Un an après avoir écopé d’une peine de 7 ans de détention pour avoir publiquement dénoncé l’offensive russe en Ukraine, l’opposant Alexeï Gorinov est à nouveau dans le collimateur de la justice de son pays. Alors qu’il purge déjà sa lourde peine, cet élu municipal de Moscou, âgé de 63 ans, a comparu ce mercredi devant un tribunal militaire dans le cadre d’un nouveau procès, cette fois pour « apologie du terrorisme ». Un chef d’accusation passible de 5 années d’emprisonnement supplémentaires.
Le calvaire judiciaire d’Alexeï Gorinov avait débuté en juillet 2022, lorsqu’il fut condamné pour avoir fustigé « l’agression militaire en cours en Ukraine » lors d’une réunion municipale retransmise sur Youtube quelques mois plus tôt. À l’époque, il fut l’un des premiers à subir la rigueur d’un nouvel article du code pénal entré en vigueur au début du conflit et réprimant sévèrement toute « fausse information » sur l’armée russe.
Une liberté d’expression muselée
Mais les ennuis de l’opposant ne se sont pas arrêtés là. Lors de sa détention, il aurait tenu des propos jugés favorables à l’Ukraine lors de conversations avec des codétenus, alors qu’il était hospitalisé pour une pneumonie en janvier dernier. Des discussions qui lui valent aujourd’hui ces nouvelles poursuites ubuesques pour « justification du terrorisme ».
Bravant ses accusateurs, Alexeï Gorinov a brandi lors de l’audience une pancarte avec les mots « Arrêtez de tuer! Arrêtons la guerre! », dénonçant « un processus unique de persécution des citoyens qui expriment leurs opinions ». Une posture courageuse dans un pays où toute voix dissonante sur le conflit ukrainien est systématiquement réprimée.
« Cette affaire s’inscrit dans un processus unique de persécution des citoyens qui expriment leurs opinions. »
Alexeï Gorinov, opposant russe
Le spectre d’une répression généralisée
Le sort de l’opposant illustre l’intensification de la répression qui sévit en Russie depuis le début de l’intervention militaire en Ukraine. Selon des sources concordantes, des centaines, voire des milliers de personnes croupissent actuellement dans les geôles russes pour avoir osé critiquer ce que le Kremlin présente comme une « opération spéciale ».
Des peines particulièrement sévères sont régulièrement prononcées pour des motifs aussi divers que « trahison », « sabotage » ou « extrémisme », dans des procès expéditifs où l’issue semble jouée d’avance. Une justice aux ordres qui n’épargne personne, des anonymes aux figures de l’opposition.
Une opposition décimée
Dans ce contexte, l’issue du procès en cours d’Alexeï Gorinov ne laisse guère de place au doute. Mais au-delà de son cas personnel, c’est la question de l’avenir des libertés en Russie qui se pose avec acuité. Avec une opposition muselée et des voix critiques systématiquement réduites au silence, le spectre d’un régime de plus en plus autoritaire et répressif se profile à l’horizon.
Une dérive inquiétante qui suscite l’indignation des défenseurs des droits humains et devrait interpeller la communauté internationale. Car derrière les procès et les condamnations arbitraires, c’est tout un peuple qui est privé de son droit fondamental à s’exprimer librement et à contester les décisions de ses dirigeants. Un enjeu crucial pour l’avenir de la démocratie en Russie et au-delà.
Dans ce contexte, l’issue du procès en cours d’Alexeï Gorinov ne laisse guère de place au doute. Mais au-delà de son cas personnel, c’est la question de l’avenir des libertés en Russie qui se pose avec acuité. Avec une opposition muselée et des voix critiques systématiquement réduites au silence, le spectre d’un régime de plus en plus autoritaire et répressif se profile à l’horizon.
Une dérive inquiétante qui suscite l’indignation des défenseurs des droits humains et devrait interpeller la communauté internationale. Car derrière les procès et les condamnations arbitraires, c’est tout un peuple qui est privé de son droit fondamental à s’exprimer librement et à contester les décisions de ses dirigeants. Un enjeu crucial pour l’avenir de la démocratie en Russie et au-delà.
D’autres grandes figures de la contestation ont dû fuir le pays pour échapper aux persécutions. C’est le cas de l’ancien député Dmitri Goudkov ou encore du militant anticorruption Vladimir Kara-Mourza, récemment condamnés par contumace à de lourdes peines. Ceux qui restent, comme Alexeï Gorinov, font face à un acharnement judiciaire implacable.
Un avenir bien sombre pour les libertés en Russie
Dans ce contexte, l’issue du procès en cours d’Alexeï Gorinov ne laisse guère de place au doute. Mais au-delà de son cas personnel, c’est la question de l’avenir des libertés en Russie qui se pose avec acuité. Avec une opposition muselée et des voix critiques systématiquement réduites au silence, le spectre d’un régime de plus en plus autoritaire et répressif se profile à l’horizon.
