Dans un changement radical mais silencieux de doctrine, le président américain Joe Biden vient d’autoriser l’Ukraine à utiliser les missiles tactiques ATACMS de fabrication américaine pour frapper des cibles en territoire russe. Une décision lourde de conséquences potentielles, prise sans la moindre explication publique de la Maison Blanche.
Washington lève les restrictions sur l’usage des ATACMS
Jusqu’à présent, les États-Unis avaient livré ces armements à Kiev avec la condition expresse qu’ils ne servent pas à frapper le sol russe, par crainte d’une escalade incontrôlée. Mais selon des sources proches du dossier, ces limitations viennent d’être levées, ouvrant la voie à des frappes ukrainiennes en profondeur avec ces engins d’une portée de près de 300 km.
Les raisons derrière cette inflexion majeure de la position américaine restent mystérieuses, le locataire de la Maison Blanche n’ayant fourni aucune justification publique. S’agit-il d’un feu vert à une contre-offensive de grande ampleur ? D’une tentative de forcer Moscou à négocier ? Les spéculations vont bon train.
Dans la foulée de l’annonce sur les ATACMS, le Pentagone a dévoilé un nouveau package d’aide militaire à l’Ukraine, d’un montant de 275 millions de dollars. Au menu: des mines anti-personnel, des drones et des munitions d’artillerie.
Selon le secrétaire à la Défense Lloyd Austin, ces équipements sont destinés à contrer l’évolution des tactiques russes sur le terrain:
Les Russes utilisent de plus en plus leur infanterie pour mener leurs assauts, au lieu des blindés. L’Ukraine a donc besoin d’armes capables de ralentir leur progression.
Lloyd Austin, secrétaire américain à la Défense
Une annonce qui sonne comme un blanc-seing donné à Kiev pour utiliser tous les moyens à sa disposition afin d’enrayer l’avancée russe. Quitte à franchir certaines lignes rouges.
L’Europe s’inquiète, l’OTAN en embuscade
Ce changement de pied américain suscite des réactions contrastées chez les alliés européens. Si certains, comme la Pologne ou les pays baltes, y voient un signal fort envoyé à Moscou, d’autres, à l’instar de l’Allemagne ou de la France, craignent qu’il ne fasse qu’aggraver les tensions.
L’OTAN, quant à elle, reste prudemment en retrait. Mais selon certains experts, l’Alliance atlantique pourrait être tentée de profiter de cette nouvelle donne pour accroître son soutien à Kiev, voire pour intervenir plus directement dans le conflit.
Un pari risqué à l’approche des élections américaines
Pour Joe Biden, ce virage stratégique est un pari audacieux à un an de la présidentielle. S’il peut satisfaire l’aile va-t-en-guerre du Congrès, il risque aussi de braquer une opinion publique de plus en plus lasse d’un conflit dont l’issue semble incertaine.
Surtout, en ouvrant la boîte de Pandore d’une escalade militaire avec Moscou, le président démocrate s’expose à de violentes critiques en cas de dérapage. Un risque calculé, à l’heure où sa cote de confiance est au plus bas.
Vers un nouveau palier dans le conflit ukrainien
Quoi qu’il en soit, la décision de Joe Biden marque un tournant dans la guerre en Ukraine. En donnant à Kiev les moyens de frapper au cœur du dispositif russe, Washington franchit un cap dans son soutien et prend le risque d’une confrontation directe avec Moscou.
Une stratégie à haut risque, dont les implications pourraient se faire sentir bien au-delà du théâtre ukrainien. Car en changeant les règles du jeu sans en assumer publiquement les conséquences, les États-Unis s’engagent sur une voie dont personne ne connaît l’issue. Celle d’une guerre totale avec la Russie n’est plus à exclure.
Dans la foulée de l’annonce sur les ATACMS, le Pentagone a dévoilé un nouveau package d’aide militaire à l’Ukraine, d’un montant de 275 millions de dollars. Au menu: des mines anti-personnel, des drones et des munitions d’artillerie.
Selon le secrétaire à la Défense Lloyd Austin, ces équipements sont destinés à contrer l’évolution des tactiques russes sur le terrain:
Les Russes utilisent de plus en plus leur infanterie pour mener leurs assauts, au lieu des blindés. L’Ukraine a donc besoin d’armes capables de ralentir leur progression.
Lloyd Austin, secrétaire américain à la Défense
Une annonce qui sonne comme un blanc-seing donné à Kiev pour utiliser tous les moyens à sa disposition afin d’enrayer l’avancée russe. Quitte à franchir certaines lignes rouges.
L’Europe s’inquiète, l’OTAN en embuscade
Ce changement de pied américain suscite des réactions contrastées chez les alliés européens. Si certains, comme la Pologne ou les pays baltes, y voient un signal fort envoyé à Moscou, d’autres, à l’instar de l’Allemagne ou de la France, craignent qu’il ne fasse qu’aggraver les tensions.
L’OTAN, quant à elle, reste prudemment en retrait. Mais selon certains experts, l’Alliance atlantique pourrait être tentée de profiter de cette nouvelle donne pour accroître son soutien à Kiev, voire pour intervenir plus directement dans le conflit.
Un pari risqué à l’approche des élections américaines
Pour Joe Biden, ce virage stratégique est un pari audacieux à un an de la présidentielle. S’il peut satisfaire l’aile va-t-en-guerre du Congrès, il risque aussi de braquer une opinion publique de plus en plus lasse d’un conflit dont l’issue semble incertaine.
Surtout, en ouvrant la boîte de Pandore d’une escalade militaire avec Moscou, le président démocrate s’expose à de violentes critiques en cas de dérapage. Un risque calculé, à l’heure où sa cote de confiance est au plus bas.
