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Le Brésil s’Engage sur la Transition Énergétique à la COP30

Le Brésil promet d'être un acteur clé de la transition énergétique mondiale lors de sa présidence de la COP30 en 2025. Des mesures ambitieuses sont attendues, malgré le statut de grand producteur pétrolier du pays. La secrétaire au Climat brésilienne Ana Toni annonce la couleur...

Alors que le monde est engagé dans une course contre la montre pour limiter le réchauffement climatique, tous les regards se tournent vers le Brésil. Ce géant sud-américain, qui accueillera la COP30 en 2025, a annoncé vouloir être un acteur majeur de la transition énergétique mondiale, malgré son statut de grand producteur de pétrole. Une position ambitieuse et courageuse, qui suscite de grands espoirs.

Le Brésil prêt à montrer l’exemple sur la sortie des énergies fossiles

Ana Toni, secrétaire brésilienne au Climat, l’a affirmé sans détour : le Brésil ne se « dérobera pas » du débat sur la sortie des combustibles fossiles lors de la COP30 qu’il accueillera en novembre 2025 à Belém, au cœur de l’Amazonie. Au contraire, le pays compte bien « montrer l’exemple » et faire naître un « débat mondial » sur la manière de concrétiser l’engagement historique signé à Dubaï en 2022 d’une réduction progressive des énergies fossiles.

Parmi les idées avancées par Mme Toni : d’éventuelles taxes sur le charbon, le pétrole et le gaz. Car pour la secrétaire au Climat, « il faut que cette transition vers la sortie des combustibles fossiles soit juste ». Un enjeu crucial pour ce pays qui figure parmi les dix plus grands producteurs de pétrole au monde.

Un signal fort attendu du Brésil

Si le Brésil parvient à ses fins, nul doute que la COP30 constituera un tournant majeur dans la lutte contre le réchauffement climatique. En montrant l’exemple sur la sortie des énergies fossiles, ce pays émergent enverra un signal fort au reste du monde et prouvera qu’il est possible de concilier développement économique et protection de l’environnement.

Un défi immense, à la hauteur des enjeux climatiques auxquels l’humanité est confrontée. Mais un défi que le Brésil semble prêt à relever, porté par l’énergie et la détermination de sa secrétaire au Climat Ana Toni. Rendez-vous est pris en novembre 2025 à Belém pour voir si le pari brésilien sera tenu.

Un signal fort attendu du Brésil

Si le Brésil parvient à ses fins, nul doute que la COP30 constituera un tournant majeur dans la lutte contre le réchauffement climatique. En montrant l’exemple sur la sortie des énergies fossiles, ce pays émergent enverra un signal fort au reste du monde et prouvera qu’il est possible de concilier développement économique et protection de l’environnement.

Un défi immense, à la hauteur des enjeux climatiques auxquels l’humanité est confrontée. Mais un défi que le Brésil semble prêt à relever, porté par l’énergie et la détermination de sa secrétaire au Climat Ana Toni. Rendez-vous est pris en novembre 2025 à Belém pour voir si le pari brésilien sera tenu.

L’enjeu crucial de la COP29

Mais avant de passer à l’offensive lors de la COP30, le Brésil doit d’abord relever un défi de taille : sortir de l’impasse dans laquelle se trouve la COP29 qui se déroule cette semaine à Bakou, en Azerbaïdjan. Ana Toni a été chargée avec le secrétaire britannique à l’Énergie, Ed Miliband, de parvenir à un accord de financement de la transition énergétique. Un enjeu crucial pour la lutte contre le réchauffement climatique.

Le succès de la COP30 dépend du succès d’une bonne COP29.

Ana Toni, secrétaire brésilienne au Climat

Car sans cet accord, la lutte climatique serait nettement freinée, au moment même où le Brésil s’apprête à en prendre les rênes. Un scénario catastrophe que le pays veut à tout prix éviter, comme l’a martelé Ana Toni. La pression est donc maximale sur les négociateurs brésiliens et britanniques pour trouver un terrain d’entente à Bakou.

Un signal fort attendu du Brésil

Si le Brésil parvient à ses fins, nul doute que la COP30 constituera un tournant majeur dans la lutte contre le réchauffement climatique. En montrant l’exemple sur la sortie des énergies fossiles, ce pays émergent enverra un signal fort au reste du monde et prouvera qu’il est possible de concilier développement économique et protection de l’environnement.

