ActualitésInternational

Des Militants De Greenpeace Abordent Un Navire Pétrochimique En Corée Du Sud

En pleine négociation d'un traité mondial contre la pollution plastique, des militants de Greenpeace ont mené une action choc en Corée du Sud. Ils ont abordé un navire pétrochimique pour dénoncer l'industrie et réclamer un accord ambitieux...

En pleine négociation d’un traité mondial historique contre la pollution plastique, des militants écologistes ont choisi de frapper un grand coup. Ce samedi, en Corée du Sud, une action spectaculaire a été menée par Greenpeace pour mettre la pression sur les négociateurs et réclamer un accord ambitieux.

Une opération coup de poing au large de la Corée du Sud

Selon l’ONG environnementale, des activistes sont montés à bord d’un pétrolier qui s’apprêtait à charger des produits chimiques toxiques utilisés pour fabriquer du plastique. L’opération a eu lieu près du complexe pétrochimique Hanwha TotalEnergies de Daesan, au sud-ouest de Séoul.

D’après une source proche du dossier, l’abordage s’est déroulé à partir du célèbre voilier Rainbow Warrior, navire emblématique de Greenpeace. Plusieurs militants à bord de canots pneumatiques ont intercepté le Buena Alba, un navire battant pavillon panaméen. Ils ont réussi à escalader l’un des mâts pour y déployer une banderole appelant à un « traité fort sur le plastique ».

Le Buena Alba ciblé pour son chargement de propylène

Le pétrolier visé par l’action, le Buena Alba, avait apparemment pour mission de charger du propylène à Daesan. Ce produit pétrochimique est un composant clé dans la fabrication de plastiques. En s’attaquant symboliquement à ce navire, Greenpeace cherche à pointer du doigt le rôle de l’industrie pétrochimique dans la crise mondiale de la pollution plastique.

Un coup d’éclat en pleine négociation d’un traité international

Cette action spectaculaire intervient alors que des négociations cruciales sont en cours à Busan, dans le sud du pays, pour tenter d’élaborer un traité mondial contre la pollution plastique. Plus de 170 pays sont réunis jusqu’à dimanche pour tenter de s’accorder sur un texte.

Mais les discussions piétinent en raison de fortes divergences entre la majorité des États, qui souhaitent un accord ambitieux incluant une réduction de la production de plastique, et un petit groupe de pays producteurs de pétrole qui freinent des quatre fers. Ces derniers voudraient que le traité se concentre uniquement sur la gestion des déchets, sans remettre en cause le cœur de leur industrie.

Un traité qui ne s’attaquerait pas à la production de plastique serait un échec, et cela devrait être une ligne rouge pour tous les gouvernements qui s’engagent à mettre fin à la crise de la pollution plastique.

Graham Forbes, chef de la délégation Greenpeace à Busan

L’ombre du lobby pétrochimique plane sur les négociations

Au-delà du coup d’éclat, Greenpeace cherche aussi à dénoncer l’influence de l’industrie pétrochimique sur les négociations en cours. L’ONG affirme que des dizaines de lobbyistes du secteur sont présents à Busan pour tenter de faire échouer un traité trop contraignant.

Ils utilisent leur pouvoir, leur argent et leur accès pour tenter de faire en sorte que le traité ne fasse pas ce qu’il doit faire, à savoir fermer le robinet de la production de plastique.

Greenpeace

Face à ces pressions, les défenseurs de l’environnement craignent que les négociations n’accouchent que d’un accord a minima, sans réelle ambition pour enrayer la pollution plastique mondiale. Un échec qui serait catastrophique alors que la production de plastique pourrait tripler d’ici 2060 si rien n’est fait, selon l’OCDE.

La Corée du Sud, un symbole des enjeux

Au-delà de l’aspect pratique, le choix de la Corée du Sud pour cette action coup de poing est aussi symbolique. Le pays est le 5ème producteur mondial de déchets plastiques par habitant. Et son industrie pétrochimique, l’une des plus puissantes au monde, a des projets d’expansion massifs dans les années à venir si rien ne change.

Pour Greenpeace, il est donc crucial que des pays comme la Corée du Sud prennent leurs responsabilités et soutiennent un traité ambitieux, malgré les pressions de leur propre industrie. Un test pour la crédibilité de l’engagement international dans la lutte contre la crise du plastique.

L’abordage du Buena Alba par Greenpeace n’est qu’une étape dans la bataille pour un traité mondial fort contre la pollution plastique. Mais cette action aura au moins eu le mérite de braquer les projecteurs sur les coulisses de négociations qui s’annoncent décisives pour l’avenir de la planète et de nos océans.