Vers un nouveau palier dans le conflit ukrainien
Quoi qu’il en soit, la décision de Joe Biden marque un tournant dans la guerre en Ukraine. En donnant à Kiev les moyens de frapper au cœur du dispositif russe, Washington franchit un cap dans son soutien et prend le risque d’une confrontation directe avec Moscou.
Une stratégie à haut risque, dont les implications pourraient se faire sentir bien au-delà du théâtre ukrainien. Car en changeant les règles du jeu sans en assumer publiquement les conséquences, les États-Unis s’engagent sur une voie dont personne ne connaît l’issue. Celle d’une guerre totale avec la Russie n’est plus à exclure.
De nouvelles livraisons d’armes en perspective
Dans la foulée de l’annonce sur les ATACMS, le Pentagone a dévoilé un nouveau package d’aide militaire à l’Ukraine, d’un montant de 275 millions de dollars. Au menu: des mines anti-personnel, des drones et des munitions d’artillerie.
Selon le secrétaire à la Défense Lloyd Austin, ces équipements sont destinés à contrer l’évolution des tactiques russes sur le terrain:
Les Russes utilisent de plus en plus leur infanterie pour mener leurs assauts, au lieu des blindés. L’Ukraine a donc besoin d’armes capables de ralentir leur progression.
Lloyd Austin, secrétaire américain à la Défense
Une annonce qui sonne comme un blanc-seing donné à Kiev pour utiliser tous les moyens à sa disposition afin d’enrayer l’avancée russe. Quitte à franchir certaines lignes rouges.
L’Europe s’inquiète, l’OTAN en embuscade
Ce changement de pied américain suscite des réactions contrastées chez les alliés européens. Si certains, comme la Pologne ou les pays baltes, y voient un signal fort envoyé à Moscou, d’autres, à l’instar de l’Allemagne ou de la France, craignent qu’il ne fasse qu’aggraver les tensions.
L’OTAN, quant à elle, reste prudemment en retrait. Mais selon certains experts, l’Alliance atlantique pourrait être tentée de profiter de cette nouvelle donne pour accroître son soutien à Kiev, voire pour intervenir plus directement dans le conflit.
Un pari risqué à l’approche des élections américaines
Pour Joe Biden, ce virage stratégique est un pari audacieux à un an de la présidentielle. S’il peut satisfaire l’aile va-t-en-guerre du Congrès, il risque aussi de braquer une opinion publique de plus en plus lasse d’un conflit dont l’issue semble incertaine.
Surtout, en ouvrant la boîte de Pandore d’une escalade militaire avec Moscou, le président démocrate s’expose à de violentes critiques en cas de dérapage. Un risque calculé, à l’heure où sa cote de confiance est au plus bas.
Vers un nouveau palier dans le conflit ukrainien
Quoi qu’il en soit, la décision de Joe Biden marque un tournant dans la guerre en Ukraine. En donnant à Kiev les moyens de frapper au cœur du dispositif russe, Washington franchit un cap dans son soutien et prend le risque d’une confrontation directe avec Moscou.
Une stratégie à haut risque, dont les implications pourraient se faire sentir bien au-delà du théâtre ukrainien. Car en changeant les règles du jeu sans en assumer publiquement les conséquences, les États-Unis s’engagent sur une voie dont personne ne connaît l’issue. Celle d’une guerre totale avec la Russie n’est plus à exclure.
De nouvelles livraisons d’armes en perspective
Dans la foulée de l’annonce sur les ATACMS, le Pentagone a dévoilé un nouveau package d’aide militaire à l’Ukraine, d’un montant de 275 millions de dollars. Au menu: des mines anti-personnel, des drones et des munitions d’artillerie.
Selon le secrétaire à la Défense Lloyd Austin, ces équipements sont destinés à contrer l’évolution des tactiques russes sur le terrain:
Les Russes utilisent de plus en plus leur infanterie pour mener leurs assauts, au lieu des blindés. L’Ukraine a donc besoin d’armes capables de ralentir leur progression.
Lloyd Austin, secrétaire américain à la Défense
Une annonce qui sonne comme un blanc-seing donné à Kiev pour utiliser tous les moyens à sa disposition afin d’enrayer l’avancée russe. Quitte à franchir certaines lignes rouges.
L’Europe s’inquiète, l’OTAN en embuscade
Ce changement de pied américain suscite des réactions contrastées chez les alliés européens. Si certains, comme la Pologne ou les pays baltes, y voient un signal fort envoyé à Moscou, d’autres, à l’instar de l’Allemagne ou de la France, craignent qu’il ne fasse qu’aggraver les tensions.
L’OTAN, quant à elle, reste prudemment en retrait. Mais selon certains experts, l’Alliance atlantique pourrait être tentée de profiter de cette nouvelle donne pour accroître son soutien à Kiev, voire pour intervenir plus directement dans le conflit.
Un pari risqué à l’approche des élections américaines
Pour Joe Biden, ce virage stratégique est un pari audacieux à un an de la présidentielle. S’il peut satisfaire l’aile va-t-en-guerre du Congrès, il risque aussi de braquer une opinion publique de plus en plus lasse d’un conflit dont l’issue semble incertaine.
Surtout, en ouvrant la boîte de Pandore d’une escalade militaire avec Moscou, le président démocrate s’expose à de violentes critiques en cas de dérapage. Un risque calculé, à l’heure où sa cote de confiance est au plus bas.
Vers un nouveau palier dans le conflit ukrainien
Quoi qu’il en soit, la décision de Joe Biden marque un tournant dans la guerre en Ukraine. En donnant à Kiev les moyens de frapper au cœur du dispositif russe, Washington franchit un cap dans son soutien et prend le risque d’une confrontation directe avec Moscou.
Une stratégie à haut risque, dont les implications pourraient se faire sentir bien au-delà du théâtre ukrainien. Car en changeant les règles du jeu sans en assumer publiquement les conséquences, les États-Unis s’engagent sur une voie dont personne ne connaît l’issue. Celle d’une guerre totale avec la Russie n’est plus à exclure.