Un défi immense, à la hauteur des enjeux climatiques auxquels l’humanité est confrontée. Mais un défi que le Brésil semble prêt à relever, porté par l’énergie et la détermination de sa secrétaire au Climat Ana Toni. Rendez-vous est pris en novembre 2025 à Belém pour voir si le pari brésilien sera tenu.

L’enjeu crucial de la COP29

Mais avant de passer à l’offensive lors de la COP30, le Brésil doit d’abord relever un défi de taille : sortir de l’impasse dans laquelle se trouve la COP29 qui se déroule cette semaine à Bakou, en Azerbaïdjan. Ana Toni a été chargée avec le secrétaire britannique à l’Énergie, Ed Miliband, de parvenir à un accord de financement de la transition énergétique. Un enjeu crucial pour la lutte contre le réchauffement climatique.

Le succès de la COP30 dépend du succès d’une bonne COP29.

Ana Toni, secrétaire brésilienne au Climat

Car sans cet accord, la lutte climatique serait nettement freinée, au moment même où le Brésil s’apprête à en prendre les rênes. Un scénario catastrophe que le pays veut à tout prix éviter, comme l’a martelé Ana Toni. La pression est donc maximale sur les négociateurs brésiliens et britanniques pour trouver un terrain d’entente à Bakou.

Un signal fort attendu du Brésil

Si le Brésil parvient à ses fins, nul doute que la COP30 constituera un tournant majeur dans la lutte contre le réchauffement climatique. En montrant l’exemple sur la sortie des énergies fossiles, ce pays émergent enverra un signal fort au reste du monde et prouvera qu’il est possible de concilier développement économique et protection de l’environnement.

Un défi immense, à la hauteur des enjeux climatiques auxquels l’humanité est confrontée. Mais un défi que le Brésil semble prêt à relever, porté par l’énergie et la détermination de sa secrétaire au Climat Ana Toni. Rendez-vous est pris en novembre 2025 à Belém pour voir si le pari brésilien sera tenu.

Une feuille de route climatique ambitieuse

Pour appuyer ses ambitions, le Brésil s’est doté d’une feuille de route climatique renforcée. Mi-novembre, le président de gauche Luiz Inácio Lula da Silva a augmenté l’objectif de réduction des gaz à effet de serre du pays, désormais de 59 à 67 % d’ici à 2035, par rapport à 2005. Un plan extrêmement volontariste pour un pays en développement selon Mme Toni, même si les ONG environnementales jugent que ces engagements sont encore insuffisants au vu de la contribution du Brésil au réchauffement climatique.

L’enjeu crucial de la COP29

Mais avant de passer à l’offensive lors de la COP30, le Brésil doit d’abord relever un défi de taille : sortir de l’impasse dans laquelle se trouve la COP29 qui se déroule cette semaine à Bakou, en Azerbaïdjan. Ana Toni a été chargée avec le secrétaire britannique à l’Énergie, Ed Miliband, de parvenir à un accord de financement de la transition énergétique. Un enjeu crucial pour la lutte contre le réchauffement climatique.

Le succès de la COP30 dépend du succès d’une bonne COP29.

Ana Toni, secrétaire brésilienne au Climat

Car sans cet accord, la lutte climatique serait nettement freinée, au moment même où le Brésil s’apprête à en prendre les rênes. Un scénario catastrophe que le pays veut à tout prix éviter, comme l’a martelé Ana Toni. La pression est donc maximale sur les négociateurs brésiliens et britanniques pour trouver un terrain d’entente à Bakou.

Un signal fort attendu du Brésil

Si le Brésil parvient à ses fins, nul doute que la COP30 constituera un tournant majeur dans la lutte contre le réchauffement climatique. En montrant l’exemple sur la sortie des énergies fossiles, ce pays émergent enverra un signal fort au reste du monde et prouvera qu’il est possible de concilier développement économique et protection de l’environnement.

Un défi immense, à la hauteur des enjeux climatiques auxquels l’humanité est confrontée. Mais un défi que le Brésil semble prêt à relever, porté par l’énergie et la détermination de sa secrétaire au Climat Ana Toni. Rendez-vous est pris en novembre 2025 à Belém pour voir si le pari brésilien sera tenu.

