Dans les rues de Cagliari, la peur change de camp. Alors que la Sardaigne fait face à un afflux croissant de migrants, la criminalité étrangère explose, ciblant particulièrement les femmes et les jeunes filles. Un nouvel épisode sordide vient de secouer la capitale sarde, mettant en lumière les dérives d’une politique migratoire laxiste et ses conséquences désastreuses sur la sécurité des citoyens.
Deux “réfugiés” passent à l’acte en plein centre-ville
Le 11 novembre dernier, en début de soirée, deux hommes d’origine algérienne âgés de 26 et 28 ans, hébergés dans un centre d’accueil pour demandeurs d’asile, ont semé la terreur via Azuni, une artère commerçante du cœur historique de Cagliari. Visiblement éméchés, ils ont commencé par importuner plusieurs adolescentes, les suivant de façon insistante et leur tenant des propos déplacés.
Mais les choses ont rapidement dégénéré quand une jeune femme de 18 ans s’est interposée pour défendre son amie, prise à partie par les deux hommes. L’un des agresseurs, le plus âgé, s’est alors jeté sur elle, la rouant de coups tout en tentant de lui arracher son collier. Son complice de 26 ans en a profité pour lui peloter les seins, sous les yeux horrifiés des passants.
Une interpellation rapide grâce au courage des victimes
Heureusement, malgré le choc et la peur, les jeunes femmes agressées ont su garder leur sang froid. Elles ont fourni aux enquêteurs de la brigade mobile une description précise de leurs assaillants, corroborée par plusieurs témoins de la scène. Ces détails cruciaux ont permis une interpellation rapide des suspects.
L’homme de 26 ans a été retrouvé et arrêté dans la foulée, puis transféré à la prison d’Uta. Le second, âgé de 28 ans, a d’abord échappé aux recherches avant d’être finalement appréhendé dans le centre d’accueil de Trinità d’Agultu où il se terrait. Tous deux ont été placés en garde à vue sur ordre du parquet de Cagliari.
Le ras-le-bol des Sardes face à l’insécurité importée
Cette affaire choquante n’est malheureusement pas un cas isolé. Depuis plusieurs mois, les agressions et les vols imputables à des migrants se multiplient à Cagliari comme dans le reste de l’île. Entre trafics, vols et violences, de nombreux Sardes ne se sentent plus en sécurité chez eux et réclament des mesures fermes.
On ne peut plus sortir tranquilles le soir sans risquer de tomber sur ces types. Ils n’ont aucun respect, ni pour les lois, ni pour les femmes. Il faut que ça cesse !
Une habitante excédée du centre-ville
Pour beaucoup, le laxisme des autorités et l’impunité dont semblent jouir certains migrants délinquants ont assez duré. Des voix s’élèvent pour exiger des expulsions systématiques des criminels étrangers, ainsi qu’un meilleur contrôle des flux migratoires et des centres d’hébergement.
À quelques mois des élections municipales, la question de la sécurité et de l’immigration s’impose comme un enjeu central du débat. Entre colère et exaspération, les Cagliaritains attendent des réponses concrètes. Il y a urgence à agir avant que la situation ne dégénère davantage et que la ville ne sombre dans un climat de peur et de défiance.
L’immigration de masse, une bombe à retardement ?
Plus largement, ces événements mettent en lumière les défis sécuritaires posés par une immigration de masse incontrôlée. Loin des discours angéliques sur l’enrichissement et le vivre-ensemble, le quotidien de nombreuses villes européennes confrontées à un afflux de migrants se résume trop souvent à une explosion de la délinquance et un profond sentiment d’insécurité.
Agressions, vols, viols : les exemples ne manquent pas pour illustrer cette dérive inquiétante. De Cologne à Rotherham en passant par Rennes ou Cagliari, un même schéma semble se répéter, celui d’une criminalité importée qui prospère sur le terreau d’une générosité aveugle et d’une intégration en panne.
Face à cette réalité qui n’épargne aucun pays, il est temps d’ouvrir les yeux et d’adapter nos politiques migratoires. Restaurer la sécurité et la sérénité de nos concitoyens doit redevenir une priorité absolue. Cela passe par des contrôles accrus aux frontières, une lutte implacable contre les filières de passeurs mais aussi par la fin du laxisme judiciaire envers les délinquants étrangers.
Sans fermeté, nous continuerons de subir les conséquences délétères d’une immigration au mieux subie, au pire dangereuse pour notre cohésion sociale et notre mode de vie. Les Cagliaritains, comme tous les Européens, ne veulent plus vivre dans la peur de l’agression au coin de la rue. Il faudra bien finir par les entendre.
Cette affaire choquante n’est malheureusement pas un cas isolé. Depuis plusieurs mois, les agressions et les vols imputables à des migrants se multiplient à Cagliari comme dans le reste de l’île. Entre trafics, vols et violences, de nombreux Sardes ne se sentent plus en sécurité chez eux et réclament des mesures fermes.
On ne peut plus sortir tranquilles le soir sans risquer de tomber sur ces types. Ils n’ont aucun respect, ni pour les lois, ni pour les femmes. Il faut que ça cesse !
Une habitante excédée du centre-ville
Pour beaucoup, le laxisme des autorités et l’impunité dont semblent jouir certains migrants délinquants ont assez duré. Des voix s’élèvent pour exiger des expulsions systématiques des criminels étrangers, ainsi qu’un meilleur contrôle des flux migratoires et des centres d’hébergement.
À quelques mois des élections municipales, la question de la sécurité et de l’immigration s’impose comme un enjeu central du débat. Entre colère et exaspération, les Cagliaritains attendent des réponses concrètes. Il y a urgence à agir avant que la situation ne dégénère davantage et que la ville ne sombre dans un climat de peur et de défiance.
L’immigration de masse, une bombe à retardement ?
Plus largement, ces événements mettent en lumière les défis sécuritaires posés par une immigration de masse incontrôlée. Loin des discours angéliques sur l’enrichissement et le vivre-ensemble, le quotidien de nombreuses villes européennes confrontées à un afflux de migrants se résume trop souvent à une explosion de la délinquance et un profond sentiment d’insécurité.
Agressions, vols, viols : les exemples ne manquent pas pour illustrer cette dérive inquiétante. De Cologne à Rotherham en passant par Rennes ou Cagliari, un même schéma semble se répéter, celui d’une criminalité importée qui prospère sur le terreau d’une générosité aveugle et d’une intégration en panne.
Face à cette réalité qui n’épargne aucun pays, il est temps d’ouvrir les yeux et d’adapter nos politiques migratoires. Restaurer la sécurité et la sérénité de nos concitoyens doit redevenir une priorité absolue. Cela passe par des contrôles accrus aux frontières, une lutte implacable contre les filières de passeurs mais aussi par la fin du laxisme judiciaire envers les délinquants étrangers.
Sans fermeté, nous continuerons de subir les conséquences délétères d’une immigration au mieux subie, au pire dangereuse pour notre cohésion sociale et notre mode de vie. Les Cagliaritains, comme tous les Européens, ne veulent plus vivre dans la peur de l’agression au coin de la rue. Il faudra bien finir par les entendre.