Derrière l’apparente fermeté, Washington semble vouloir garder le contrôle d’une situation potentiellement explosive. Reste à savoir si ce pari audacieux sera payant, ou s’il ne fera qu’attiser un brasier déjà hors de contrôle.
De nouvelles livraisons d’armes en perspective
Dans la foulée de l’annonce sur les ATACMS, le Pentagone a dévoilé un nouveau package d’aide militaire à l’Ukraine, d’un montant de 275 millions de dollars. Au menu: des mines anti-personnel, des drones et des munitions d’artillerie.
Selon le secrétaire à la Défense Lloyd Austin, ces équipements sont destinés à contrer l’évolution des tactiques russes sur le terrain:
Les Russes utilisent de plus en plus leur infanterie pour mener leurs assauts, au lieu des blindés. L’Ukraine a donc besoin d’armes capables de ralentir leur progression.
Lloyd Austin, secrétaire américain à la Défense
Une annonce qui sonne comme un blanc-seing donné à Kiev pour utiliser tous les moyens à sa disposition afin d’enrayer l’avancée russe. Quitte à franchir certaines lignes rouges.
L’Europe s’inquiète, l’OTAN en embuscade
Ce changement de pied américain suscite des réactions contrastées chez les alliés européens. Si certains, comme la Pologne ou les pays baltes, y voient un signal fort envoyé à Moscou, d’autres, à l’instar de l’Allemagne ou de la France, craignent qu’il ne fasse qu’aggraver les tensions.
L’OTAN, quant à elle, reste prudemment en retrait. Mais selon certains experts, l’Alliance atlantique pourrait être tentée de profiter de cette nouvelle donne pour accroître son soutien à Kiev, voire pour intervenir plus directement dans le conflit.
Un pari risqué à l’approche des élections américaines
Pour Joe Biden, ce virage stratégique est un pari audacieux à un an de la présidentielle. S’il peut satisfaire l’aile va-t-en-guerre du Congrès, il risque aussi de braquer une opinion publique de plus en plus lasse d’un conflit dont l’issue semble incertaine.
Surtout, en ouvrant la boîte de Pandore d’une escalade militaire avec Moscou, le président démocrate s’expose à de violentes critiques en cas de dérapage. Un risque calculé, à l’heure où sa cote de confiance est au plus bas.
Vers un nouveau palier dans le conflit ukrainien
Quoi qu’il en soit, la décision de Joe Biden marque un tournant dans la guerre en Ukraine. En donnant à Kiev les moyens de frapper au cœur du dispositif russe, Washington franchit un cap dans son soutien et prend le risque d’une confrontation directe avec Moscou.
Une stratégie à haut risque, dont les implications pourraient se faire sentir bien au-delà du théâtre ukrainien. Car en changeant les règles du jeu sans en assumer publiquement les conséquences, les États-Unis s’engagent sur une voie dont personne ne connaît l’issue. Celle d’une guerre totale avec la Russie n’est plus à exclure.
Derrière l’apparente fermeté, Washington semble vouloir garder le contrôle d’une situation potentiellement explosive. Reste à savoir si ce pari audacieux sera payant, ou s’il ne fera qu’attiser un brasier déjà hors de contrôle.
De nouvelles livraisons d’armes en perspective
Dans la foulée de l’annonce sur les ATACMS, le Pentagone a dévoilé un nouveau package d’aide militaire à l’Ukraine, d’un montant de 275 millions de dollars. Au menu: des mines anti-personnel, des drones et des munitions d’artillerie.
Selon le secrétaire à la Défense Lloyd Austin, ces équipements sont destinés à contrer l’évolution des tactiques russes sur le terrain:
Les Russes utilisent de plus en plus leur infanterie pour mener leurs assauts, au lieu des blindés. L’Ukraine a donc besoin d’armes capables de ralentir leur progression.
Lloyd Austin, secrétaire américain à la Défense
Une annonce qui sonne comme un blanc-seing donné à Kiev pour utiliser tous les moyens à sa disposition afin d’enrayer l’avancée russe. Quitte à franchir certaines lignes rouges.
L’Europe s’inquiète, l’OTAN en embuscade
Ce changement de pied américain suscite des réactions contrastées chez les alliés européens. Si certains, comme la Pologne ou les pays baltes, y voient un signal fort envoyé à Moscou, d’autres, à l’instar de l’Allemagne ou de la France, craignent qu’il ne fasse qu’aggraver les tensions.
L’OTAN, quant à elle, reste prudemment en retrait. Mais selon certains experts, l’Alliance atlantique pourrait être tentée de profiter de cette nouvelle donne pour accroître son soutien à Kiev, voire pour intervenir plus directement dans le conflit.
Un pari risqué à l’approche des élections américaines
Pour Joe Biden, ce virage stratégique est un pari audacieux à un an de la présidentielle. S’il peut satisfaire l’aile va-t-en-guerre du Congrès, il risque aussi de braquer une opinion publique de plus en plus lasse d’un conflit dont l’issue semble incertaine.
Surtout, en ouvrant la boîte de Pandore d’une escalade militaire avec Moscou, le président démocrate s’expose à de violentes critiques en cas de dérapage. Un risque calculé, à l’heure où sa cote de confiance est au plus bas.
Vers un nouveau palier dans le conflit ukrainien
Quoi qu’il en soit, la décision de Joe Biden marque un tournant dans la guerre en Ukraine. En donnant à Kiev les moyens de frapper au cœur du dispositif russe, Washington franchit un cap dans son soutien et prend le risque d’une confrontation directe avec Moscou.
Une stratégie à haut risque, dont les implications pourraient se faire sentir bien au-delà du théâtre ukrainien. Car en changeant les règles du jeu sans en assumer publiquement les conséquences, les États-Unis s’engagent sur une voie dont personne ne connaît l’issue. Celle d’une guerre totale avec la Russie n’est plus à exclure.
