Un nouveau drame s’est abattu sur l’Ukraine ce vendredi. Selon des sources proches de la présidence ukrainienne, au moins 11 personnes ont perdu la vie dans des attaques aériennes russes qui ont frappé les villes de Zaporijjia dans le sud et Kryvyï Rig dans le centre du pays. Un bilan humain lourd qui illustre une nouvelle fois l’intensification des hostilités après des semaines d’escalade militaire.
Face à ces pertes civiles, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a vivement réagi, dénonçant l’attitude de Moscou qui selon lui ne souhaite pas une « paix réelle ». Sur Telegram, il a déclaré que « les milliers de frappes de ce type menées par la Russie au cours de cette guerre montrent clairement que Poutine n’a pas besoin d’une paix réelle ». Une prise de parole ferme qui témoigne des tensions extrêmes entre les deux pays.
Des frappes russes de plus en plus meurtrières
D’après les autorités locales, la frappe russe sur Zaporijjia aurait visé une station-service et des véhicules transportant des civils, faisant 9 morts et 19 blessés dont au moins deux enfants. Une attaque d’une violence inouïe en plein cœur d’une zone résidentielle.
À Kryvyï Rig, ville natale de Zelensky, le bilan est tout aussi dramatique avec 2 morts et 17 blessés. Parmi les victimes figure « un garçon de 6 ans » selon le chef de l’administration militaire locale Oleksandr Vilkul. Un autre civil est encore porté disparu alors que les opérations de sauvetage se poursuivent.
Ces bombardements russes surviennent dans un contexte de regain de tensions, Moscou intensifiant ses attaques sur les infrastructures énergétiques ukrainiennes à l’approche de l’hiver. Une stratégie de la terre brûlée qui vise à affaiblir la résistance du peuple ukrainien.
Zelensky ne croit plus en une issue diplomatique
Pour le président ukrainien, ces attaques prouvent que Vladimir Poutine n’est pas prêt à négocier une issue pacifique au conflit. « Ce n’est que par la force que nous pourrons lui résister. Et ce n’est que par la force qu’une véritable paix pourra être établie », a martelé Zelensky.
Des propos qui font écho à ses précédentes déclarations sur la nécessité d’un soutien militaire accru des pays occidentaux, notamment des États-Unis. Kiev craint en effet qu’une éventuelle victoire de Donald Trump à la présidentielle américaine n’aboutisse à une pression sur l’Ukraine pour accepter des conditions de paix favorables à la Russie.
Une rencontre Zelensky-Trump à Paris ?
Alors que le conflit entre dans une phase critique, une source haut placée a indiqué que Volodymyr Zelensky pourrait se rendre ce week-end à Paris, à l’occasion de la réouverture de la cathédrale Notre-Dame. Un déplacement qui lui permettrait notamment de s’entretenir avec Donald Trump, pour tenter de s’assurer du maintien du soutien américain.
Mais face à l’intransigeance de Moscou, les chances d’une désescalade rapide semblent minces. Comme l’a souligné Zelensky, seule la force semble à même de faire plier Vladimir Poutine. Une perspective inquiétante alors que le peuple ukrainien continue de payer le prix fort de cette guerre qui n’en finit pas.
À Kryvyï Rig, ville natale de Zelensky, le bilan est tout aussi dramatique avec 2 morts et 17 blessés. Parmi les victimes figure « un garçon de 6 ans » selon le chef de l’administration militaire locale Oleksandr Vilkul. Un autre civil est encore porté disparu alors que les opérations de sauvetage se poursuivent.
Ces bombardements russes surviennent dans un contexte de regain de tensions, Moscou intensifiant ses attaques sur les infrastructures énergétiques ukrainiennes à l’approche de l’hiver. Une stratégie de la terre brûlée qui vise à affaiblir la résistance du peuple ukrainien.
Zelensky ne croit plus en une issue diplomatique
Pour le président ukrainien, ces attaques prouvent que Vladimir Poutine n’est pas prêt à négocier une issue pacifique au conflit. « Ce n’est que par la force que nous pourrons lui résister. Et ce n’est que par la force qu’une véritable paix pourra être établie », a martelé Zelensky.
Des propos qui font écho à ses précédentes déclarations sur la nécessité d’un soutien militaire accru des pays occidentaux, notamment des États-Unis. Kiev craint en effet qu’une éventuelle victoire de Donald Trump à la présidentielle américaine n’aboutisse à une pression sur l’Ukraine pour accepter des conditions de paix favorables à la Russie.
Une rencontre Zelensky-Trump à Paris ?
Alors que le conflit entre dans une phase critique, une source haut placée a indiqué que Volodymyr Zelensky pourrait se rendre ce week-end à Paris, à l’occasion de la réouverture de la cathédrale Notre-Dame. Un déplacement qui lui permettrait notamment de s’entretenir avec Donald Trump, pour tenter de s’assurer du maintien du soutien américain.
Mais face à l’intransigeance de Moscou, les chances d’une désescalade rapide semblent minces. Comme l’a souligné Zelensky, seule la force semble à même de faire plier Vladimir Poutine. Une perspective inquiétante alors que le peuple ukrainien continue de payer le prix fort de cette guerre qui n’en finit pas.