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Frappe Israélienne Au Liban : Tensions Malgré La Trêve

Nouveau coup de tonnerre au Liban : Israël frappe le Hezbollah malgré la trêve. Les tensions restent vives à la frontière, laissant craindre une escalade. Jusqu'où ira ce regain de violence ? Décryptage.

La situation reste tendue au Liban, malgré l’entrée en vigueur d’un cessez-le-feu mercredi entre Israël et le Hezbollah. En effet, l’armée israélienne a annoncé avoir mené jeudi une frappe aérienne sur une installation du mouvement chiite dans le sud du pays, ravivant les craintes d’une escalade.

Une cible « terroriste » visée selon Israël

D’après le communiqué de l’armée israélienne, l’aviation a ciblé vers 15h30 une « zone forestière non accessible aux civils » près de la ville de Baïssariyé, où se trouvait une installation « utilisée par le Hezbollah pour stocker des roquettes de moyenne portée ». Le raid aérien aurait permis de « déjouer la menace », tout en s’inscrivant dans le cadre de l’accord de trêve.

Le maire de Baïssariyé, Nazih Eid, a confirmé à l’AFP la localisation de la frappe israélienne, sans faire état de victimes. Quelques heures plus tôt, l’armée israélienne avait déjà rapporté un incident, indiquant avoir « ouvert le feu » sur des « suspects » pénétrant avec des véhicules dans des zones du sud du Liban « ne respectant pas les conditions du cessez-le-feu ».

Cessez-le-feu précaire

Jeudi, les troupes libanaises ont continué leur déploiement dans le sud, sans toutefois s’approcher des zones où l’armée israélienne est encore présente et a imposé un couvre-feu. Deux villageois libanais auraient été blessés par des tirs israéliens près de la frontière, signe de la persistance des tensions.

Risque de représailles du Hezbollah

Si Israël présente son raid comme une action défensive visant à faire respecter la trêve, il n’en reste pas moins que frapper ainsi le Hezbollah sur son territoire pourrait être perçu comme une provocation. Le mouvement chiite, affaibli mais pas anéanti par le conflit, dispose encore de capacités militaires significatives et pourrait chercher à riposter pour ne pas perdre la face.

Tout sera une question d’interprétation de l’accord de cessez-le-feu et de la marge de manœuvre que s’accorderont les différents acteurs. Mais dans ce contexte de méfiance réciproque, le moindre incident de parcours risque de dégénérer en nouvelle flambée de violence. La communauté internationale retient son souffle, espérant que la raison l’emportera des deux côtés de la Ligne bleue.

Le Liban, victime collatérale

Comme souvent, c’est le Liban qui risque de payer le plus lourd tribut de cette instabilité chronique. Déjà durement éprouvé par un conflit qui a fait des morts, des destructions massives et des déplacements de population, le pays du Cèdre peine à retrouver un semblant de normalité. La classe politique, divisée, semble impuissante à imposer son autorité sur l’ensemble du territoire.

Le cessez-le-feu, aussi imparfait soit-il, représentait un espoir de répit pour les Libanais pris en étau. Sa fragilisation par la récente frappe israélienne fait resurgir le spectre de l’engrenage guerrier. Une équation aux multiples inconnues, que la sagesse et la retenue des différents protagonistes pourraient contribuer à résoudre. Mais dans cette poudrière du Moyen-Orient, la route vers une paix durable reste semée d’embûches.

Jeudi, les troupes libanaises ont continué leur déploiement dans le sud, sans toutefois s’approcher des zones où l’armée israélienne est encore présente et a imposé un couvre-feu. Deux villageois libanais auraient été blessés par des tirs israéliens près de la frontière, signe de la persistance des tensions.

Risque de représailles du Hezbollah

Si Israël présente son raid comme une action défensive visant à faire respecter la trêve, il n’en reste pas moins que frapper ainsi le Hezbollah sur son territoire pourrait être perçu comme une provocation. Le mouvement chiite, affaibli mais pas anéanti par le conflit, dispose encore de capacités militaires significatives et pourrait chercher à riposter pour ne pas perdre la face.

Tout sera une question d’interprétation de l’accord de cessez-le-feu et de la marge de manœuvre que s’accorderont les différents acteurs. Mais dans ce contexte de méfiance réciproque, le moindre incident de parcours risque de dégénérer en nouvelle flambée de violence. La communauté internationale retient son souffle, espérant que la raison l’emportera des deux côtés de la Ligne bleue.

Le Liban, victime collatérale

Comme souvent, c’est le Liban qui risque de payer le plus lourd tribut de cette instabilité chronique. Déjà durement éprouvé par un conflit qui a fait des morts, des destructions massives et des déplacements de population, le pays du Cèdre peine à retrouver un semblant de normalité. La classe politique, divisée, semble impuissante à imposer son autorité sur l’ensemble du territoire.