Un coup d’éclat en pleine négociation d’un traité international

Cette action spectaculaire intervient alors que des négociations cruciales sont en cours à Busan, dans le sud du pays, pour tenter d’élaborer un traité mondial contre la pollution plastique. Plus de 170 pays sont réunis jusqu’à dimanche pour tenter de s’accorder sur un texte.

Mais les discussions piétinent en raison de fortes divergences entre la majorité des États, qui souhaitent un accord ambitieux incluant une réduction de la production de plastique, et un petit groupe de pays producteurs de pétrole qui freinent des quatre fers. Ces derniers voudraient que le traité se concentre uniquement sur la gestion des déchets, sans remettre en cause le cœur de leur industrie.

Un traité qui ne s’attaquerait pas à la production de plastique serait un échec, et cela devrait être une ligne rouge pour tous les gouvernements qui s’engagent à mettre fin à la crise de la pollution plastique.

Graham Forbes, chef de la délégation Greenpeace à Busan

L’ombre du lobby pétrochimique plane sur les négociations

Au-delà du coup d’éclat, Greenpeace cherche aussi à dénoncer l’influence de l’industrie pétrochimique sur les négociations en cours. L’ONG affirme que des dizaines de lobbyistes du secteur sont présents à Busan pour tenter de faire échouer un traité trop contraignant.

Ils utilisent leur pouvoir, leur argent et leur accès pour tenter de faire en sorte que le traité ne fasse pas ce qu’il doit faire, à savoir fermer le robinet de la production de plastique.

Greenpeace

Face à ces pressions, les défenseurs de l’environnement craignent que les négociations n’accouchent que d’un accord a minima, sans réelle ambition pour enrayer la pollution plastique mondiale. Un échec qui serait catastrophique alors que la production de plastique pourrait tripler d’ici 2060 si rien n’est fait, selon l’OCDE.

La Corée du Sud, un symbole des enjeux

Au-delà de l’aspect pratique, le choix de la Corée du Sud pour cette action coup de poing est aussi symbolique. Le pays est le 5ème producteur mondial de déchets plastiques par habitant. Et son industrie pétrochimique, l’une des plus puissantes au monde, a des projets d’expansion massifs dans les années à venir si rien ne change.

Pour Greenpeace, il est donc crucial que des pays comme la Corée du Sud prennent leurs responsabilités et soutiennent un traité ambitieux, malgré les pressions de leur propre industrie. Un test pour la crédibilité de l’engagement international dans la lutte contre la crise du plastique.

L’abordage du Buena Alba par Greenpeace n’est qu’une étape dans la bataille pour un traité mondial fort contre la pollution plastique. Mais cette action aura au moins eu le mérite de braquer les projecteurs sur les coulisses de négociations qui s’annoncent décisives pour l’avenir de la planète et de nos océans.

Contactée, la Garde côtière sud-coréenne a confirmé avoir été informée de la situation et avoir dépêché des équipes sur place pour gérer l’incident. Pour l’heure, on ignore encore si l’opération de Greenpeace a pu aller à son terme ou si elle a été interrompue par les forces de l’ordre.

Un coup d’éclat en pleine négociation d’un traité international

Cette action spectaculaire intervient alors que des négociations cruciales sont en cours à Busan, dans le sud du pays, pour tenter d’élaborer un traité mondial contre la pollution plastique. Plus de 170 pays sont réunis jusqu’à dimanche pour tenter de s’accorder sur un texte.

Mais les discussions piétinent en raison de fortes divergences entre la majorité des États, qui souhaitent un accord ambitieux incluant une réduction de la production de plastique, et un petit groupe de pays producteurs de pétrole qui freinent des quatre fers. Ces derniers voudraient que le traité se concentre uniquement sur la gestion des déchets, sans remettre en cause le cœur de leur industrie.

Un traité qui ne s’attaquerait pas à la production de plastique serait un échec, et cela devrait être une ligne rouge pour tous les gouvernements qui s’engagent à mettre fin à la crise de la pollution plastique.

Graham Forbes, chef de la délégation Greenpeace à Busan

L’ombre du lobby pétrochimique plane sur les négociations

Au-delà du coup d’éclat, Greenpeace cherche aussi à dénoncer l’influence de l’industrie pétrochimique sur les négociations en cours. L’ONG affirme que des dizaines de lobbyistes du secteur sont présents à Busan pour tenter de faire échouer un traité trop contraignant.

Ils utilisent leur pouvoir, leur argent et leur accès pour tenter de faire en sorte que le traité ne fasse pas ce qu’il doit faire, à savoir fermer le robinet de la production de plastique.

