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Bruno Le Maire Réfute Toute Responsabilité Dans Le Déficit Français

L'ancien ministre français de l'Économie Bruno Le Maire nie toute faute face au dérapage budgétaire, pointant du doigt le nouveau gouvernement. Mais la commission des Finances du Sénat ne semble pas convaincue. Qui dit la vérité ? Le débat fait rage...

L’ancien ministre français de l’Économie Bruno Le Maire s’est retrouvé sous le feu des critiques cette semaine, alors que le pays fait face à un important dérapage budgétaire. Invité à s’expliquer devant une commission parlementaire, il a fermement nié toute responsabilité dans cette crise.

Pendant plus de deux heures, Bruno Le Maire, qui a été à la tête du ministère de l’Économie pendant sept ans, a tenté de justifier sa gestion face à la commission des Finances du Sénat. Il a exprimé son indignation face aux “attaques” et “mensonges” dont il estime être victime depuis plusieurs mois.

Un déficit record prévu pour 2024

Au cœur du débat : les prévisions alarmantes pour le déficit de la France en 2024, estimé à 6,1% du PIB. Un chiffre bien loin des 4,4% annoncés à l’automne 2023 et des 5,1% réévalués au printemps par le gouvernement précédent. Bruno Le Maire a rejeté la faute sur l’équipe actuellement au pouvoir :

Quand on me dit que le déficit en 2024 sera à 6,1%, c’est le choix du gouvernement actuel.

– Bruno Le Maire, ancien ministre de l’Économie

Selon lui, si toutes les mesures préparées par son équipe avaient été mises en œuvre sans délai, couplées à des recettes sur les rentes énergétiques et les rachats d’actions, le déficit aurait pu être contenu à 5,5% sans augmentation d’impôts.

Une erreur technique d’évaluation des recettes ?

Bruno Le Maire a reconnu que la France a buté cette année sur un trou inattendu dans les recettes, inférieures de 41,5 milliards d’euros aux prévisions. Mais il a assuré qu’il n’y avait eu “ni faute, ni dissimulation, ni volonté de tromperie”, évoquant une “grave erreur technique d’évaluation des recettes”.

Une version contestée par le président socialiste de la commission des Finances au Sénat Claude Raynal, qui estime que le gouvernement disposait très tôt d’informations internes augurant d’un dérapage plus net que prévu.

Des mesures correctives insuffisantes ?

L’ex-ministre assure que face à la dégradation économique début 2024, Bercy a réagi “rapidement, avec sérieux et une pleine conscience de la gravité de la situation”. Quelque 10 milliards d’euros de crédit ont été annulés en février. Mais Bruno Le Maire regrette de n’avoir pas réussi à convaincre de la nécessité d’aller plus loin avec un projet de loi de finances rectificative de 15 milliards d’euros au printemps.

Le ministre des Finances propose mais l’arbitrage revient au président Emmanuel Macron.

– Bruno Le Maire

Il se dit toutefois “solidaire” des décisions prises, même s’il estime qu’elles n’ont pas été suffisantes pour redresser la barre.

Un déficit qui inquiète l’Europe

Ce dérapage budgétaire place la France dans une situation délicate vis-à-vis de ses engagements européens. Le déficit ne repasserait sous la barre des 3% autorisés par l’Union européenne qu’en 2029 selon les dernières estimations, soit avec 5 ans de retard sur les prévisions.

L’audition houleuse de Bruno Le Maire n’est que le début d’une série prévue par les commissions des Finances du Parlement. Députés et sénateurs veulent faire la lumière sur ce qu’ils considèrent comme un “mensonge budgétaire” et un “crash financier” annoncé.

Le timing est délicat pour le gouvernement actuel, déjà fragilisé politiquement et qui doit présenter à l’automne un budget 2025 de rigueur. De douloureuses décisions en perspective pour tenter de redresser des finances publiques exsangues.

De son côté, Bruno Le Maire, parti enseigner en Suisse, observe la situation de loin. Mais cette audition montre que son bilan continue de le rattraper et risque d’éclabousser durablement son image de bon gestionnaire. L’ancien ministre n’a pas fini d’entendre parler de ce dérapage budgétaire historique.

L’audition houleuse de Bruno Le Maire n’est que le début d’une série prévue par les commissions des Finances du Parlement. Députés et sénateurs veulent faire la lumière sur ce qu’ils considèrent comme un “mensonge budgétaire” et un “crash financier” annoncé.

Le timing est délicat pour le gouvernement actuel, déjà fragilisé politiquement et qui doit présenter à l’automne un budget 2025 de rigueur. De douloureuses décisions en perspective pour tenter de redresser des finances publiques exsangues.

De son côté, Bruno Le Maire, parti enseigner en Suisse, observe la situation de loin. Mais cette audition montre que son bilan continue de le rattraper et risque d’éclabousser durablement son image de bon gestionnaire. L’ancien ministre n’a pas fini d’entendre parler de ce dérapage budgétaire historique.

Mais l’ancien ministre rappelle que les choix finaux reviennent à l’Élysée et que son rôle se limitait à faire des propositions. Il met en avant son action pendant les crises successives (Covid, énergie…) pour justifier des dépenses exceptionnelles qui ont creusé le déficit.

Un débat qui ne fait que commencer

L’audition houleuse de Bruno Le Maire n’est que le début d’une série prévue par les commissions des Finances du Parlement. Députés et sénateurs veulent faire la lumière sur ce qu’ils considèrent comme un “mensonge budgétaire” et un “crash financier” annoncé.