Une feuille de route climatique ambitieuse

Pour appuyer ses ambitions, le Brésil s’est doté d’une feuille de route climatique renforcée. Mi-novembre, le président de gauche Luiz Inácio Lula da Silva a augmenté l’objectif de réduction des gaz à effet de serre du pays, désormais de 59 à 67 % d’ici à 2035, par rapport à 2005. Un plan extrêmement volontariste pour un pays en développement selon Mme Toni, même si les ONG environnementales jugent que ces engagements sont encore insuffisants au vu de la contribution du Brésil au réchauffement climatique.

L’enjeu crucial de la COP29

Mais avant de passer à l’offensive lors de la COP30, le Brésil doit d’abord relever un défi de taille : sortir de l’impasse dans laquelle se trouve la COP29 qui se déroule cette semaine à Bakou, en Azerbaïdjan. Ana Toni a été chargée avec le secrétaire britannique à l’Énergie, Ed Miliband, de parvenir à un accord de financement de la transition énergétique. Un enjeu crucial pour la lutte contre le réchauffement climatique.

Le succès de la COP30 dépend du succès d’une bonne COP29.

Ana Toni, secrétaire brésilienne au Climat

Car sans cet accord, la lutte climatique serait nettement freinée, au moment même où le Brésil s’apprête à en prendre les rênes. Un scénario catastrophe que le pays veut à tout prix éviter, comme l’a martelé Ana Toni. La pression est donc maximale sur les négociateurs brésiliens et britanniques pour trouver un terrain d’entente à Bakou.

Un signal fort attendu du Brésil

Si le Brésil parvient à ses fins, nul doute que la COP30 constituera un tournant majeur dans la lutte contre le réchauffement climatique. En montrant l’exemple sur la sortie des énergies fossiles, ce pays émergent enverra un signal fort au reste du monde et prouvera qu’il est possible de concilier développement économique et protection de l’environnement.

Un défi immense, à la hauteur des enjeux climatiques auxquels l’humanité est confrontée. Mais un défi que le Brésil semble prêt à relever, porté par l’énergie et la détermination de sa secrétaire au Climat Ana Toni. Rendez-vous est pris en novembre 2025 à Belém pour voir si le pari brésilien sera tenu.

Car le Brésil a déjà fait la preuve de son engagement en faveur du climat par le passé, comme le souligne Mme Toni : « Nous avons été les premiers à dire : arrêtons la déforestation. Nous ferons de même avec les combustibles fossiles ».

Une feuille de route climatique ambitieuse

Pour appuyer ses ambitions, le Brésil s’est doté d’une feuille de route climatique renforcée. Mi-novembre, le président de gauche Luiz Inácio Lula da Silva a augmenté l’objectif de réduction des gaz à effet de serre du pays, désormais de 59 à 67 % d’ici à 2035, par rapport à 2005. Un plan extrêmement volontariste pour un pays en développement selon Mme Toni, même si les ONG environnementales jugent que ces engagements sont encore insuffisants au vu de la contribution du Brésil au réchauffement climatique.

L’enjeu crucial de la COP29

Mais avant de passer à l’offensive lors de la COP30, le Brésil doit d’abord relever un défi de taille : sortir de l’impasse dans laquelle se trouve la COP29 qui se déroule cette semaine à Bakou, en Azerbaïdjan. Ana Toni a été chargée avec le secrétaire britannique à l’Énergie, Ed Miliband, de parvenir à un accord de financement de la transition énergétique. Un enjeu crucial pour la lutte contre le réchauffement climatique.

Le succès de la COP30 dépend du succès d’une bonne COP29.

Ana Toni, secrétaire brésilienne au Climat

Car sans cet accord, la lutte climatique serait nettement freinée, au moment même où le Brésil s’apprête à en prendre les rênes. Un scénario catastrophe que le pays veut à tout prix éviter, comme l’a martelé Ana Toni. La pression est donc maximale sur les négociateurs brésiliens et britanniques pour trouver un terrain d’entente à Bakou.

Un signal fort attendu du Brésil

Si le Brésil parvient à ses fins, nul doute que la COP30 constituera un tournant majeur dans la lutte contre le réchauffement climatique. En montrant l’exemple sur la sortie des énergies fossiles, ce pays émergent enverra un signal fort au reste du monde et prouvera qu’il est possible de concilier développement économique et protection de l’environnement.

