Une ambiance fébrile règne autour du Losc à quelques heures d’un match qui pourrait marquer l’histoire du club nordiste. En déplacement à Bologne ce mercredi soir pour le compte de la 5ème journée de Ligue des Champions, les Dogues ont l’occasion de décrocher leur billet pour les play-offs de la compétition reine du football européen. Un exploit à portée de main pour une équipe qui semble se transcender dès qu’elle foule le sol italien.
Le LOSC, une histoire d’amour avec l’Italie
Des premiers frissons à Parme en 2001 au triplé de Yazici à San Siro en 2020, en passant par la démonstration face au Milan d’Andrea Pirlo en 2006, le LOSC collectionne les coups d’éclat de l’autre côté des Alpes. Un véritable fil rouge dans la construction de sa stature européenne.
Ce soir, dans le suranné stade Renato-Dall’Ara de Bologne, Lille a l’opportunité d’écrire un nouveau chapitre de cette dolce vita. Un point suffirait aux hommes de Bruno Genesio pour valider leur ticket pour le prochain tour. Une victoire et les Dogues pourraient même voir plus loin…
La magie doit continuer pour Genesio
Conscient de l’enjeu historique de ce match, l’entraîneur nordiste Bruno Genesio n’entend pourtant rien lâcher : « Les résultats de Bologne sont trompeurs, ce sera un match aussi difficile que les précédents, confie-t-il en conférence de presse. Quand les gens ont vu notre calendrier, personne n’aurait cru qu’on allait battre le Real Madrid, l’Atlético, accrocher la Juventus. Mais désormais, la situation a bien changé, et la magie doit continuer. »
Une façon de maintenir la pression sur ses joueurs qui pourraient être tentés de s’enflammer après leurs récents exploits. Car si Bologne pointe à la dernière place du groupe, les Italiens restent redoutables à domicile et pourraient bien jouer les trouble-fêtes.
Thomas Meunier : « Personne ne prendra ce match à la légère »
De Gabriel Bernier à Benjamin André en passant par Burak Yilmaz ou Eden Hazard, l’histoire lilloise s’est construite en cultivant un esprit de conquête. Un héritage précieux que les Dogues version 2024 ont à cœur de perpétuer. Alors ce soir, sur la pelouse du Renato Dall’Ara, une seule devise comptera : faire perdurer la magie. Encore et toujours.
De Gabriel Bernier à Benjamin André en passant par Burak Yilmaz ou Eden Hazard, l’histoire lilloise s’est construite en cultivant un esprit de conquête. Un héritage précieux que les Dogues version 2024 ont à cœur de perpétuer. Alors ce soir, sur la pelouse du Renato Dall’Ara, une seule devise comptera : faire perdurer la magie. Encore et toujours.
Trois jours après avoir soufflé ses 80 bougies en grande pompe, avec près d’une centaine de légendes du club réunies à Pierre-Mauroy, le LOSC a rendez-vous avec son destin européen. L’occasion rêvée d’offrir un cadeau mémorable à tout un peuple, et de prouver que la relève est bien assurée.
De Gabriel Bernier à Benjamin André en passant par Burak Yilmaz ou Eden Hazard, l’histoire lilloise s’est construite en cultivant un esprit de conquête. Un héritage précieux que les Dogues version 2024 ont à cœur de perpétuer. Alors ce soir, sur la pelouse du Renato Dall’Ara, une seule devise comptera : faire perdurer la magie. Encore et toujours.
Trois jours après avoir soufflé ses 80 bougies en grande pompe, avec près d’une centaine de légendes du club réunies à Pierre-Mauroy, le LOSC a rendez-vous avec son destin européen. L’occasion rêvée d’offrir un cadeau mémorable à tout un peuple, et de prouver que la relève est bien assurée.
De Gabriel Bernier à Benjamin André en passant par Burak Yilmaz ou Eden Hazard, l’histoire lilloise s’est construite en cultivant un esprit de conquête. Un héritage précieux que les Dogues version 2024 ont à cœur de perpétuer. Alors ce soir, sur la pelouse du Renato Dall’Ara, une seule devise comptera : faire perdurer la magie. Encore et toujours.