Une dérive inquiétante qui suscite l’indignation des défenseurs des droits humains et devrait interpeller la communauté internationale. Car derrière les procès et les condamnations arbitraires, c’est tout un peuple qui est privé de son droit fondamental à s’exprimer librement et à contester les décisions de ses dirigeants. Un enjeu crucial pour l’avenir de la démocratie en Russie et au-delà.
D’autres grandes figures de la contestation ont dû fuir le pays pour échapper aux persécutions. C’est le cas de l’ancien député Dmitri Goudkov ou encore du militant anticorruption Vladimir Kara-Mourza, récemment condamnés par contumace à de lourdes peines. Ceux qui restent, comme Alexeï Gorinov, font face à un acharnement judiciaire implacable.
Un avenir bien sombre pour les libertés en Russie
Dans ce contexte, l’issue du procès en cours d’Alexeï Gorinov ne laisse guère de place au doute. Mais au-delà de son cas personnel, c’est la question de l’avenir des libertés en Russie qui se pose avec acuité. Avec une opposition muselée et des voix critiques systématiquement réduites au silence, le spectre d’un régime de plus en plus autoritaire et répressif se profile à l’horizon.
Une dérive inquiétante qui suscite l’indignation des défenseurs des droits humains et devrait interpeller la communauté internationale. Car derrière les procès et les condamnations arbitraires, c’est tout un peuple qui est privé de son droit fondamental à s’exprimer librement et à contester les décisions de ses dirigeants. Un enjeu crucial pour l’avenir de la démocratie en Russie et au-delà.
Alexeï Navalny, le principal opposant au régime de Vladimir Poutine, en a fait les frais. Après avoir survécu de peu à un empoisonnement présumé, il a été condamné à de lourdes peines de prison dans des affaires que ses soutiens jugent politiques. En août dernier, il est mort dans des circonstances troubles alors qu’il purgeait une peine de 9 ans de détention.
D’autres grandes figures de la contestation ont dû fuir le pays pour échapper aux persécutions. C’est le cas de l’ancien député Dmitri Goudkov ou encore du militant anticorruption Vladimir Kara-Mourza, récemment condamnés par contumace à de lourdes peines. Ceux qui restent, comme Alexeï Gorinov, font face à un acharnement judiciaire implacable.
Un avenir bien sombre pour les libertés en Russie
Dans ce contexte, l’issue du procès en cours d’Alexeï Gorinov ne laisse guère de place au doute. Mais au-delà de son cas personnel, c’est la question de l’avenir des libertés en Russie qui se pose avec acuité. Avec une opposition muselée et des voix critiques systématiquement réduites au silence, le spectre d’un régime de plus en plus autoritaire et répressif se profile à l’horizon.
Une dérive inquiétante qui suscite l’indignation des défenseurs des droits humains et devrait interpeller la communauté internationale. Car derrière les procès et les condamnations arbitraires, c’est tout un peuple qui est privé de son droit fondamental à s’exprimer librement et à contester les décisions de ses dirigeants. Un enjeu crucial pour l’avenir de la démocratie en Russie et au-delà.
Alexeï Navalny, le principal opposant au régime de Vladimir Poutine, en a fait les frais. Après avoir survécu de peu à un empoisonnement présumé, il a été condamné à de lourdes peines de prison dans des affaires que ses soutiens jugent politiques. En août dernier, il est mort dans des circonstances troubles alors qu’il purgeait une peine de 9 ans de détention.
D’autres grandes figures de la contestation ont dû fuir le pays pour échapper aux persécutions. C’est le cas de l’ancien député Dmitri Goudkov ou encore du militant anticorruption Vladimir Kara-Mourza, récemment condamnés par contumace à de lourdes peines. Ceux qui restent, comme Alexeï Gorinov, font face à un acharnement judiciaire implacable.
Un avenir bien sombre pour les libertés en Russie
Dans ce contexte, l’issue du procès en cours d’Alexeï Gorinov ne laisse guère de place au doute. Mais au-delà de son cas personnel, c’est la question de l’avenir des libertés en Russie qui se pose avec acuité. Avec une opposition muselée et des voix critiques systématiquement réduites au silence, le spectre d’un régime de plus en plus autoritaire et répressif se profile à l’horizon.
Une dérive inquiétante qui suscite l’indignation des défenseurs des droits humains et devrait interpeller la communauté internationale. Car derrière les procès et les condamnations arbitraires, c’est tout un peuple qui est privé de son droit fondamental à s’exprimer librement et à contester les décisions de ses dirigeants. Un enjeu crucial pour l’avenir de la démocratie en Russie et au-delà.