Un défi immense, à la hauteur des enjeux climatiques auxquels l’humanité est confrontée. Mais un défi que le Brésil semble prêt à relever, porté par l’énergie et la détermination de sa secrétaire au Climat Ana Toni. Rendez-vous est pris en novembre 2025 à Belém pour voir si le pari brésilien sera tenu.

Car le Brésil a déjà fait la preuve de son engagement en faveur du climat par le passé, comme le souligne Mme Toni : « Nous avons été les premiers à dire : arrêtons la déforestation. Nous ferons de même avec les combustibles fossiles ».

Une feuille de route climatique ambitieuse

Pour appuyer ses ambitions, le Brésil s’est doté d’une feuille de route climatique renforcée. Mi-novembre, le président de gauche Luiz Inácio Lula da Silva a augmenté l’objectif de réduction des gaz à effet de serre du pays, désormais de 59 à 67 % d’ici à 2035, par rapport à 2005. Un plan extrêmement volontariste pour un pays en développement selon Mme Toni, même si les ONG environnementales jugent que ces engagements sont encore insuffisants au vu de la contribution du Brésil au réchauffement climatique.

L’enjeu crucial de la COP29

Mais avant de passer à l’offensive lors de la COP30, le Brésil doit d’abord relever un défi de taille : sortir de l’impasse dans laquelle se trouve la COP29 qui se déroule cette semaine à Bakou, en Azerbaïdjan. Ana Toni a été chargée avec le secrétaire britannique à l’Énergie, Ed Miliband, de parvenir à un accord de financement de la transition énergétique. Un enjeu crucial pour la lutte contre le réchauffement climatique.

Le succès de la COP30 dépend du succès d’une bonne COP29.

Ana Toni, secrétaire brésilienne au Climat

Car sans cet accord, la lutte climatique serait nettement freinée, au moment même où le Brésil s’apprête à en prendre les rênes. Un scénario catastrophe que le pays veut à tout prix éviter, comme l’a martelé Ana Toni. La pression est donc maximale sur les négociateurs brésiliens et britanniques pour trouver un terrain d’entente à Bakou.

Un signal fort attendu du Brésil

Si le Brésil parvient à ses fins, nul doute que la COP30 constituera un tournant majeur dans la lutte contre le réchauffement climatique. En montrant l’exemple sur la sortie des énergies fossiles, ce pays émergent enverra un signal fort au reste du monde et prouvera qu’il est possible de concilier développement économique et protection de l’environnement.

Un défi immense, à la hauteur des enjeux climatiques auxquels l’humanité est confrontée. Mais un défi que le Brésil semble prêt à relever, porté par l’énergie et la détermination de sa secrétaire au Climat Ana Toni. Rendez-vous est pris en novembre 2025 à Belém pour voir si le pari brésilien sera tenu.

Les contradictions assumées du Brésil

Ana Toni reconnaît que le Brésil partage des « contradictions » similaires à celles des États-Unis et de la Norvège, deux importants producteurs de pétrole qui, dans le même temps, plaident pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Une position ambivalente que le gouvernement brésilien assume pleinement.

Nous n’avons rien à prouver à personne.

Ana Toni, secrétaire brésilienne au Climat

Car le Brésil a déjà fait la preuve de son engagement en faveur du climat par le passé, comme le souligne Mme Toni : « Nous avons été les premiers à dire : arrêtons la déforestation. Nous ferons de même avec les combustibles fossiles ».

Une feuille de route climatique ambitieuse

Pour appuyer ses ambitions, le Brésil s’est doté d’une feuille de route climatique renforcée. Mi-novembre, le président de gauche Luiz Inácio Lula da Silva a augmenté l’objectif de réduction des gaz à effet de serre du pays, désormais de 59 à 67 % d’ici à 2035, par rapport à 2005. Un plan extrêmement volontariste pour un pays en développement selon Mme Toni, même si les ONG environnementales jugent que ces engagements sont encore insuffisants au vu de la contribution du Brésil au réchauffement climatique.

