Imaginez-vous suspendu dans le vide à plus de 200 mètres du sol, balancé violemment par des bourrasques incontrôlables. C’est le cauchemar qu’ont vécu des cordistes jeudi dernier à Pékin, en Chine. Alors qu’ils effectuaient l’entretien des vitres d’un gratte-ciel, ces travailleurs de l’extrême ont été surpris par une météo dévastatrice.
Des vents d’une rare violence
Jeudi matin, le soleil brillait sur la capitale chinoise. Rien ne laissait présager le drame qui allait se jouer. Peu après midi, le service météorologique a soudainement émis trois alertes pour des conditions extrêmes :
- Grêle
- Vents violents
- Foudre
Les rafales se sont alors déchaînées, atteignant des vitesses de plus de 110 km/h dans certaines zones de Pékin. Arbres et poteaux électriques ont été arrachés, perturbant la circulation. Mais pour les cordistes travaillant sur la façade de la Télévision Centrale de Chine (CCTV), ce fut un combat pour leur survie.
Pris au piège à 234 mètres de haut
Quand la tempête a frappé, une dizaine de laveurs de vitres se trouvaient sur l’immeuble de la CCTV, une tour de 234 mètres et 51 étages. En quelques secondes, ils se sont retrouvés ballottés dans tous les sens, à la merci des éléments déchaînés.
On les voit descendre en rappel, balancés d’avant en arrière par les vents violents. Seuls les câbles attachés à l’immeuble leur ont valu la vie sauve.
Extrait d’une vidéo devenue virale
Une vidéo glaçante largement partagée sur les réseaux sociaux montre ces hommes pris au piège, à la merci des vents tourbillonnants. Pendant de longues minutes, leur vie n’a tenu qu’à un fil, littéralement. Heureusement, les cordistes ont pu regagner la terre ferme sains et saufs une fois la tempête calmée.
Pékin meurtri par les intempéries
Si les laveurs de vitres s’en sont miraculeusement sortis indemnes, Pékin porte encore les stigmates de ces intempéries exceptionnelles. Selon le quotidien Global Times, 185 arbres ont été déracinés, endommageant de nombreux véhicules.
Les alertes météorologiques ont finalement été levées vers 19h30, laissant les habitants sous le choc. En l’espace d’une journée, Pékin a connu les quatre saisons, un phénomène rarissime.
Un métier à haut risque
Cet incident met en lumière les dangers auxquels s’exposent quotidiennement les cordistes. Travaillant à des hauteurs vertigineuses, ils sont à la merci des éléments et du moindre défaut de sécurité.
Malgré les réglementations et les équipements de protection, le risque zéro n’existe pas dans ce métier. Les intempéries de Pékin nous rappellent la bravoure de ces travailleurs de l’ombre, prêts à risquer leur vie pour la beauté de nos villes.
Espérons que cet événement служит d’electroshok pour renforcer encore la sécurité sur les chantiers en hauteur. Car aucun immeuble, aussi prestigieux soit-il, ne vaut qu’on lui sacrifie des vies humaines.
Pékin meurtri par les intempéries
Si les laveurs de vitres s’en sont miraculeusement sortis indemnes, Pékin porte encore les stigmates de ces intempéries exceptionnelles. Selon le quotidien Global Times, 185 arbres ont été déracinés, endommageant de nombreux véhicules.
Les alertes météorologiques ont finalement été levées vers 19h30, laissant les habitants sous le choc. En l’espace d’une journée, Pékin a connu les quatre saisons, un phénomène rarissime.
Un métier à haut risque
Cet incident met en lumière les dangers auxquels s’exposent quotidiennement les cordistes. Travaillant à des hauteurs vertigineuses, ils sont à la merci des éléments et du moindre défaut de sécurité.
Malgré les réglementations et les équipements de protection, le risque zéro n’existe pas dans ce métier. Les intempéries de Pékin nous rappellent la bravoure de ces travailleurs de l’ombre, prêts à risquer leur vie pour la beauté de nos villes.
Espérons que cet événement служит d’electroshok pour renforcer encore la sécurité sur les chantiers en hauteur. Car aucun immeuble, aussi prestigieux soit-il, ne vaut qu’on lui sacrifie des vies humaines.