Greenpeace

Face à ces pressions, les défenseurs de l’environnement craignent que les négociations n’accouchent que d’un accord a minima, sans réelle ambition pour enrayer la pollution plastique mondiale. Un échec qui serait catastrophique alors que la production de plastique pourrait tripler d’ici 2060 si rien n’est fait, selon l’OCDE.

La Corée du Sud, un symbole des enjeux

Au-delà de l’aspect pratique, le choix de la Corée du Sud pour cette action coup de poing est aussi symbolique. Le pays est le 5ème producteur mondial de déchets plastiques par habitant. Et son industrie pétrochimique, l’une des plus puissantes au monde, a des projets d’expansion massifs dans les années à venir si rien ne change.

Pour Greenpeace, il est donc crucial que des pays comme la Corée du Sud prennent leurs responsabilités et soutiennent un traité ambitieux, malgré les pressions de leur propre industrie. Un test pour la crédibilité de l’engagement international dans la lutte contre la crise du plastique.

L’abordage du Buena Alba par Greenpeace n’est qu’une étape dans la bataille pour un traité mondial fort contre la pollution plastique. Mais cette action aura au moins eu le mérite de braquer les projecteurs sur les coulisses de négociations qui s’annoncent décisives pour l’avenir de la planète et de nos océans.

Contactée, la Garde côtière sud-coréenne a confirmé avoir été informée de la situation et avoir dépêché des équipes sur place pour gérer l’incident. Pour l’heure, on ignore encore si l’opération de Greenpeace a pu aller à son terme ou si elle a été interrompue par les forces de l’ordre.

Un coup d’éclat en pleine négociation d’un traité international

Cette action spectaculaire intervient alors que des négociations cruciales sont en cours à Busan, dans le sud du pays, pour tenter d’élaborer un traité mondial contre la pollution plastique. Plus de 170 pays sont réunis jusqu’à dimanche pour tenter de s’accorder sur un texte.

Mais les discussions piétinent en raison de fortes divergences entre la majorité des États, qui souhaitent un accord ambitieux incluant une réduction de la production de plastique, et un petit groupe de pays producteurs de pétrole qui freinent des quatre fers. Ces derniers voudraient que le traité se concentre uniquement sur la gestion des déchets, sans remettre en cause le cœur de leur industrie.

Un traité qui ne s’attaquerait pas à la production de plastique serait un échec, et cela devrait être une ligne rouge pour tous les gouvernements qui s’engagent à mettre fin à la crise de la pollution plastique.

Graham Forbes, chef de la délégation Greenpeace à Busan

L’ombre du lobby pétrochimique plane sur les négociations

Au-delà du coup d’éclat, Greenpeace cherche aussi à dénoncer l’influence de l’industrie pétrochimique sur les négociations en cours. L’ONG affirme que des dizaines de lobbyistes du secteur sont présents à Busan pour tenter de faire échouer un traité trop contraignant.

Ils utilisent leur pouvoir, leur argent et leur accès pour tenter de faire en sorte que le traité ne fasse pas ce qu’il doit faire, à savoir fermer le robinet de la production de plastique.

Greenpeace

Face à ces pressions, les défenseurs de l’environnement craignent que les négociations n’accouchent que d’un accord a minima, sans réelle ambition pour enrayer la pollution plastique mondiale. Un échec qui serait catastrophique alors que la production de plastique pourrait tripler d’ici 2060 si rien n’est fait, selon l’OCDE.

La Corée du Sud, un symbole des enjeux

Au-delà de l’aspect pratique, le choix de la Corée du Sud pour cette action coup de poing est aussi symbolique. Le pays est le 5ème producteur mondial de déchets plastiques par habitant. Et son industrie pétrochimique, l’une des plus puissantes au monde, a des projets d’expansion massifs dans les années à venir si rien ne change.

Pour Greenpeace, il est donc crucial que des pays comme la Corée du Sud prennent leurs responsabilités et soutiennent un traité ambitieux, malgré les pressions de leur propre industrie. Un test pour la crédibilité de l’engagement international dans la lutte contre la crise du plastique.

L’abordage du Buena Alba par Greenpeace n’est qu’une étape dans la bataille pour un traité mondial fort contre la pollution plastique. Mais cette action aura au moins eu le mérite de braquer les projecteurs sur les coulisses de négociations qui s’annoncent décisives pour l’avenir de la planète et de nos océans.

Passionné et dévoué, j'explore sans cesse les nouvelles frontières de l'information et de la technologie. Pour explorer les options de sponsoring, contactez-nous.