L’enjeu crucial de la COP29

Mais avant de passer à l’offensive lors de la COP30, le Brésil doit d’abord relever un défi de taille : sortir de l’impasse dans laquelle se trouve la COP29 qui se déroule cette semaine à Bakou, en Azerbaïdjan. Ana Toni a été chargée avec le secrétaire britannique à l’Énergie, Ed Miliband, de parvenir à un accord de financement de la transition énergétique. Un enjeu crucial pour la lutte contre le réchauffement climatique.

Le succès de la COP30 dépend du succès d’une bonne COP29.

Ana Toni, secrétaire brésilienne au Climat

Car sans cet accord, la lutte climatique serait nettement freinée, au moment même où le Brésil s’apprête à en prendre les rênes. Un scénario catastrophe que le pays veut à tout prix éviter, comme l’a martelé Ana Toni. La pression est donc maximale sur les négociateurs brésiliens et britanniques pour trouver un terrain d’entente à Bakou.

Un signal fort attendu du Brésil

Si le Brésil parvient à ses fins, nul doute que la COP30 constituera un tournant majeur dans la lutte contre le réchauffement climatique. En montrant l’exemple sur la sortie des énergies fossiles, ce pays émergent enverra un signal fort au reste du monde et prouvera qu’il est possible de concilier développement économique et protection de l’environnement.

Un défi immense, à la hauteur des enjeux climatiques auxquels l’humanité est confrontée. Mais un défi que le Brésil semble prêt à relever, porté par l’énergie et la détermination de sa secrétaire au Climat Ana Toni. Rendez-vous est pris en novembre 2025 à Belém pour voir si le pari brésilien sera tenu.

Les contradictions assumées du Brésil

Ana Toni reconnaît que le Brésil partage des « contradictions » similaires à celles des États-Unis et de la Norvège, deux importants producteurs de pétrole qui, dans le même temps, plaident pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Une position ambivalente que le gouvernement brésilien assume pleinement.

Nous n’avons rien à prouver à personne.

Ana Toni, secrétaire brésilienne au Climat

Car le Brésil a déjà fait la preuve de son engagement en faveur du climat par le passé, comme le souligne Mme Toni : « Nous avons été les premiers à dire : arrêtons la déforestation. Nous ferons de même avec les combustibles fossiles ».

Une feuille de route climatique ambitieuse

Pour appuyer ses ambitions, le Brésil s’est doté d’une feuille de route climatique renforcée. Mi-novembre, le président de gauche Luiz Inácio Lula da Silva a augmenté l’objectif de réduction des gaz à effet de serre du pays, désormais de 59 à 67 % d’ici à 2035, par rapport à 2005. Un plan extrêmement volontariste pour un pays en développement selon Mme Toni, même si les ONG environnementales jugent que ces engagements sont encore insuffisants au vu de la contribution du Brésil au réchauffement climatique.

L’enjeu crucial de la COP29

Mais avant de passer à l’offensive lors de la COP30, le Brésil doit d’abord relever un défi de taille : sortir de l’impasse dans laquelle se trouve la COP29 qui se déroule cette semaine à Bakou, en Azerbaïdjan. Ana Toni a été chargée avec le secrétaire britannique à l’Énergie, Ed Miliband, de parvenir à un accord de financement de la transition énergétique. Un enjeu crucial pour la lutte contre le réchauffement climatique.

Le succès de la COP30 dépend du succès d’une bonne COP29.

Ana Toni, secrétaire brésilienne au Climat

Car sans cet accord, la lutte climatique serait nettement freinée, au moment même où le Brésil s’apprête à en prendre les rênes. Un scénario catastrophe que le pays veut à tout prix éviter, comme l’a martelé Ana Toni. La pression est donc maximale sur les négociateurs brésiliens et britanniques pour trouver un terrain d’entente à Bakou.

Un signal fort attendu du Brésil

Si le Brésil parvient à ses fins, nul doute que la COP30 constituera un tournant majeur dans la lutte contre le réchauffement climatique. En montrant l’exemple sur la sortie des énergies fossiles, ce pays émergent enverra un signal fort au reste du monde et prouvera qu’il est possible de concilier développement économique et protection de l’environnement.

Un défi immense, à la hauteur des enjeux climatiques auxquels l’humanité est confrontée. Mais un défi que le Brésil semble prêt à relever, porté par l’énergie et la détermination de sa secrétaire au Climat Ana Toni. Rendez-vous est pris en novembre 2025 à Belém pour voir si le pari brésilien sera tenu.

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