Sans surprise, la réaction russe ne s’est pas faite attendre, le Kremlin fustigeant “une provocation directe” et promettant “une réponse appropriée”. Mais Washington se veut rassurant, martelant que ces armements ne seront utilisés que pour des “cibles légitimes”.
Notre position est claire: nous fournirons à l’Ukraine les outils dont elle a besoin pour se défendre, pas pour une agression contre la Russie.
Un porte-parole du Pentagone
Derrière l’apparente fermeté, Washington semble vouloir garder le contrôle d’une situation potentiellement explosive. Reste à savoir si ce pari audacieux sera payant, ou s’il ne fera qu’attiser un brasier déjà hors de contrôle.
De nouvelles livraisons d’armes en perspective
Dans la foulée de l’annonce sur les ATACMS, le Pentagone a dévoilé un nouveau package d’aide militaire à l’Ukraine, d’un montant de 275 millions de dollars. Au menu: des mines anti-personnel, des drones et des munitions d’artillerie.
Selon le secrétaire à la Défense Lloyd Austin, ces équipements sont destinés à contrer l’évolution des tactiques russes sur le terrain:
Les Russes utilisent de plus en plus leur infanterie pour mener leurs assauts, au lieu des blindés. L’Ukraine a donc besoin d’armes capables de ralentir leur progression.
Lloyd Austin, secrétaire américain à la Défense
Une annonce qui sonne comme un blanc-seing donné à Kiev pour utiliser tous les moyens à sa disposition afin d’enrayer l’avancée russe. Quitte à franchir certaines lignes rouges.
L’Europe s’inquiète, l’OTAN en embuscade
Ce changement de pied américain suscite des réactions contrastées chez les alliés européens. Si certains, comme la Pologne ou les pays baltes, y voient un signal fort envoyé à Moscou, d’autres, à l’instar de l’Allemagne ou de la France, craignent qu’il ne fasse qu’aggraver les tensions.
L’OTAN, quant à elle, reste prudemment en retrait. Mais selon certains experts, l’Alliance atlantique pourrait être tentée de profiter de cette nouvelle donne pour accroître son soutien à Kiev, voire pour intervenir plus directement dans le conflit.
Un pari risqué à l’approche des élections américaines
Pour Joe Biden, ce virage stratégique est un pari audacieux à un an de la présidentielle. S’il peut satisfaire l’aile va-t-en-guerre du Congrès, il risque aussi de braquer une opinion publique de plus en plus lasse d’un conflit dont l’issue semble incertaine.
Surtout, en ouvrant la boîte de Pandore d’une escalade militaire avec Moscou, le président démocrate s’expose à de violentes critiques en cas de dérapage. Un risque calculé, à l’heure où sa cote de confiance est au plus bas.
Vers un nouveau palier dans le conflit ukrainien
Quoi qu’il en soit, la décision de Joe Biden marque un tournant dans la guerre en Ukraine. En donnant à Kiev les moyens de frapper au cœur du dispositif russe, Washington franchit un cap dans son soutien et prend le risque d’une confrontation directe avec Moscou.
Une stratégie à haut risque, dont les implications pourraient se faire sentir bien au-delà du théâtre ukrainien. Car en changeant les règles du jeu sans en assumer publiquement les conséquences, les États-Unis s’engagent sur une voie dont personne ne connaît l’issue. Celle d’une guerre totale avec la Russie n’est plus à exclure.
Sans surprise, la réaction russe ne s’est pas faite attendre, le Kremlin fustigeant “une provocation directe” et promettant “une réponse appropriée”. Mais Washington se veut rassurant, martelant que ces armements ne seront utilisés que pour des “cibles légitimes”.
Notre position est claire: nous fournirons à l’Ukraine les outils dont elle a besoin pour se défendre, pas pour une agression contre la Russie.
Un porte-parole du Pentagone
Derrière l’apparente fermeté, Washington semble vouloir garder le contrôle d’une situation potentiellement explosive. Reste à savoir si ce pari audacieux sera payant, ou s’il ne fera qu’attiser un brasier déjà hors de contrôle.
De nouvelles livraisons d’armes en perspective
Dans la foulée de l’annonce sur les ATACMS, le Pentagone a dévoilé un nouveau package d’aide militaire à l’Ukraine, d’un montant de 275 millions de dollars. Au menu: des mines anti-personnel, des drones et des munitions d’artillerie.
Selon le secrétaire à la Défense Lloyd Austin, ces équipements sont destinés à contrer l’évolution des tactiques russes sur le terrain:
Les Russes utilisent de plus en plus leur infanterie pour mener leurs assauts, au lieu des blindés. L’Ukraine a donc besoin d’armes capables de ralentir leur progression.
Lloyd Austin, secrétaire américain à la Défense
Une annonce qui sonne comme un blanc-seing donné à Kiev pour utiliser tous les moyens à sa disposition afin d’enrayer l’avancée russe. Quitte à franchir certaines lignes rouges.
L’Europe s’inquiète, l’OTAN en embuscade
Ce changement de pied américain suscite des réactions contrastées chez les alliés européens. Si certains, comme la Pologne ou les pays baltes, y voient un signal fort envoyé à Moscou, d’autres, à l’instar de l’Allemagne ou de la France, craignent qu’il ne fasse qu’aggraver les tensions.
L’OTAN, quant à elle, reste prudemment en retrait. Mais selon certains experts, l’Alliance atlantique pourrait être tentée de profiter de cette nouvelle donne pour accroître son soutien à Kiev, voire pour intervenir plus directement dans le conflit.