Le timing est délicat pour le gouvernement actuel, déjà fragilisé politiquement et qui doit présenter à l’automne un budget 2025 de rigueur. De douloureuses décisions en perspective pour tenter de redresser des finances publiques exsangues.

De son côté, Bruno Le Maire, parti enseigner en Suisse, observe la situation de loin. Mais cette audition montre que son bilan continue de le rattraper et risque d’éclabousser durablement son image de bon gestionnaire. L’ancien ministre n’a pas fini d’entendre parler de ce dérapage budgétaire historique.

Mais l’ancien ministre rappelle que les choix finaux reviennent à l’Élysée et que son rôle se limitait à faire des propositions. Il met en avant son action pendant les crises successives (Covid, énergie…) pour justifier des dépenses exceptionnelles qui ont creusé le déficit.

Un débat qui ne fait que commencer

L’audition houleuse de Bruno Le Maire n’est que le début d’une série prévue par les commissions des Finances du Parlement. Députés et sénateurs veulent faire la lumière sur ce qu’ils considèrent comme un “mensonge budgétaire” et un “crash financier” annoncé.

Le timing est délicat pour le gouvernement actuel, déjà fragilisé politiquement et qui doit présenter à l’automne un budget 2025 de rigueur. De douloureuses décisions en perspective pour tenter de redresser des finances publiques exsangues.

De son côté, Bruno Le Maire, parti enseigner en Suisse, observe la situation de loin. Mais cette audition montre que son bilan continue de le rattraper et risque d’éclabousser durablement son image de bon gestionnaire. L’ancien ministre n’a pas fini d’entendre parler de ce dérapage budgétaire historique.

Une dérive qui risque de raviver les tensions avec Bruxelles et les partenaires européens, déjà échaudés par le niveau d’endettement record de l’Hexagone. La France apparaît de plus en plus isolée dans son approche budgétaire expansionniste.

Quelle responsabilité pour Bruno Le Maire ?

Si Bruno Le Maire s’est défendu de toute faute personnelle, son bilan à la tête de Bercy interroge. Pendant ses sept années au ministère, la dette publique française a continué de déraper, malgré des avertissements répétés sur la nécessité de maîtriser les dépenses.

Certains lui reprochent d’avoir été trop optimiste dans ses prévisions et pas assez ferme dans les arbitrages budgétaires. Un laxisme qui aurait contribué à aggraver la situation actuelle selon ses détracteurs.

Mais l’ancien ministre rappelle que les choix finaux reviennent à l’Élysée et que son rôle se limitait à faire des propositions. Il met en avant son action pendant les crises successives (Covid, énergie…) pour justifier des dépenses exceptionnelles qui ont creusé le déficit.

Un débat qui ne fait que commencer

L’audition houleuse de Bruno Le Maire n’est que le début d’une série prévue par les commissions des Finances du Parlement. Députés et sénateurs veulent faire la lumière sur ce qu’ils considèrent comme un “mensonge budgétaire” et un “crash financier” annoncé.

Le timing est délicat pour le gouvernement actuel, déjà fragilisé politiquement et qui doit présenter à l’automne un budget 2025 de rigueur. De douloureuses décisions en perspective pour tenter de redresser des finances publiques exsangues.

De son côté, Bruno Le Maire, parti enseigner en Suisse, observe la situation de loin. Mais cette audition montre que son bilan continue de le rattraper et risque d’éclabousser durablement son image de bon gestionnaire. L’ancien ministre n’a pas fini d’entendre parler de ce dérapage budgétaire historique.

Une dérive qui risque de raviver les tensions avec Bruxelles et les partenaires européens, déjà échaudés par le niveau d’endettement record de l’Hexagone. La France apparaît de plus en plus isolée dans son approche budgétaire expansionniste.

Quelle responsabilité pour Bruno Le Maire ?

Si Bruno Le Maire s’est défendu de toute faute personnelle, son bilan à la tête de Bercy interroge. Pendant ses sept années au ministère, la dette publique française a continué de déraper, malgré des avertissements répétés sur la nécessité de maîtriser les dépenses.

Certains lui reprochent d’avoir été trop optimiste dans ses prévisions et pas assez ferme dans les arbitrages budgétaires. Un laxisme qui aurait contribué à aggraver la situation actuelle selon ses détracteurs.

Mais l’ancien ministre rappelle que les choix finaux reviennent à l’Élysée et que son rôle se limitait à faire des propositions. Il met en avant son action pendant les crises successives (Covid, énergie…) pour justifier des dépenses exceptionnelles qui ont creusé le déficit.

Un débat qui ne fait que commencer

L’audition houleuse de Bruno Le Maire n’est que le début d’une série prévue par les commissions des Finances du Parlement. Députés et sénateurs veulent faire la lumière sur ce qu’ils considèrent comme un “mensonge budgétaire” et un “crash financier” annoncé.

Le timing est délicat pour le gouvernement actuel, déjà fragilisé politiquement et qui doit présenter à l’automne un budget 2025 de rigueur. De douloureuses décisions en perspective pour tenter de redresser des finances publiques exsangues.

De son côté, Bruno Le Maire, parti enseigner en Suisse, observe la situation de loin. Mais cette audition montre que son bilan continue de le rattraper et risque d’éclabousser durablement son image de bon gestionnaire. L’ancien ministre n’a pas fini d’entendre parler de ce dérapage budgétaire historique.

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