Le développement des énergies renouvelables en France semble être un véritable chemin de croix pour les industriels. C’est le constat alarmant dressé par les patrons de deux géants de l’énergie, EDF et TotalEnergies, lors d’un récent colloque. Leurs témoignages mettent en lumière les obstacles administratifs qui entravent lourdement les investissements dans le secteur des renouvelables.
« C’est l’enfer d’investir en France »
Le PDG d’EDF, Luc Rémont, n’a pas mâché ses mots pour qualifier la situation : « C’est l’enfer d’investir en France ». Un constat partagé par Patrick Pouyanné, patron de TotalEnergies, qui déplore la lenteur et la complexité des procédures pour développer les énergies vertes dans l’Hexagone. Malgré des centaines de développeurs dédiés, les résultats restent bien maigres face aux ambitions affichées.
Je ne peux pas continuer à investir dans un pays, à avoir autant de personnes qui me coûtent de l’argent pour un rendement aussi faible.
Patrick Pouyanné, PDG de TotalEnergies
Des délais administratifs incommensurables
Au cœur du problème : des délais administratifs qualifiés « d’incommensurables » par rapport à d’autres pays. Qu’il s’agisse de raccorder un parc éolien, une centrale solaire ou même un simple data center au réseau électrique, les industriels se heurtent à une bureaucratie kafkaïenne qui ralentit considérablement les projets. Un premier frein majeur à la décarbonation de l’économie française.
Une loi d’accélération qui a tout ralenti
Comble de l’ironie, la loi d’accélération des renouvelables adoptée en 2023 semble avoir eu l’effet inverse. « Cette loi a tout ralenti », fustige Patrick Pouyanné. Un coup dur pour les industriels qui espéraient des procédures simplifiées et des délais raccourcis pour booster les investissements verts. Au lieu de cela, ils se retrouvent pris dans les mailles d’un filet réglementaire de plus en plus resserré.
Vers des arbitrages défavorables à la France
Les conséquences de ce climat peu propice aux affaires se font déjà sentir. Selon le Medef, l’investissement des entreprises en France est sur une trajectoire inquiétante, avec une baisse de 3% au second semestre 2023. Le taux d’utilisation des capacités industrielles a également chuté à 75%, son plus bas niveau depuis 2010. Des signaux alarmants qui appellent à une réaction forte et rapide des pouvoirs publics.
Un électrochoc nécessaire
Face à ce constat accablant, il est urgent d’opérer un véritable électrochoc pour libérer les énergies renouvelables des carcans administratifs qui les entravent. Simplification des procédures, raccourcissement des délais, stabilité réglementaire… Les pistes ne manquent pas pour redonner confiance aux investisseurs et accélérer la transition énergétique française.
L’heure n’est plus aux demi-mesures ni aux effets d’annonce. Il en va de la crédibilité de la France dans la lutte contre le changement climatique et de sa capacité à saisir les opportunités économiques et industrielles liées aux énergies vertes. Un virage crucial pour l’avenir du pays, qui nécessite une volonté politique forte et une mobilisation de tous les acteurs concernés.
Car au-delà des enjeux environnementaux, c’est bien la souveraineté énergétique et la compétitivité de l’économie française qui sont en jeu. Dans un contexte géopolitique et économique troublé, la France ne peut plus se permettre de laisser passer le train des renouvelables. Il est temps de lever les freins et de libérer tout le potentiel de cette filière d’avenir.
Les cris d’alarme des patrons d’EDF et TotalEnergies doivent être entendus comme un ultime avertissement. La balle est désormais dans le camp du gouvernement et des élus pour engager les réformes courageuses et ambitieuses qu’exige la situation. Faute de quoi, c’est le risque d’un décrochage durable de la France dans la révolution énergétique qui se profile à l’horizon.
Les conséquences de ce climat peu propice aux affaires se font déjà sentir. Selon le Medef, l’investissement des entreprises en France est sur une trajectoire inquiétante, avec une baisse de 3% au second semestre 2023. Le taux d’utilisation des capacités industrielles a également chuté à 75%, son plus bas niveau depuis 2010. Des signaux alarmants qui appellent à une réaction forte et rapide des pouvoirs publics.
Un électrochoc nécessaire
Face à ce constat accablant, il est urgent d’opérer un véritable électrochoc pour libérer les énergies renouvelables des carcans administratifs qui les entravent. Simplification des procédures, raccourcissement des délais, stabilité réglementaire… Les pistes ne manquent pas pour redonner confiance aux investisseurs et accélérer la transition énergétique française.
L’heure n’est plus aux demi-mesures ni aux effets d’annonce. Il en va de la crédibilité de la France dans la lutte contre le changement climatique et de sa capacité à saisir les opportunités économiques et industrielles liées aux énergies vertes. Un virage crucial pour l’avenir du pays, qui nécessite une volonté politique forte et une mobilisation de tous les acteurs concernés.
Car au-delà des enjeux environnementaux, c’est bien la souveraineté énergétique et la compétitivité de l’économie française qui sont en jeu. Dans un contexte géopolitique et économique troublé, la France ne peut plus se permettre de laisser passer le train des renouvelables. Il est temps de lever les freins et de libérer tout le potentiel de cette filière d’avenir.