Un pari risqué à l’approche des élections américaines
Pour Joe Biden, ce virage stratégique est un pari audacieux à un an de la présidentielle. S’il peut satisfaire l’aile va-t-en-guerre du Congrès, il risque aussi de braquer une opinion publique de plus en plus lasse d’un conflit dont l’issue semble incertaine.
Surtout, en ouvrant la boîte de Pandore d’une escalade militaire avec Moscou, le président démocrate s’expose à de violentes critiques en cas de dérapage. Un risque calculé, à l’heure où sa cote de confiance est au plus bas.
Vers un nouveau palier dans le conflit ukrainien
Quoi qu’il en soit, la décision de Joe Biden marque un tournant dans la guerre en Ukraine. En donnant à Kiev les moyens de frapper au cœur du dispositif russe, Washington franchit un cap dans son soutien et prend le risque d’une confrontation directe avec Moscou.
Une stratégie à haut risque, dont les implications pourraient se faire sentir bien au-delà du théâtre ukrainien. Car en changeant les règles du jeu sans en assumer publiquement les conséquences, les États-Unis s’engagent sur une voie dont personne ne connaît l’issue. Celle d’une guerre totale avec la Russie n’est plus à exclure.
Moscou dénonce une escalade, Washington temporise
Sans surprise, la réaction russe ne s’est pas faite attendre, le Kremlin fustigeant “une provocation directe” et promettant “une réponse appropriée”. Mais Washington se veut rassurant, martelant que ces armements ne seront utilisés que pour des “cibles légitimes”.
Notre position est claire: nous fournirons à l’Ukraine les outils dont elle a besoin pour se défendre, pas pour une agression contre la Russie.
Un porte-parole du Pentagone
Derrière l’apparente fermeté, Washington semble vouloir garder le contrôle d’une situation potentiellement explosive. Reste à savoir si ce pari audacieux sera payant, ou s’il ne fera qu’attiser un brasier déjà hors de contrôle.
De nouvelles livraisons d’armes en perspective
Dans la foulée de l’annonce sur les ATACMS, le Pentagone a dévoilé un nouveau package d’aide militaire à l’Ukraine, d’un montant de 275 millions de dollars. Au menu: des mines anti-personnel, des drones et des munitions d’artillerie.
Selon le secrétaire à la Défense Lloyd Austin, ces équipements sont destinés à contrer l’évolution des tactiques russes sur le terrain:
Les Russes utilisent de plus en plus leur infanterie pour mener leurs assauts, au lieu des blindés. L’Ukraine a donc besoin d’armes capables de ralentir leur progression.
Lloyd Austin, secrétaire américain à la Défense
Une annonce qui sonne comme un blanc-seing donné à Kiev pour utiliser tous les moyens à sa disposition afin d’enrayer l’avancée russe. Quitte à franchir certaines lignes rouges.
L’Europe s’inquiète, l’OTAN en embuscade
Ce changement de pied américain suscite des réactions contrastées chez les alliés européens. Si certains, comme la Pologne ou les pays baltes, y voient un signal fort envoyé à Moscou, d’autres, à l’instar de l’Allemagne ou de la France, craignent qu’il ne fasse qu’aggraver les tensions.
L’OTAN, quant à elle, reste prudemment en retrait. Mais selon certains experts, l’Alliance atlantique pourrait être tentée de profiter de cette nouvelle donne pour accroître son soutien à Kiev, voire pour intervenir plus directement dans le conflit.
Un pari risqué à l’approche des élections américaines
Pour Joe Biden, ce virage stratégique est un pari audacieux à un an de la présidentielle. S’il peut satisfaire l’aile va-t-en-guerre du Congrès, il risque aussi de braquer une opinion publique de plus en plus lasse d’un conflit dont l’issue semble incertaine.
Surtout, en ouvrant la boîte de Pandore d’une escalade militaire avec Moscou, le président démocrate s’expose à de violentes critiques en cas de dérapage. Un risque calculé, à l’heure où sa cote de confiance est au plus bas.
Vers un nouveau palier dans le conflit ukrainien
Quoi qu’il en soit, la décision de Joe Biden marque un tournant dans la guerre en Ukraine. En donnant à Kiev les moyens de frapper au cœur du dispositif russe, Washington franchit un cap dans son soutien et prend le risque d’une confrontation directe avec Moscou.
Une stratégie à haut risque, dont les implications pourraient se faire sentir bien au-delà du théâtre ukrainien. Car en changeant les règles du jeu sans en assumer publiquement les conséquences, les États-Unis s’engagent sur une voie dont personne ne connaît l’issue. Celle d’une guerre totale avec la Russie n’est plus à exclure.
Moscou dénonce une escalade, Washington temporise
Sans surprise, la réaction russe ne s’est pas faite attendre, le Kremlin fustigeant “une provocation directe” et promettant “une réponse appropriée”. Mais Washington se veut rassurant, martelant que ces armements ne seront utilisés que pour des “cibles légitimes”.
Notre position est claire: nous fournirons à l’Ukraine les outils dont elle a besoin pour se défendre, pas pour une agression contre la Russie.
Un porte-parole du Pentagone
Derrière l’apparente fermeté, Washington semble vouloir garder le contrôle d’une situation potentiellement explosive. Reste à savoir si ce pari audacieux sera payant, ou s’il ne fera qu’attiser un brasier déjà hors de contrôle.
De nouvelles livraisons d’armes en perspective
Dans la foulée de l’annonce sur les ATACMS, le Pentagone a dévoilé un nouveau package d’aide militaire à l’Ukraine, d’un montant de 275 millions de dollars. Au menu: des mines anti-personnel, des drones et des munitions d’artillerie.
Selon le secrétaire à la Défense Lloyd Austin, ces équipements sont destinés à contrer l’évolution des tactiques russes sur le terrain:
Les Russes utilisent de plus en plus leur infanterie pour mener leurs assauts, au lieu des blindés. L’Ukraine a donc besoin d’armes capables de ralentir leur progression.