Le cessez-le-feu, aussi imparfait soit-il, représentait un espoir de répit pour les Libanais pris en étau. Sa fragilisation par la récente frappe israélienne fait resurgir le spectre de l’engrenage guerrier. Une équation aux multiples inconnues, que la sagesse et la retenue des différents protagonistes pourraient contribuer à résoudre. Mais dans cette poudrière du Moyen-Orient, la route vers une paix durable reste semée d’embûches.

Entré en vigueur mercredi à l’aube après deux mois d’une guerre ouverte ayant fait fuir des centaines de milliers de civils, le cessez-le-feu parrainé par les États-Unis et la France apparaît bien fragile. Si l’armée israélienne dispose de 60 jours pour se retirer du Liban, le Hezbollah doit parallèlement se replier au nord du Litani et démanteler ses infrastructures militaires dans le sud, des conditions difficiles à vérifier.

Jeudi, les troupes libanaises ont continué leur déploiement dans le sud, sans toutefois s’approcher des zones où l’armée israélienne est encore présente et a imposé un couvre-feu. Deux villageois libanais auraient été blessés par des tirs israéliens près de la frontière, signe de la persistance des tensions.

Risque de représailles du Hezbollah

Si Israël présente son raid comme une action défensive visant à faire respecter la trêve, il n’en reste pas moins que frapper ainsi le Hezbollah sur son territoire pourrait être perçu comme une provocation. Le mouvement chiite, affaibli mais pas anéanti par le conflit, dispose encore de capacités militaires significatives et pourrait chercher à riposter pour ne pas perdre la face.

Tout sera une question d’interprétation de l’accord de cessez-le-feu et de la marge de manœuvre que s’accorderont les différents acteurs. Mais dans ce contexte de méfiance réciproque, le moindre incident de parcours risque de dégénérer en nouvelle flambée de violence. La communauté internationale retient son souffle, espérant que la raison l’emportera des deux côtés de la Ligne bleue.

Le Liban, victime collatérale

Comme souvent, c’est le Liban qui risque de payer le plus lourd tribut de cette instabilité chronique. Déjà durement éprouvé par un conflit qui a fait des morts, des destructions massives et des déplacements de population, le pays du Cèdre peine à retrouver un semblant de normalité. La classe politique, divisée, semble impuissante à imposer son autorité sur l’ensemble du territoire.

Le cessez-le-feu, aussi imparfait soit-il, représentait un espoir de répit pour les Libanais pris en étau. Sa fragilisation par la récente frappe israélienne fait resurgir le spectre de l’engrenage guerrier. Une équation aux multiples inconnues, que la sagesse et la retenue des différents protagonistes pourraient contribuer à résoudre. Mais dans cette poudrière du Moyen-Orient, la route vers une paix durable reste semée d’embûches.

Entré en vigueur mercredi à l’aube après deux mois d’une guerre ouverte ayant fait fuir des centaines de milliers de civils, le cessez-le-feu parrainé par les États-Unis et la France apparaît bien fragile. Si l’armée israélienne dispose de 60 jours pour se retirer du Liban, le Hezbollah doit parallèlement se replier au nord du Litani et démanteler ses infrastructures militaires dans le sud, des conditions difficiles à vérifier.

Jeudi, les troupes libanaises ont continué leur déploiement dans le sud, sans toutefois s’approcher des zones où l’armée israélienne est encore présente et a imposé un couvre-feu. Deux villageois libanais auraient été blessés par des tirs israéliens près de la frontière, signe de la persistance des tensions.

Risque de représailles du Hezbollah

Si Israël présente son raid comme une action défensive visant à faire respecter la trêve, il n’en reste pas moins que frapper ainsi le Hezbollah sur son territoire pourrait être perçu comme une provocation. Le mouvement chiite, affaibli mais pas anéanti par le conflit, dispose encore de capacités militaires significatives et pourrait chercher à riposter pour ne pas perdre la face.

Tout sera une question d’interprétation de l’accord de cessez-le-feu et de la marge de manœuvre que s’accorderont les différents acteurs. Mais dans ce contexte de méfiance réciproque, le moindre incident de parcours risque de dégénérer en nouvelle flambée de violence. La communauté internationale retient son souffle, espérant que la raison l’emportera des deux côtés de la Ligne bleue.

Le Liban, victime collatérale

Comme souvent, c’est le Liban qui risque de payer le plus lourd tribut de cette instabilité chronique. Déjà durement éprouvé par un conflit qui a fait des morts, des destructions massives et des déplacements de population, le pays du Cèdre peine à retrouver un semblant de normalité. La classe politique, divisée, semble impuissante à imposer son autorité sur l’ensemble du territoire.

Le cessez-le-feu, aussi imparfait soit-il, représentait un espoir de répit pour les Libanais pris en étau. Sa fragilisation par la récente frappe israélienne fait resurgir le spectre de l’engrenage guerrier. Une équation aux multiples inconnues, que la sagesse et la retenue des différents protagonistes pourraient contribuer à résoudre. Mais dans cette poudrière du Moyen-Orient, la route vers une paix durable reste semée d’embûches.

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