Les cris d’alarme des patrons d’EDF et TotalEnergies doivent être entendus comme un ultime avertissement. La balle est désormais dans le camp du gouvernement et des élus pour engager les réformes courageuses et ambitieuses qu’exige la situation. Faute de quoi, c’est le risque d’un décrochage durable de la France dans la révolution énergétique qui se profile à l’horizon.
Cette paralysie administrative contraste fortement avec la capacité de la France à mener de grands projets dans d’autres domaines. Nucléaire, cathédrales, Jeux Olympiques… « Là, on est super organisés », ironise Patrick Pouyanné. Un paradoxe qui interroge sur les priorités et l’agilité du pays face aux défis environnementaux et économiques du XXIe siècle.
L’investissement en berne
Les conséquences de ce climat peu propice aux affaires se font déjà sentir. Selon le Medef, l’investissement des entreprises en France est sur une trajectoire inquiétante, avec une baisse de 3% au second semestre 2023. Le taux d’utilisation des capacités industrielles a également chuté à 75%, son plus bas niveau depuis 2010. Des signaux alarmants qui appellent à une réaction forte et rapide des pouvoirs publics.
Un électrochoc nécessaire
Face à ce constat accablant, il est urgent d’opérer un véritable électrochoc pour libérer les énergies renouvelables des carcans administratifs qui les entravent. Simplification des procédures, raccourcissement des délais, stabilité réglementaire… Les pistes ne manquent pas pour redonner confiance aux investisseurs et accélérer la transition énergétique française.
L’heure n’est plus aux demi-mesures ni aux effets d’annonce. Il en va de la crédibilité de la France dans la lutte contre le changement climatique et de sa capacité à saisir les opportunités économiques et industrielles liées aux énergies vertes. Un virage crucial pour l’avenir du pays, qui nécessite une volonté politique forte et une mobilisation de tous les acteurs concernés.
Car au-delà des enjeux environnementaux, c’est bien la souveraineté énergétique et la compétitivité de l’économie française qui sont en jeu. Dans un contexte géopolitique et économique troublé, la France ne peut plus se permettre de laisser passer le train des renouvelables. Il est temps de lever les freins et de libérer tout le potentiel de cette filière d’avenir.
Les cris d’alarme des patrons d’EDF et TotalEnergies doivent être entendus comme un ultime avertissement. La balle est désormais dans le camp du gouvernement et des élus pour engager les réformes courageuses et ambitieuses qu’exige la situation. Faute de quoi, c’est le risque d’un décrochage durable de la France dans la révolution énergétique qui se profile à l’horizon.
Cette paralysie administrative contraste fortement avec la capacité de la France à mener de grands projets dans d’autres domaines. Nucléaire, cathédrales, Jeux Olympiques… « Là, on est super organisés », ironise Patrick Pouyanné. Un paradoxe qui interroge sur les priorités et l’agilité du pays face aux défis environnementaux et économiques du XXIe siècle.
L’investissement en berne
Les conséquences de ce climat peu propice aux affaires se font déjà sentir. Selon le Medef, l’investissement des entreprises en France est sur une trajectoire inquiétante, avec une baisse de 3% au second semestre 2023. Le taux d’utilisation des capacités industrielles a également chuté à 75%, son plus bas niveau depuis 2010. Des signaux alarmants qui appellent à une réaction forte et rapide des pouvoirs publics.
Un électrochoc nécessaire
Face à ce constat accablant, il est urgent d’opérer un véritable électrochoc pour libérer les énergies renouvelables des carcans administratifs qui les entravent. Simplification des procédures, raccourcissement des délais, stabilité réglementaire… Les pistes ne manquent pas pour redonner confiance aux investisseurs et accélérer la transition énergétique française.
L’heure n’est plus aux demi-mesures ni aux effets d’annonce. Il en va de la crédibilité de la France dans la lutte contre le changement climatique et de sa capacité à saisir les opportunités économiques et industrielles liées aux énergies vertes. Un virage crucial pour l’avenir du pays, qui nécessite une volonté politique forte et une mobilisation de tous les acteurs concernés.
Car au-delà des enjeux environnementaux, c’est bien la souveraineté énergétique et la compétitivité de l’économie française qui sont en jeu. Dans un contexte géopolitique et économique troublé, la France ne peut plus se permettre de laisser passer le train des renouvelables. Il est temps de lever les freins et de libérer tout le potentiel de cette filière d’avenir.
Les cris d’alarme des patrons d’EDF et TotalEnergies doivent être entendus comme un ultime avertissement. La balle est désormais dans le camp du gouvernement et des élus pour engager les réformes courageuses et ambitieuses qu’exige la situation. Faute de quoi, c’est le risque d’un décrochage durable de la France dans la révolution énergétique qui se profile à l’horizon.