Lloyd Austin, secrétaire américain à la Défense
Une annonce qui sonne comme un blanc-seing donné à Kiev pour utiliser tous les moyens à sa disposition afin d’enrayer l’avancée russe. Quitte à franchir certaines lignes rouges.
L’Europe s’inquiète, l’OTAN en embuscade
Ce changement de pied américain suscite des réactions contrastées chez les alliés européens. Si certains, comme la Pologne ou les pays baltes, y voient un signal fort envoyé à Moscou, d’autres, à l’instar de l’Allemagne ou de la France, craignent qu’il ne fasse qu’aggraver les tensions.
L’OTAN, quant à elle, reste prudemment en retrait. Mais selon certains experts, l’Alliance atlantique pourrait être tentée de profiter de cette nouvelle donne pour accroître son soutien à Kiev, voire pour intervenir plus directement dans le conflit.
Un pari risqué à l’approche des élections américaines
Pour Joe Biden, ce virage stratégique est un pari audacieux à un an de la présidentielle. S’il peut satisfaire l’aile va-t-en-guerre du Congrès, il risque aussi de braquer une opinion publique de plus en plus lasse d’un conflit dont l’issue semble incertaine.
Surtout, en ouvrant la boîte de Pandore d’une escalade militaire avec Moscou, le président démocrate s’expose à de violentes critiques en cas de dérapage. Un risque calculé, à l’heure où sa cote de confiance est au plus bas.
Vers un nouveau palier dans le conflit ukrainien
Quoi qu’il en soit, la décision de Joe Biden marque un tournant dans la guerre en Ukraine. En donnant à Kiev les moyens de frapper au cœur du dispositif russe, Washington franchit un cap dans son soutien et prend le risque d’une confrontation directe avec Moscou.
Une stratégie à haut risque, dont les implications pourraient se faire sentir bien au-delà du théâtre ukrainien. Car en changeant les règles du jeu sans en assumer publiquement les conséquences, les États-Unis s’engagent sur une voie dont personne ne connaît l’issue. Celle d’une guerre totale avec la Russie n’est plus à exclure.
Jusqu’ici cantonnés à un rôle défensif, ces missiles pourraient se muer en fer de lance d’une contre-offensive audacieuse visant à déstabiliser le dispositif militaire russe. Un pari risqué, qui pourrait précipiter une dangereuse surenchère.
Moscou dénonce une escalade, Washington temporise
Sans surprise, la réaction russe ne s’est pas faite attendre, le Kremlin fustigeant “une provocation directe” et promettant “une réponse appropriée”. Mais Washington se veut rassurant, martelant que ces armements ne seront utilisés que pour des “cibles légitimes”.
Notre position est claire: nous fournirons à l’Ukraine les outils dont elle a besoin pour se défendre, pas pour une agression contre la Russie.
Un porte-parole du Pentagone
Derrière l’apparente fermeté, Washington semble vouloir garder le contrôle d’une situation potentiellement explosive. Reste à savoir si ce pari audacieux sera payant, ou s’il ne fera qu’attiser un brasier déjà hors de contrôle.
De nouvelles livraisons d’armes en perspective
Dans la foulée de l’annonce sur les ATACMS, le Pentagone a dévoilé un nouveau package d’aide militaire à l’Ukraine, d’un montant de 275 millions de dollars. Au menu: des mines anti-personnel, des drones et des munitions d’artillerie.
Selon le secrétaire à la Défense Lloyd Austin, ces équipements sont destinés à contrer l’évolution des tactiques russes sur le terrain:
Les Russes utilisent de plus en plus leur infanterie pour mener leurs assauts, au lieu des blindés. L’Ukraine a donc besoin d’armes capables de ralentir leur progression.
Lloyd Austin, secrétaire américain à la Défense
Une annonce qui sonne comme un blanc-seing donné à Kiev pour utiliser tous les moyens à sa disposition afin d’enrayer l’avancée russe. Quitte à franchir certaines lignes rouges.
L’Europe s’inquiète, l’OTAN en embuscade
Ce changement de pied américain suscite des réactions contrastées chez les alliés européens. Si certains, comme la Pologne ou les pays baltes, y voient un signal fort envoyé à Moscou, d’autres, à l’instar de l’Allemagne ou de la France, craignent qu’il ne fasse qu’aggraver les tensions.
L’OTAN, quant à elle, reste prudemment en retrait. Mais selon certains experts, l’Alliance atlantique pourrait être tentée de profiter de cette nouvelle donne pour accroître son soutien à Kiev, voire pour intervenir plus directement dans le conflit.
Un pari risqué à l’approche des élections américaines
Pour Joe Biden, ce virage stratégique est un pari audacieux à un an de la présidentielle. S’il peut satisfaire l’aile va-t-en-guerre du Congrès, il risque aussi de braquer une opinion publique de plus en plus lasse d’un conflit dont l’issue semble incertaine.
Surtout, en ouvrant la boîte de Pandore d’une escalade militaire avec Moscou, le président démocrate s’expose à de violentes critiques en cas de dérapage. Un risque calculé, à l’heure où sa cote de confiance est au plus bas.
Vers un nouveau palier dans le conflit ukrainien
Quoi qu’il en soit, la décision de Joe Biden marque un tournant dans la guerre en Ukraine. En donnant à Kiev les moyens de frapper au cœur du dispositif russe, Washington franchit un cap dans son soutien et prend le risque d’une confrontation directe avec Moscou.
Une stratégie à haut risque, dont les implications pourraient se faire sentir bien au-delà du théâtre ukrainien. Car en changeant les règles du jeu sans en assumer publiquement les conséquences, les États-Unis s’engagent sur une voie dont personne ne connaît l’issue. Celle d’une guerre totale avec la Russie n’est plus à exclure.
