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Drake Accuses Universal Music Of Hyping Kendrick Lamar’s ‘Pedo’ Track

The bitter rivalry between rap superstars Drake and Kendrick Lamar has exploded into a legal battle as the Canadian hitmaker drags their label Universal Music to court, claiming they rigged the streaming numbers and defamed him on Kendrick's scathing track 'Not Like Us'. But what bombshell evidence does Drake have up his sleeve to prove the label sabotaged their own artist? The stakes couldn't be higher as Drake's reputation hangs in the balance...

Dans une escalade choc, le conflit houleux entre les titans du rap Drake et Kendrick Lamar s’est déplacé des studios aux tribunaux. Selon des documents judiciaires et des révélations médiatiques, le mégastar canadien accuse leur label commun, Universal Music, d’avoir gonflé artificiellement les chiffres d’écoute de son rival californien et de l’avoir diffamé sur un morceau au vitriol l’accusant de pédophilie.

Leurs noms sont sur toutes les lèvres, mais pour les pires raisons. Drake, 36 ans, et Kendrick Lamar, 35 ans, deux des plus grandes stars de l’histoire du hip-hop, se livrent depuis des années une guerre des mots sans merci, échangeant piques acerbes et insinuations dans leurs paroles. Mais en 2024, leur beef a pris un tournant inquiétant quand Kendrick, auréolé d’un prix Pulitzer, a publié « Not Like Us », un morceau incendiaire traitant explicitement Drake de « pédophile » ayant des relations avec des mineures.

Le morceau qui met le feu aux poudres

Propulsé par la controverse, « Not Like Us » a dépassé les 900 millions d’écoutes sur Spotify, devenant l’un des plus gros succès de Kendrick Lamar. Nommé dans plusieurs catégories aux Grammy Awards 2025, dont celle très convoitée de la chanson de l’année, il a aussi valu à son auteur l’immense privilège d’être choisi pour le concert de la mi-temps du Super Bowl.

Mais Drake ne l’entend pas de cette oreille. Sous contrat chez le même label que son rival, Universal Music Group (UMG), le rappeur de Toronto contre-attaque sur le terrain judiciaire. Ses avocats ont lancé deux procédures distinctes à New York et au Texas pour réclamer des preuves en vue de futures poursuites.

Universal Music dans le collimateur

Des documents judiciaires explosifs révèlent que Drake accuse UMG d’avoir bradé ses droits de diffusion à Spotify. Le deal : des royalties moindres en échange d’une promotion massive de « Not Like Us », recommandé en priorité aux utilisateurs. Pire, le Canadien affirme que le label a eu recours à des armées de bots pour gonfler artificiellement le nombre d’écoutes du morceau, qui le diffame gravement.

Contacté, un porte-parole d’Universal Music s’est dit « choqué » par ces « allégations fausses », assurant que le label ne ferait « jamais rien pour nuire à ses artistes » et que « les fans choisissent la musique qu’ils veulent écouter ». Mais l’autre procédure lancée par Drake enfonce le clou : ses avocats estiment qu’UMG « aurait pu refuser de sortir ou distribuer » le morceau à charge ou « exiger que les propos offensants soient retirés », mais qu’au lieu de défendre son artiste, le label a délibérément « choisi de faire le contraire ».

La réputation de Drake en jeu

L’enjeu est de taille pour Drake, qui a bâti son immense succès sur une image soigneusement travaillée de gendre idéal. Malgré quelques controverses, notamment sur ses relations avec de jeunes célébrités féminines, il n’a jusqu’ici jamais été publiquement accusé de pédocriminalité. Mais en laissant prospérer le morceau de Kendrick Lamar, qui martèle cette accusation gravissime, son propre label a-t-il sacrifié sa réputation sur l’autel du profit ? C’est ce que le Canadien semble déterminé à prouver devant les tribunaux.