Face à cette situation intenable, certains acteurs comme TotalEnergies envisagent de réorienter leurs investissements vers des pays plus accueillants, à l’instar de l’Allemagne. Un risque majeur pour l’attractivité et la compétitivité de la France dans la course aux énergies propres. Sans une simplification rapide et drastique des procédures, l’Hexagone pourrait voir lui échapper des milliards d’euros d’investissements cruciaux pour sa transition énergétique.
Un paradoxe français
Cette paralysie administrative contraste fortement avec la capacité de la France à mener de grands projets dans d’autres domaines. Nucléaire, cathédrales, Jeux Olympiques… « Là, on est super organisés », ironise Patrick Pouyanné. Un paradoxe qui interroge sur les priorités et l’agilité du pays face aux défis environnementaux et économiques du XXIe siècle.
L’investissement en berne
Les conséquences de ce climat peu propice aux affaires se font déjà sentir. Selon le Medef, l’investissement des entreprises en France est sur une trajectoire inquiétante, avec une baisse de 3% au second semestre 2023. Le taux d’utilisation des capacités industrielles a également chuté à 75%, son plus bas niveau depuis 2010. Des signaux alarmants qui appellent à une réaction forte et rapide des pouvoirs publics.
Un électrochoc nécessaire
Face à ce constat accablant, il est urgent d’opérer un véritable électrochoc pour libérer les énergies renouvelables des carcans administratifs qui les entravent. Simplification des procédures, raccourcissement des délais, stabilité réglementaire… Les pistes ne manquent pas pour redonner confiance aux investisseurs et accélérer la transition énergétique française.
L’heure n’est plus aux demi-mesures ni aux effets d’annonce. Il en va de la crédibilité de la France dans la lutte contre le changement climatique et de sa capacité à saisir les opportunités économiques et industrielles liées aux énergies vertes. Un virage crucial pour l’avenir du pays, qui nécessite une volonté politique forte et une mobilisation de tous les acteurs concernés.
Car au-delà des enjeux environnementaux, c’est bien la souveraineté énergétique et la compétitivité de l’économie française qui sont en jeu. Dans un contexte géopolitique et économique troublé, la France ne peut plus se permettre de laisser passer le train des renouvelables. Il est temps de lever les freins et de libérer tout le potentiel de cette filière d’avenir.
Les cris d’alarme des patrons d’EDF et TotalEnergies doivent être entendus comme un ultime avertissement. La balle est désormais dans le camp du gouvernement et des élus pour engager les réformes courageuses et ambitieuses qu’exige la situation. Faute de quoi, c’est le risque d’un décrochage durable de la France dans la révolution énergétique qui se profile à l’horizon.
Face à cette situation intenable, certains acteurs comme TotalEnergies envisagent de réorienter leurs investissements vers des pays plus accueillants, à l’instar de l’Allemagne. Un risque majeur pour l’attractivité et la compétitivité de la France dans la course aux énergies propres. Sans une simplification rapide et drastique des procédures, l’Hexagone pourrait voir lui échapper des milliards d’euros d’investissements cruciaux pour sa transition énergétique.
Un paradoxe français
Cette paralysie administrative contraste fortement avec la capacité de la France à mener de grands projets dans d’autres domaines. Nucléaire, cathédrales, Jeux Olympiques… « Là, on est super organisés », ironise Patrick Pouyanné. Un paradoxe qui interroge sur les priorités et l’agilité du pays face aux défis environnementaux et économiques du XXIe siècle.
L’investissement en berne
Les conséquences de ce climat peu propice aux affaires se font déjà sentir. Selon le Medef, l’investissement des entreprises en France est sur une trajectoire inquiétante, avec une baisse de 3% au second semestre 2023. Le taux d’utilisation des capacités industrielles a également chuté à 75%, son plus bas niveau depuis 2010. Des signaux alarmants qui appellent à une réaction forte et rapide des pouvoirs publics.
Un électrochoc nécessaire
Face à ce constat accablant, il est urgent d’opérer un véritable électrochoc pour libérer les énergies renouvelables des carcans administratifs qui les entravent. Simplification des procédures, raccourcissement des délais, stabilité réglementaire… Les pistes ne manquent pas pour redonner confiance aux investisseurs et accélérer la transition énergétique française.
L’heure n’est plus aux demi-mesures ni aux effets d’annonce. Il en va de la crédibilité de la France dans la lutte contre le changement climatique et de sa capacité à saisir les opportunités économiques et industrielles liées aux énergies vertes. Un virage crucial pour l’avenir du pays, qui nécessite une volonté politique forte et une mobilisation de tous les acteurs concernés.
Car au-delà des enjeux environnementaux, c’est bien la souveraineté énergétique et la compétitivité de l’économie française qui sont en jeu. Dans un contexte géopolitique et économique troublé, la France ne peut plus se permettre de laisser passer le train des renouvelables. Il est temps de lever les freins et de libérer tout le potentiel de cette filière d’avenir.
Les cris d’alarme des patrons d’EDF et TotalEnergies doivent être entendus comme un ultime avertissement. La balle est désormais dans le camp du gouvernement et des élus pour engager les réformes courageuses et ambitieuses qu’exige la situation. Faute de quoi, c’est le risque d’un décrochage durable de la France dans la révolution énergétique qui se profile à l’horizon.