Alors que l’Ukraine entame son troisième hiver depuis l’invasion russe, le Royaume-Uni a annoncé mardi une aide d’urgence de 42 millions d’euros destinée à réparer les infrastructures énergétiques du pays. Cette enveloppe comprend 20 millions de livres pour des réparations essentielles sur le réseau de transport d’électricité ukrainien, ainsi que 15 millions pour fournir des produits de première nécessité, des kits thermiques et des générateurs aux civils.
Selon Londres, plus des deux tiers de la capacité de production énergétique ukrainienne a été détruite, endommagée ou passée aux mains russes depuis février 2022. Les familles ukrainiennes endurent des nuits froides et sombres, souvent sans chauffage, lumière ni électricité, ciblées par les incessantes attaques de missiles russes.
Des sanctions contre la « flotte fantôme » russe
Parallèlement à cette aide, le Royaume-Uni a également durci ses sanctions à l’encontre de la Russie. Vingt navires supplémentaires de la « flotte fantôme » russe, qui permet à Moscou d’exporter son pétrole en contournant les restrictions occidentales, ont été sanctionnés. Au total, plus de 100 navires sont désormais ciblés par Londres.
Des mesures ont aussi été prises contre deux entités de la compagnie énergétique 2Rivers, décrite comme un « pilier du commerce du pétrole » avec la Russie. Pour contourner les sanctions, Moscou a recours à cette flotte composée de navires souvent vieillissants, opérés sous pavillon étranger par des propriétaires douteux, sans assurance adéquate.
Une pression accrue sur l’économie de guerre russe
Le Premier ministre britannique Keir Starmer a déploré que les revenus pétroliers de Vladimir Poutine continuent d’alimenter sa « guerre illégale » en Ukraine. Il a souligné que ces nouvelles sanctions allaient accentuer la pression sur l’économie de guerre « déjà grippée » de la Russie, tandis que l’aide britannique soutiendra les Ukrainiens dans leur combat.
Ces sanctions vont accentuer la pression sur l’économie de guerre déjà grippée de Poutine.
– Keir Starmer, Premier ministre britannique
Plusieurs pays, dont le Royaume-Uni, le Danemark, la Suède, la Pologne, la Finlande et l’Estonie, se sont accordés en décembre pour intensifier la lutte contre les navires « fantômes » en mer Baltique et en mer du Nord. Leurs autorités maritimes ont été chargées de réclamer une preuve d’assurance aux bateaux suspects.
Un soutien crucial pour un hiver difficile
Cette nouvelle aide britannique tombe à point nommé pour l’Ukraine, qui fait face à d’immenses défis énergétiques et humanitaires à l’aube de l’hiver. Les frappes russes répétées sur les infrastructures critiques du pays ont plongé des millions d’Ukrainiens dans le froid et l’obscurité. Le soutien international reste vital pour permettre au pays de réparer son réseau électrique endommagé et de fournir des biens essentiels à sa population.
Avec cette nouvelle enveloppe, le Royaume-Uni démontre une fois de plus son engagement indéfectible aux côtés de l’Ukraine. Tout en sanctionnant durement la machine de guerre russe, Londres n’oublie pas le peuple ukrainien et ses besoins urgents. Un message fort à l’heure où la solidarité internationale reste plus que jamais nécessaire pour aider l’Ukraine à traverser cet hiver de guerre.
Des mesures ont aussi été prises contre deux entités de la compagnie énergétique 2Rivers, décrite comme un « pilier du commerce du pétrole » avec la Russie. Pour contourner les sanctions, Moscou a recours à cette flotte composée de navires souvent vieillissants, opérés sous pavillon étranger par des propriétaires douteux, sans assurance adéquate.
Une pression accrue sur l’économie de guerre russe
Le Premier ministre britannique Keir Starmer a déploré que les revenus pétroliers de Vladimir Poutine continuent d’alimenter sa « guerre illégale » en Ukraine. Il a souligné que ces nouvelles sanctions allaient accentuer la pression sur l’économie de guerre « déjà grippée » de la Russie, tandis que l’aide britannique soutiendra les Ukrainiens dans leur combat.
Ces sanctions vont accentuer la pression sur l’économie de guerre déjà grippée de Poutine.
– Keir Starmer, Premier ministre britannique
Plusieurs pays, dont le Royaume-Uni, le Danemark, la Suède, la Pologne, la Finlande et l’Estonie, se sont accordés en décembre pour intensifier la lutte contre les navires « fantômes » en mer Baltique et en mer du Nord. Leurs autorités maritimes ont été chargées de réclamer une preuve d’assurance aux bateaux suspects.
Un soutien crucial pour un hiver difficile
Cette nouvelle aide britannique tombe à point nommé pour l’Ukraine, qui fait face à d’immenses défis énergétiques et humanitaires à l’aube de l’hiver. Les frappes russes répétées sur les infrastructures critiques du pays ont plongé des millions d’Ukrainiens dans le froid et l’obscurité. Le soutien international reste vital pour permettre au pays de réparer son réseau électrique endommagé et de fournir des biens essentiels à sa population.
Avec cette nouvelle enveloppe, le Royaume-Uni démontre une fois de plus son engagement indéfectible aux côtés de l’Ukraine. Tout en sanctionnant durement la machine de guerre russe, Londres n’oublie pas le peuple ukrainien et ses besoins urgents. Un message fort à l’heure où la solidarité internationale reste plus que jamais nécessaire pour aider l’Ukraine à traverser cet hiver de guerre.