Colère noire et partie d’échecs

Dans le camp adverse, Kendrick Lamar garde un silence assourdissant, laissant son morceau parler pour lui. Vendredi dernier, il a même sorti par surprise un nouvel album qui ne fait aucune référence à la polémique, préférant se concentrer sur les thèmes sociaux et politiques qui ont fait sa renommée. Un coup de communication pour détourner l’attention ? Ou l’assurance tranquille de celui qui sait que son label le couvrira quoi qu’il arrive ? Seul l’avenir le dira.

Quoi qu’il en soit, ce bras de fer judiciaire entre deux géants du rap s’annonce passionnant et riche en rebondissements. Mais au-delà du scandale et des accusations choquantes, il met surtout en lumière les guerres d’ego, les intérêts financiers et les pratiques troubles qui gangrènent l’industrie musicale. Espérons que la vérité finira par éclater au grand jour, quelle qu’elle soit. Car dans ce combat de titans, c’est la crédibilité du hip-hop tout entier qui est en jeu.

Mais Drake ne l’entend pas de cette oreille. Sous contrat chez le même label que son rival, Universal Music Group (UMG), le rappeur de Toronto contre-attaque sur le terrain judiciaire. Ses avocats ont lancé deux procédures distinctes à New York et au Texas pour réclamer des preuves en vue de futures poursuites.

Universal Music dans le collimateur

Des documents judiciaires explosifs révèlent que Drake accuse UMG d’avoir bradé ses droits de diffusion à Spotify. Le deal : des royalties moindres en échange d’une promotion massive de « Not Like Us », recommandé en priorité aux utilisateurs. Pire, le Canadien affirme que le label a eu recours à des armées de bots pour gonfler artificiellement le nombre d’écoutes du morceau, qui le diffame gravement.

Contacté, un porte-parole d’Universal Music s’est dit « choqué » par ces « allégations fausses », assurant que le label ne ferait « jamais rien pour nuire à ses artistes » et que « les fans choisissent la musique qu’ils veulent écouter ». Mais l’autre procédure lancée par Drake enfonce le clou : ses avocats estiment qu’UMG « aurait pu refuser de sortir ou distribuer » le morceau à charge ou « exiger que les propos offensants soient retirés », mais qu’au lieu de défendre son artiste, le label a délibérément « choisi de faire le contraire ».

La réputation de Drake en jeu

L’enjeu est de taille pour Drake, qui a bâti son immense succès sur une image soigneusement travaillée de gendre idéal. Malgré quelques controverses, notamment sur ses relations avec de jeunes célébrités féminines, il n’a jusqu’ici jamais été publiquement accusé de pédocriminalité. Mais en laissant prospérer le morceau de Kendrick Lamar, qui martèle cette accusation gravissime, son propre label a-t-il sacrifié sa réputation sur l’autel du profit ? C’est ce que le Canadien semble déterminé à prouver devant les tribunaux.

Colère noire et partie d’échecs

Dans le camp adverse, Kendrick Lamar garde un silence assourdissant, laissant son morceau parler pour lui. Vendredi dernier, il a même sorti par surprise un nouvel album qui ne fait aucune référence à la polémique, préférant se concentrer sur les thèmes sociaux et politiques qui ont fait sa renommée. Un coup de communication pour détourner l’attention ? Ou l’assurance tranquille de celui qui sait que son label le couvrira quoi qu’il arrive ? Seul l’avenir le dira.

Quoi qu’il en soit, ce bras de fer judiciaire entre deux géants du rap s’annonce passionnant et riche en rebondissements. Mais au-delà du scandale et des accusations choquantes, il met surtout en lumière les guerres d’ego, les intérêts financiers et les pratiques troubles qui gangrènent l’industrie musicale. Espérons que la vérité finira par éclater au grand jour, quelle qu’elle soit. Car dans ce combat de titans, c’est la crédibilité du hip-hop tout entier qui est en jeu.

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