C’est un choix qui bouscule le programme mais qui se veut pragmatique. Selon une information communiquée ce lundi, le match de Champions Cup entre le Stade Français et les Saracens, initialement prévu à 16h15 le dimanche 15 décembre, a été avancé à 14h le même jour. La raison invoquée ? Désengorger la circulation aux abords du stade Jean Bouin avant le choc PSG-Lyon programmé à 21h au Parc des Princes voisin.
Des enjeux sportifs et logistiques
En effet, la tenue quasi-simultanée de ces deux affiches à forte affluence dans des enceintes parisiennes proches laissait craindre d’importants problèmes de trafic et d’accès aux stades. D’après une source proche du dossier, c’est à la demande de la préfecture de police de Paris que cette décision a été actée, afin de fluidifier au mieux la circulation et la logistique.
Pour le Stade Français, ce changement d’horaire n’est pas anodin à l’aube d’un match capital face à un des cadors anglais. Disputer une rencontre à fort enjeu dès 14h, avec une préparation et un échauffement plus matinaux, peut impacter les organismes. Les joueurs devront s’adapter à ces nouvelles conditions.
Un choc des cultures rugbystiques
Au-delà des aspects pratiques, cette affiche Stade Français – Saracens reste très attendue sur le plan sportif. Elle met aux prises deux clubs aux palmarès et identités marqués. Les Saracens, basés dans le nord de Londres, ont bâti dans les années 2010 une des plus redoutables équipes d’Europe, sacrée à trois reprises en Champions Cup (2016, 2017, 2019). Leur jeu direct et pragmatique, leur culture de la gagne, en font un adversaire craint sur le Vieux continent.
En face, le Stade Français incarne le rugby de la capitale française, un certain art de vivre mêlant panache et insouciance. Mais les Soldats roses, malgré un riche passé, peinent ces dernières saisons à rivaliser avec le top niveau européen. Recevoir les Saracens pour la 2ème journée de Champions Cup constitue un test majeur et un défi excitant pour jauger leur ambition.
Supporters sous pression du chrono
La modification d’horaire contraint aussi les supporters à revoir leur plan d’accès au stade. Avec un coup d’envoi avancé à 14h, difficile pour certains d’arriver à temps après un déjeuner dominical. Les plus fervents devront donc s’organiser en conséquence, quitte à pique-niquer sur place.
On comprend la logique de séparer les flux entre Jean Bouin et le Parc des Princes, mais ça nous oblige à zapper le repas familial. On mangera des sandwichs au stade, c’est pas l’idéal mais l’essentiel est d’être là pour soutenir le Stade!
Un abonné du Stade Français
Les deux virages de Jean Bouin devraient néanmoins faire le plein et pousser fort derrière les Parisiens. L’atmosphère promet d’être bouillante malgré l’horaire inhabituellement précoce.
Des tensions circulation inévitables ?
Reste à savoir si ce décalage suffira à éviter les embouteillages redoutés. Avec près de 80 000 personnes attendues cumulativement dans les deux stades, des ralentissements semblent inévitables en fin d’après-midi dans le sud-ouest parisien. Les supporters sont invités à privilégier les transports en commun dans la mesure du possible.
Les forces de l’ordre seront sur le pont pour tenter de contenir d’éventuels débordements entre les deux phrases de supporters. Un dispositif de sécurité renforcé est prévu pour prévenir tout incident aux abords et entre les deux enceintes.
Choc sportif et défi logistique
Ce dimanche 15 décembre s’annonce donc riche en émotions rugbystiques et footballistiques dans la capitale. Le choc des cultures ovale entre le Stade Français et les Saracens lancera les hostilités dès 14h à Jean Bouin, avant que l’enceinte voisine du Parc des Princes ne s’enflamme pour PSG-Lyon en soirée. Deux ambiances, deux rivalités, mais une même passion sportive qui va faire vibrer Paris de part en part.
Les organisateurs et les autorités croiseront les doigts pour que l’avancement du match de rugby permette un chassé-croisé fluide des supporters. L’après-match des rugbymen devrait laisser place sans accroc à la préparation des footballeurs et de leurs fans. C’est tout l’enjeu de ce changement d’horaire qui veut concilier spectacle sportif et gestion des flux. Réponse dimanche dans les travées de Jean Bouin et sur les axes qui mènent au Parc des Princes !
En face, le Stade Français incarne le rugby de la capitale française, un certain art de vivre mêlant panache et insouciance. Mais les Soldats roses, malgré un riche passé, peinent ces dernières saisons à rivaliser avec le top niveau européen. Recevoir les Saracens pour la 2ème journée de Champions Cup constitue un test majeur et un défi excitant pour jauger leur ambition.
Supporters sous pression du chrono
La modification d’horaire contraint aussi les supporters à revoir leur plan d’accès au stade. Avec un coup d’envoi avancé à 14h, difficile pour certains d’arriver à temps après un déjeuner dominical. Les plus fervents devront donc s’organiser en conséquence, quitte à pique-niquer sur place.
On comprend la logique de séparer les flux entre Jean Bouin et le Parc des Princes, mais ça nous oblige à zapper le repas familial. On mangera des sandwichs au stade, c’est pas l’idéal mais l’essentiel est d’être là pour soutenir le Stade!
Un abonné du Stade Français
Les deux virages de Jean Bouin devraient néanmoins faire le plein et pousser fort derrière les Parisiens. L’atmosphère promet d’être bouillante malgré l’horaire inhabituellement précoce.
Des tensions circulation inévitables ?
Reste à savoir si ce décalage suffira à éviter les embouteillages redoutés. Avec près de 80 000 personnes attendues cumulativement dans les deux stades, des ralentissements semblent inévitables en fin d’après-midi dans le sud-ouest parisien. Les supporters sont invités à privilégier les transports en commun dans la mesure du possible.
Les forces de l’ordre seront sur le pont pour tenter de contenir d’éventuels débordements entre les deux phrases de supporters. Un dispositif de sécurité renforcé est prévu pour prévenir tout incident aux abords et entre les deux enceintes.
Choc sportif et défi logistique
Ce dimanche 15 décembre s’annonce donc riche en émotions rugbystiques et footballistiques dans la capitale. Le choc des cultures ovale entre le Stade Français et les Saracens lancera les hostilités dès 14h à Jean Bouin, avant que l’enceinte voisine du Parc des Princes ne s’enflamme pour PSG-Lyon en soirée. Deux ambiances, deux rivalités, mais une même passion sportive qui va faire vibrer Paris de part en part.
Les organisateurs et les autorités croiseront les doigts pour que l’avancement du match de rugby permette un chassé-croisé fluide des supporters. L’après-match des rugbymen devrait laisser place sans accroc à la préparation des footballeurs et de leurs fans. C’est tout l’enjeu de ce changement d’horaire qui veut concilier spectacle sportif et gestion des flux. Réponse dimanche dans les travées de Jean Bouin et sur les axes qui mènent au Parc des Princes !