Mais dans le camp lillois, on assure rester concentré sur l’objectif. « Je ne pense pas qu’il y ait qui que ce soit dans ce groupe qui va prendre ce match à la légère, sûrement pas », martèle Thomas Meunier. Le défenseur belge sait de quoi il parle, lui qui est devenu un cadre du vestiaire nordiste depuis son arrivée.
Un discours rassurant alors que le brouillard qui enveloppait la ville de Bologne mardi lui donnait des airs de piège. Mais les Dogues ont l’habitude de se méfier des apparences trompeuses. Et comptent bien le prouver une fois de plus ce soir.
Lucas Chevalier, le gardien aux 100 matchs avec Lille
Pour garder sa cage inviolée, Lille pourra compter sur un Lucas Chevalier en état de grâce. Le jeune portier fêtera ce soir sa 100ème apparition sous le maillot nordiste, un cap symbolique pour celui qui s’est imposé comme l’un des meilleurs à son poste en Ligue 1.
Vigilant, serein, décisif, le natif de Calais rassure ses coéquipiers et constitue un véritable talisman. A priori, il ne devrait pas crouler sous le boulot face à des Bolonais en panne d’efficacité. Mais avec Chevalier, les Dogues savent qu’ils disposent d’une garantie supplémentaire pour continuer à écrire leur histoire.
Un 80ème anniversaire en apothéose ?
Trois jours après avoir soufflé ses 80 bougies en grande pompe, avec près d’une centaine de légendes du club réunies à Pierre-Mauroy, le LOSC a rendez-vous avec son destin européen. L’occasion rêvée d’offrir un cadeau mémorable à tout un peuple, et de prouver que la relève est bien assurée.
De Gabriel Bernier à Benjamin André en passant par Burak Yilmaz ou Eden Hazard, l’histoire lilloise s’est construite en cultivant un esprit de conquête. Un héritage précieux que les Dogues version 2024 ont à cœur de perpétuer. Alors ce soir, sur la pelouse du Renato Dall’Ara, une seule devise comptera : faire perdurer la magie. Encore et toujours.
Mais dans le camp lillois, on assure rester concentré sur l’objectif. « Je ne pense pas qu’il y ait qui que ce soit dans ce groupe qui va prendre ce match à la légère, sûrement pas », martèle Thomas Meunier. Le défenseur belge sait de quoi il parle, lui qui est devenu un cadre du vestiaire nordiste depuis son arrivée.
Un discours rassurant alors que le brouillard qui enveloppait la ville de Bologne mardi lui donnait des airs de piège. Mais les Dogues ont l’habitude de se méfier des apparences trompeuses. Et comptent bien le prouver une fois de plus ce soir.
Lucas Chevalier, le gardien aux 100 matchs avec Lille
Pour garder sa cage inviolée, Lille pourra compter sur un Lucas Chevalier en état de grâce. Le jeune portier fêtera ce soir sa 100ème apparition sous le maillot nordiste, un cap symbolique pour celui qui s’est imposé comme l’un des meilleurs à son poste en Ligue 1.
Vigilant, serein, décisif, le natif de Calais rassure ses coéquipiers et constitue un véritable talisman. A priori, il ne devrait pas crouler sous le boulot face à des Bolonais en panne d’efficacité. Mais avec Chevalier, les Dogues savent qu’ils disposent d’une garantie supplémentaire pour continuer à écrire leur histoire.
Un 80ème anniversaire en apothéose ?
Trois jours après avoir soufflé ses 80 bougies en grande pompe, avec près d’une centaine de légendes du club réunies à Pierre-Mauroy, le LOSC a rendez-vous avec son destin européen. L’occasion rêvée d’offrir un cadeau mémorable à tout un peuple, et de prouver que la relève est bien assurée.
De Gabriel Bernier à Benjamin André en passant par Burak Yilmaz ou Eden Hazard, l’histoire lilloise s’est construite en cultivant un esprit de conquête. Un héritage précieux que les Dogues version 2024 ont à cœur de perpétuer. Alors ce soir, sur la pelouse du Renato Dall’Ara, une seule devise comptera : faire perdurer la magie. Encore et toujours.