Vanuatu.
De lourds dégâts matériels
Au-delà du terrible bilan humain, le séisme a provoqué d’importants dommages dans tout l’archipel :
- L’hôpital principal est endommagé
- Trois ponts se sont effondrés
- Lignes électriques et réseau d’eau touchés
- Le port de pêche fermé à cause d’un glissement de terrain
- Systèmes de communication endommagés
Seul l’aéroport a pu rouvrir rapidement sa piste pour accueillir les vols humanitaires. Les liaisons commerciales restent suspendues.
Un impact économique redouté
Au-delà de l’urgence des secours, c’est tout un pays qui va devoir se reconstruire. Et les conséquences économiques du séisme font déjà frémir les acteurs locaux, très dépendants du tourisme et de l’agriculture. D’après une source proche du dossier, des glissements de terrain ont rendu inutilisables les aérodromes de plusieurs îles, compliquant l’approvisionnement en nourriture.
La priorité immédiate reste cependant de soigner les centaines de blessés : fractures ouvertes ou fermées, plaies… les urgentistes, épaulés par des renforts fidjiens et salomonais, sont sur le pont. Un premier bilan provisoire, en attendant que toute l’ampleur de ce terrible séisme soit connue.
Pour faire face aux terribles conséquences du séisme et de ses nombreuses répliques, le gouvernement du Vanuatu n’a eu d’autre choix que de décréter l’état d’urgence pour 7 jours. Un couvre-feu a aussi été instauré de 18h à 6h du matin afin de faciliter le travail des sauveteurs, dans une ville où de nombreux bâtiments se sont écroulés.
Malgré le danger, des habitants prêtent main forte aux secours pour déblayer les gravats, parfois à mains nues, dans l’espoir de retrouver des proches. Tous sont sous le choc. Comme Glen Craig, membre d’une association économique locale, qui a perdu un ami :
Un bon ami a été tué lors du tremblement de terre – les funérailles auront lieu à 14 heures aujourd’hui – mais je dois aussi penser aux 300.000 autres personnes qui vivent au Vanuatu.
De lourds dégâts matériels
Au-delà du terrible bilan humain, le séisme a provoqué d’importants dommages dans tout l’archipel :
- L’hôpital principal est endommagé
- Trois ponts se sont effondrés
- Lignes électriques et réseau d’eau touchés
- Le port de pêche fermé à cause d’un glissement de terrain
- Systèmes de communication endommagés
Seul l’aéroport a pu rouvrir rapidement sa piste pour accueillir les vols humanitaires. Les liaisons commerciales restent suspendues.
Un impact économique redouté
Au-delà de l’urgence des secours, c’est tout un pays qui va devoir se reconstruire. Et les conséquences économiques du séisme font déjà frémir les acteurs locaux, très dépendants du tourisme et de l’agriculture. D’après une source proche du dossier, des glissements de terrain ont rendu inutilisables les aérodromes de plusieurs îles, compliquant l’approvisionnement en nourriture.
La priorité immédiate reste cependant de soigner les centaines de blessés : fractures ouvertes ou fermées, plaies… les urgentistes, épaulés par des renforts fidjiens et salomonais, sont sur le pont. Un premier bilan provisoire, en attendant que toute l’ampleur de ce terrible séisme soit connue.
