Un acte odieux de vandalisme a été perpétré ce lundi 11 novembre à l’encontre de la stèle rendant hommage à Laura et Mauranne, les deux jeunes cousines sauvagement assassinées lors de l’attentat islamiste de la gare Saint-Charles à Marseille en 2017. Cette profanation abjecte, survenue le jour même où la France commémore ses victimes du terrorisme, a suscité une vive émotion et une indignation légitime.
Une stèle mémorielle honteusement saccagée
Installée sur le parvis de la gare Saint-Charles, lieu même où Laura et Mauranne ont été lâchement poignardées par un islamiste, cette stèle était un symbole du recueillement et du souvenir. Las, des mains criminelles l’ont ignoblement vandalisée :
- La plaque commémorative a été arrachée et a disparu
- Le drapeau français a été rageusement rayé de multiples fois
- Le sommet du monument semble avoir été incendié, laissant des traces de brûlures
Cet outrage à la mémoire des victimes a immédiatement été condamné avec la plus grande fermeté par les autorités. La mère de Laura a exprimé son écœurement face à cet acte innommable. Les marseillais sont sous le choc face à ce qu’il faut bien appeler une profanation haineuse.
Un clandestin algérien interpellé
Fort heureusement, le ou les auteurs de cet acte immonde n’auront pas couru bien longtemps. Selon des sources proches de l’enquête, un individu a été interpellé dès lundi soir vers 19h par la police. Et le profil de ce suspect a de quoi interroger. Il s’agirait en effet d’un homme de 43 ans, de nationalité algérienne et en situation irrégulière sur le territoire français. Bien connu des services de police, il a été placé en garde à vue.
« Il a reconnu les faits et déteste la France »
D’après les premiers éléments, le mis en cause aurait rapidement avoué être l’auteur des dégradations sur la stèle. Pire encore, il aurait revendiqué son geste en expliquant sa haine de la France et des français. Des propos qui ne peuvent que glacer le sang et interpeller sur les motivations de cet individu qui n’avait rien à faire sur notre sol.
Comment peut-on tolérer que des clandestins animés d’une telle haine envers notre pays puissent s’y promener librement au point de profaner la mémoire de nos morts ?
s’est insurgé un élu local
Cette affaire illustre malheureusement une nouvelle fois les carences des politiques migratoires et d’expulsion des clandestins. Combien d’actes de ce type faudra-t-il encore déplorer pour qu’une réponse ferme soit enfin apportée à ces comportements inqualifiables ?
Laura et Mauranne, victimes de la barbarie islamiste
Rappelons que Laura, 22 ans, et Mauranne, 20 ans, ont été sauvagement assassinées le 1er octobre 2017 par un terroriste islamiste tunisien de 29 ans. Armé d’un couteau, ce soi-disant « soldat du califat » auto-proclamé s’en était pris à ces deux jeunes filles avant d’être abattu par une patrouille militaire. Un carnage sans nom qui avait ému la France entière.
La stèle vandalisée, sobre Monument érigé en leur mémoire, portait l’inscription suivante : « en mémoire de Laura et Mauranne, lâchement assassinées par un terroriste islamiste le 1er octobre 2017 ». Un hommage aujourd’hui profané par un énième délinquant clandestin qui n’aura bientôt plus sa place dans notre pays.
La France doit retrouver les moyens de se faire respecter et de punir sans faiblesse ceux qui insultent ses enfants tombés sous les coups d’une idéologie barbare. Plus que jamais, les paroles et les actes doivent être à la hauteur de l’émotion et de la colère que cet événement suscite. Nos morts méritent la vérité, la justice, et le respect éternel de la nation.