Jusqu’ici cantonnés à un rôle défensif, ces missiles pourraient se muer en fer de lance d’une contre-offensive audacieuse visant à déstabiliser le dispositif militaire russe. Un pari risqué, qui pourrait précipiter une dangereuse surenchère.
Moscou dénonce une escalade, Washington temporise
Sans surprise, la réaction russe ne s’est pas faite attendre, le Kremlin fustigeant “une provocation directe” et promettant “une réponse appropriée”. Mais Washington se veut rassurant, martelant que ces armements ne seront utilisés que pour des “cibles légitimes”.
Notre position est claire: nous fournirons à l’Ukraine les outils dont elle a besoin pour se défendre, pas pour une agression contre la Russie.
Un porte-parole du Pentagone
Derrière l’apparente fermeté, Washington semble vouloir garder le contrôle d’une situation potentiellement explosive. Reste à savoir si ce pari audacieux sera payant, ou s’il ne fera qu’attiser un brasier déjà hors de contrôle.
De nouvelles livraisons d’armes en perspective
Dans la foulée de l’annonce sur les ATACMS, le Pentagone a dévoilé un nouveau package d’aide militaire à l’Ukraine, d’un montant de 275 millions de dollars. Au menu: des mines anti-personnel, des drones et des munitions d’artillerie.
Selon le secrétaire à la Défense Lloyd Austin, ces équipements sont destinés à contrer l’évolution des tactiques russes sur le terrain:
Les Russes utilisent de plus en plus leur infanterie pour mener leurs assauts, au lieu des blindés. L’Ukraine a donc besoin d’armes capables de ralentir leur progression.
Lloyd Austin, secrétaire américain à la Défense
Une annonce qui sonne comme un blanc-seing donné à Kiev pour utiliser tous les moyens à sa disposition afin d’enrayer l’avancée russe. Quitte à franchir certaines lignes rouges.
L’Europe s’inquiète, l’OTAN en embuscade
Ce changement de pied américain suscite des réactions contrastées chez les alliés européens. Si certains, comme la Pologne ou les pays baltes, y voient un signal fort envoyé à Moscou, d’autres, à l’instar de l’Allemagne ou de la France, craignent qu’il ne fasse qu’aggraver les tensions.
L’OTAN, quant à elle, reste prudemment en retrait. Mais selon certains experts, l’Alliance atlantique pourrait être tentée de profiter de cette nouvelle donne pour accroître son soutien à Kiev, voire pour intervenir plus directement dans le conflit.
Un pari risqué à l’approche des élections américaines
Pour Joe Biden, ce virage stratégique est un pari audacieux à un an de la présidentielle. S’il peut satisfaire l’aile va-t-en-guerre du Congrès, il risque aussi de braquer une opinion publique de plus en plus lasse d’un conflit dont l’issue semble incertaine.
Surtout, en ouvrant la boîte de Pandore d’une escalade militaire avec Moscou, le président démocrate s’expose à de violentes critiques en cas de dérapage. Un risque calculé, à l’heure où sa cote de confiance est au plus bas.
Vers un nouveau palier dans le conflit ukrainien
Quoi qu’il en soit, la décision de Joe Biden marque un tournant dans la guerre en Ukraine. En donnant à Kiev les moyens de frapper au cœur du dispositif russe, Washington franchit un cap dans son soutien et prend le risque d’une confrontation directe avec Moscou.
Une stratégie à haut risque, dont les implications pourraient se faire sentir bien au-delà du théâtre ukrainien. Car en changeant les règles du jeu sans en assumer publiquement les conséquences, les États-Unis s’engagent sur une voie dont personne ne connaît l’issue. Celle d’une guerre totale avec la Russie n’est plus à exclure.
Les missiles ATACMS, un game changer potentiel
Avec une charge militaire conséquente et une précision chirurgicale, les ATACMS pourraient permettre aux forces ukrainiennes de frapper des cibles stratégiques comme des dépôts de munitions, des nœuds ferroviaires ou des centres de commandement situés loin du front, et ce au cœur-même du territoire russe.
Jusqu’ici cantonnés à un rôle défensif, ces missiles pourraient se muer en fer de lance d’une contre-offensive audacieuse visant à déstabiliser le dispositif militaire russe. Un pari risqué, qui pourrait précipiter une dangereuse surenchère.
Moscou dénonce une escalade, Washington temporise
Sans surprise, la réaction russe ne s’est pas faite attendre, le Kremlin fustigeant “une provocation directe” et promettant “une réponse appropriée”. Mais Washington se veut rassurant, martelant que ces armements ne seront utilisés que pour des “cibles légitimes”.
Notre position est claire: nous fournirons à l’Ukraine les outils dont elle a besoin pour se défendre, pas pour une agression contre la Russie.
Un porte-parole du Pentagone
Derrière l’apparente fermeté, Washington semble vouloir garder le contrôle d’une situation potentiellement explosive. Reste à savoir si ce pari audacieux sera payant, ou s’il ne fera qu’attiser un brasier déjà hors de contrôle.
De nouvelles livraisons d’armes en perspective
Dans la foulée de l’annonce sur les ATACMS, le Pentagone a dévoilé un nouveau package d’aide militaire à l’Ukraine, d’un montant de 275 millions de dollars. Au menu: des mines anti-personnel, des drones et des munitions d’artillerie.
Selon le secrétaire à la Défense Lloyd Austin, ces équipements sont destinés à contrer l’évolution des tactiques russes sur le terrain:
Les Russes utilisent de plus en plus leur infanterie pour mener leurs assauts, au lieu des blindés. L’Ukraine a donc besoin d’armes capables de ralentir leur progression.
Lloyd Austin, secrétaire américain à la Défense
Une annonce qui sonne comme un blanc-seing donné à Kiev pour utiliser tous les moyens à sa disposition afin d’enrayer l’avancée russe. Quitte à franchir certaines lignes rouges.
