Une semaine après sa déroute dans le derby face au Stade Français (40-24), le Racing 92 n’a plus le choix. Pour espérer rester dans la course aux phases finales, les hommes de Laurent Travers doivent impérativement réagir ce samedi lors de la réception du leader toulousain à Paris La Défense Arena.
Un électrochoc salvateur ?
Si personne au Racing n’a souhaité parler de « match référence », l’heure semble pourtant venue d’une prise de conscience collective pour relever la tête. « Nous sommes passés à côté, il faut l’accepter et rebondir dès samedi », reconnaît le troisième ligne Baptiste Chouzenoux.
En première ligne, les joueurs cadres sont attendus au tournant pour sonner la révolte. « Dans ces moments-là, il ne faut pas se cacher. On a besoin de joueurs qui n’acceptent pas de perdre aussi vite et prennent leurs responsabilités », appuie une source interne au club.
Un manque de patrons
Privés de plusieurs cadres blessés comme Virimi Vakatawa et Camille Chat, les Racingmen peinent à trouver des leaders pour porter le groupe. « Certains doivent peut-être davantage s’affirmer dans leur rôle », pointe du doigt Yannick Nyanga, directeur sportif du club.
L’ombre de Lorenzetti
Si Jacky Lorenzetti a pris du recul ces dernières années, le président du Racing reste à l’affût. Et la prestation indigne livrée dimanche dernier face au rival parisien n’a pas dû passer inaperçue aux yeux du boss. De quoi mettre une pression supplémentaire sur les épaules des hommes de Laurent Travers.
On sait qu’il faudra être à 200% face à une équipe comme Toulouse. À nous de montrer un autre visage.
Gaël Fickou, centre du Racing 92
Des signaux à envoyer
À cinq journées de la fin de la phase régulière, le Racing n’a plus de temps à perdre pour assurer sa place dans le top 6. Avant un déplacement périlleux à Toulon puis la réception de Clermont, les coéquipiers de Henry Chavancy doivent envoyer un message fort à la concurrence.
Face au rouleau compresseur toulousain, réussir l’exploit serait un premier pas vers une fin de saison plus sereine. Mais sans un sursaut d’orgueil et une mobilisation générale, la bande de Laurent Travers risque bien de vivre un printemps cauchemardesque. Les patrons sont prévenus.
Si Jacky Lorenzetti a pris du recul ces dernières années, le président du Racing reste à l’affût. Et la prestation indigne livrée dimanche dernier face au rival parisien n’a pas dû passer inaperçue aux yeux du boss. De quoi mettre une pression supplémentaire sur les épaules des hommes de Laurent Travers.
On sait qu’il faudra être à 200% face à une équipe comme Toulouse. À nous de montrer un autre visage.
Gaël Fickou, centre du Racing 92
Des signaux à envoyer
À cinq journées de la fin de la phase régulière, le Racing n’a plus de temps à perdre pour assurer sa place dans le top 6. Avant un déplacement périlleux à Toulon puis la réception de Clermont, les coéquipiers de Henry Chavancy doivent envoyer un message fort à la concurrence.
Face au rouleau compresseur toulousain, réussir l’exploit serait un premier pas vers une fin de saison plus sereine. Mais sans un sursaut d’orgueil et une mobilisation générale, la bande de Laurent Travers risque bien de vivre un printemps cauchemardesque. Les patrons sont prévenus.