Alors que la bande de Gaza est en proie à une grave crise humanitaire après plus d’un an de guerre, une opération coup de poing contre des pilleurs d’aide vient de faire au moins 20 morts selon le ministère de l’Intérieur du gouvernement Hamas. Cette action musclée, menée en coopération avec des clans locaux, marque le début d’une vaste campagne sécuritaire promise par les autorités pour endiguer les pillages massifs qui aggravent la situation désastreuse du territoire palestinien.
Une opération anti-pillage au lourd bilan
D’après une source proche du ministère de l’Intérieur, les personnes tuées faisaient partie de bandes qui ont pillé samedi un important convoi humanitaire du Programme alimentaire mondial (PAM). Sur les 109 camions entrés à Gaza par le point de passage de Kerem Shalom près de la frontière égyptienne, seuls 11 ont pu atteindre leur destination, les entrepôts de stockage. Le reste a subi de lourds dégâts et des pertes totales de cargaison pour certains.
Le pire incident en termes de volumes perdus
Selon le porte-parole de l’ONU Stéphane Dujarric, il s’agit du “pire” incident de pillage “en termes de volume” perdu jusqu’à présent. Il précise que le convoi avait dû partir précipitamment sur injonction des forces israéliennes, via un itinéraire alternatif inconnu. Israël, qui impose un siège à Gaza depuis le début de la guerre en octobre 2023, pointe régulièrement du doigt l’incapacité des organisations humanitaires à distribuer correctement l’aide.
Face à cette situation, le gouvernement Hamas promet de frapper fort, affirmant que l’opération ayant fait 20 morts “ne sera pas la dernière”. Il argue que les vols de camions humanitaires ont “gravement affecté la société” gazaouie et “conduit à des signes de famine” dans le sud du territoire. De vastes opérations sécuritaires “longuement planifiées” et ciblant “toutes les personnes impliquées” dans ces pillages sont annoncées.
Mais dans un territoire dévasté par la guerre, étranglé par le blocus, où l’aide est aussi vitale que convoitée, il est à craindre que la répression des autorités se heurte à une résistance farouche et désespérée. La bande de Gaza, déjà plongée dans les affres d’un conflit interminable, semble s’enfoncer chaque jour davantage dans un chaos meurtrier dont nul ne voit l’issue. Et les civils, comme toujours, en payent le prix fort, pris en étau entre les pilleurs et les forces de sécurité.
Face à cette situation, le gouvernement Hamas promet de frapper fort, affirmant que l’opération ayant fait 20 morts “ne sera pas la dernière”. Il argue que les vols de camions humanitaires ont “gravement affecté la société” gazaouie et “conduit à des signes de famine” dans le sud du territoire. De vastes opérations sécuritaires “longuement planifiées” et ciblant “toutes les personnes impliquées” dans ces pillages sont annoncées.
Mais dans un territoire dévasté par la guerre, étranglé par le blocus, où l’aide est aussi vitale que convoitée, il est à craindre que la répression des autorités se heurte à une résistance farouche et désespérée. La bande de Gaza, déjà plongée dans les affres d’un conflit interminable, semble s’enfoncer chaque jour davantage dans un chaos meurtrier dont nul ne voit l’issue. Et les civils, comme toujours, en payent le prix fort, pris en étau entre les pilleurs et les forces de sécurité.
Des conditions extrêmement difficiles pour l’acheminement de l’aide
Mais les ONG et agences onusiennes font valoir la complexité de la distribution dans la bande de Gaza où vivent plus de 2 millions d’habitants. Parmi les obstacles majeurs : le manque de carburant pour les camions, les routes endommagées par les combats, les pillages récurrents, ainsi que les affrontements dans les zones densément peuplées et les déplacements incessants de la population. Selon plusieurs responsables humanitaires s’exprimant sous couvert d’anonymat, près de la moitié de l’aide, surtout les produits de base, serait détournée à son arrivée à Gaza.
“Ce ne sera pas la dernière” opération anti-pillage selon le Hamas
Face à cette situation, le gouvernement Hamas promet de frapper fort, affirmant que l’opération ayant fait 20 morts “ne sera pas la dernière”. Il argue que les vols de camions humanitaires ont “gravement affecté la société” gazaouie et “conduit à des signes de famine” dans le sud du territoire. De vastes opérations sécuritaires “longuement planifiées” et ciblant “toutes les personnes impliquées” dans ces pillages sont annoncées.
Mais dans un territoire dévasté par la guerre, étranglé par le blocus, où l’aide est aussi vitale que convoitée, il est à craindre que la répression des autorités se heurte à une résistance farouche et désespérée. La bande de Gaza, déjà plongée dans les affres d’un conflit interminable, semble s’enfoncer chaque jour davantage dans un chaos meurtrier dont nul ne voit l’issue. Et les civils, comme toujours, en payent le prix fort, pris en étau entre les pilleurs et les forces de sécurité.
Des conditions extrêmement difficiles pour l’acheminement de l’aide
Mais les ONG et agences onusiennes font valoir la complexité de la distribution dans la bande de Gaza où vivent plus de 2 millions d’habitants. Parmi les obstacles majeurs : le manque de carburant pour les camions, les routes endommagées par les combats, les pillages récurrents, ainsi que les affrontements dans les zones densément peuplées et les déplacements incessants de la population. Selon plusieurs responsables humanitaires s’exprimant sous couvert d’anonymat, près de la moitié de l’aide, surtout les produits de base, serait détournée à son arrivée à Gaza.
“Ce ne sera pas la dernière” opération anti-pillage selon le Hamas
Face à cette situation, le gouvernement Hamas promet de frapper fort, affirmant que l’opération ayant fait 20 morts “ne sera pas la dernière”. Il argue que les vols de camions humanitaires ont “gravement affecté la société” gazaouie et “conduit à des signes de famine” dans le sud du territoire. De vastes opérations sécuritaires “longuement planifiées” et ciblant “toutes les personnes impliquées” dans ces pillages sont annoncées.
Mais dans un territoire dévasté par la guerre, étranglé par le blocus, où l’aide est aussi vitale que convoitée, il est à craindre que la répression des autorités se heurte à une résistance farouche et désespérée. La bande de Gaza, déjà plongée dans les affres d’un conflit interminable, semble s’enfoncer chaque jour davantage dans un chaos meurtrier dont nul ne voit l’issue. Et les civils, comme toujours, en payent le prix fort, pris en étau entre les pilleurs et les forces de sécurité.