L’Europe s’inquiète, l’OTAN en embuscade
Ce changement de pied américain suscite des réactions contrastées chez les alliés européens. Si certains, comme la Pologne ou les pays baltes, y voient un signal fort envoyé à Moscou, d’autres, à l’instar de l’Allemagne ou de la France, craignent qu’il ne fasse qu’aggraver les tensions.
L’OTAN, quant à elle, reste prudemment en retrait. Mais selon certains experts, l’Alliance atlantique pourrait être tentée de profiter de cette nouvelle donne pour accroître son soutien à Kiev, voire pour intervenir plus directement dans le conflit.
Un pari risqué à l’approche des élections américaines
Pour Joe Biden, ce virage stratégique est un pari audacieux à un an de la présidentielle. S’il peut satisfaire l’aile va-t-en-guerre du Congrès, il risque aussi de braquer une opinion publique de plus en plus lasse d’un conflit dont l’issue semble incertaine.
Surtout, en ouvrant la boîte de Pandore d’une escalade militaire avec Moscou, le président démocrate s’expose à de violentes critiques en cas de dérapage. Un risque calculé, à l’heure où sa cote de confiance est au plus bas.
Vers un nouveau palier dans le conflit ukrainien
Quoi qu’il en soit, la décision de Joe Biden marque un tournant dans la guerre en Ukraine. En donnant à Kiev les moyens de frapper au cœur du dispositif russe, Washington franchit un cap dans son soutien et prend le risque d’une confrontation directe avec Moscou.
Une stratégie à haut risque, dont les implications pourraient se faire sentir bien au-delà du théâtre ukrainien. Car en changeant les règles du jeu sans en assumer publiquement les conséquences, les États-Unis s’engagent sur une voie dont personne ne connaît l’issue. Celle d’une guerre totale avec la Russie n’est plus à exclure.
Les missiles ATACMS, un game changer potentiel
Avec une charge militaire conséquente et une précision chirurgicale, les ATACMS pourraient permettre aux forces ukrainiennes de frapper des cibles stratégiques comme des dépôts de munitions, des nœuds ferroviaires ou des centres de commandement situés loin du front, et ce au cœur-même du territoire russe.
Jusqu’ici cantonnés à un rôle défensif, ces missiles pourraient se muer en fer de lance d’une contre-offensive audacieuse visant à déstabiliser le dispositif militaire russe. Un pari risqué, qui pourrait précipiter une dangereuse surenchère.
Moscou dénonce une escalade, Washington temporise
Sans surprise, la réaction russe ne s’est pas faite attendre, le Kremlin fustigeant “une provocation directe” et promettant “une réponse appropriée”. Mais Washington se veut rassurant, martelant que ces armements ne seront utilisés que pour des “cibles légitimes”.
Notre position est claire: nous fournirons à l’Ukraine les outils dont elle a besoin pour se défendre, pas pour une agression contre la Russie.
Un porte-parole du Pentagone
Derrière l’apparente fermeté, Washington semble vouloir garder le contrôle d’une situation potentiellement explosive. Reste à savoir si ce pari audacieux sera payant, ou s’il ne fera qu’attiser un brasier déjà hors de contrôle.
De nouvelles livraisons d’armes en perspective
Dans la foulée de l’annonce sur les ATACMS, le Pentagone a dévoilé un nouveau package d’aide militaire à l’Ukraine, d’un montant de 275 millions de dollars. Au menu: des mines anti-personnel, des drones et des munitions d’artillerie.
Selon le secrétaire à la Défense Lloyd Austin, ces équipements sont destinés à contrer l’évolution des tactiques russes sur le terrain:
Les Russes utilisent de plus en plus leur infanterie pour mener leurs assauts, au lieu des blindés. L’Ukraine a donc besoin d’armes capables de ralentir leur progression.
Lloyd Austin, secrétaire américain à la Défense
Une annonce qui sonne comme un blanc-seing donné à Kiev pour utiliser tous les moyens à sa disposition afin d’enrayer l’avancée russe. Quitte à franchir certaines lignes rouges.
L’Europe s’inquiète, l’OTAN en embuscade
Ce changement de pied américain suscite des réactions contrastées chez les alliés européens. Si certains, comme la Pologne ou les pays baltes, y voient un signal fort envoyé à Moscou, d’autres, à l’instar de l’Allemagne ou de la France, craignent qu’il ne fasse qu’aggraver les tensions.
L’OTAN, quant à elle, reste prudemment en retrait. Mais selon certains experts, l’Alliance atlantique pourrait être tentée de profiter de cette nouvelle donne pour accroître son soutien à Kiev, voire pour intervenir plus directement dans le conflit.
Un pari risqué à l’approche des élections américaines
Pour Joe Biden, ce virage stratégique est un pari audacieux à un an de la présidentielle. S’il peut satisfaire l’aile va-t-en-guerre du Congrès, il risque aussi de braquer une opinion publique de plus en plus lasse d’un conflit dont l’issue semble incertaine.
Surtout, en ouvrant la boîte de Pandore d’une escalade militaire avec Moscou, le président démocrate s’expose à de violentes critiques en cas de dérapage. Un risque calculé, à l’heure où sa cote de confiance est au plus bas.
Vers un nouveau palier dans le conflit ukrainien
Quoi qu’il en soit, la décision de Joe Biden marque un tournant dans la guerre en Ukraine. En donnant à Kiev les moyens de frapper au cœur du dispositif russe, Washington franchit un cap dans son soutien et prend le risque d’une confrontation directe avec Moscou.
Une stratégie à haut risque, dont les implications pourraient se faire sentir bien au-delà du théâtre ukrainien. Car en changeant les règles du jeu sans en assumer publiquement les conséquences, les États-Unis s’engagent sur une voie dont personne ne connaît l’issue. Celle d’une guerre totale avec la Russie n’est plus à exclure.