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Meurtre De Philippine : Le Suspect Marocain Sous OQTF Mis En Examen

Le meurtre de Philippine, étudiante brillante, par Taha Oualidat, migrant marocain sous OQTF, soulève l'indignation. Mis en examen, le suspect avait un lourd passif. L'enquête révèle les failles d'un système qui...

C’est une affaire qui suscite une vive émotion en France. Taha Oualidat, un migrant marocain de 22 ans visé par une obligation de quitter le territoire français (OQTF), a été mis en examen pour le meurtre de Philippine Le Noir de Carlan, une brillante étudiante de 19 ans dont le corps a été retrouvé le 21 septembre dans le Bois de Boulogne à Paris.

Une étudiante modèle fauchée en pleine jeunesse

Philippine était décrite par tous comme une jeune femme lumineuse et brillante. Issue d’une famille catholique très soudée, elle était l’aînée d’une fratrie de six enfants. Étudiante en 3ème année d’économie à la prestigieuse université Paris-Dauphine malgré son jeune âge, elle était unanimement louée pour son intelligence, son sérieux et sa gentillesse. Très impliquée dans sa paroisse et chez les scouts, elle rêvait de fonder une famille avec son fiancé Thibault.

Son absence le vendredi 20 septembre avait immédiatement alerté ses proches qui avaient lancé des recherches, permettant de retrouver son corps le lendemain. La violence de sa mort et la personnalité solaire de la victime ont suscité une immense vague d’émotion et d’indignation.

Un suspect au lourd passif judiciaire

Très vite, les soupçons se sont portés sur Taha Oualidat, un Marocain arrivé en France en 2019. Selon une source proche du dossier, son ADN a été retrouvé sur les lieux du crime et des témoins l’auraient aperçu à proximité, dissimulant son visage et portant une pioche. Interpellé en Suisse trois jours après la découverte du corps, il a été mis en examen pour meurtre précédé ou accompagné d’un autre crime, en l’occurrence possiblement un viol.

Le profil du suspect a suscité la polémique. Dès son arrivée en France en 2019, il avait violé une étudiante de 23 ans sur un chemin forestier, non loin de son foyer. Condamné à 7 ans de prison, il n’avait pas effectué la totalité de sa peine. Placé en centre de rétention administrative en juin dernier en vue de son expulsion, il avait été libéré en septembre par un juge malgré la reconnaissance de sa dangerosité, au motif d’un défaut de garanties de représentation du Maroc. Le lendemain, le pays donnait pourtant son feu vert mais Oualidat avait déjà disparu dans la nature, ne respectant ni le pointage ni l’assignation à résidence.

Une polémique sur les dysfonctionnements de la justice

Ce parcours a déclenché une vive polémique sur les carences de la justice dans le suivi des délinquants étrangers. Comment un violeur multirécidiviste a-t-il pu être remis en liberté malgré sa dangerosité? Pourquoi n’a-t-il pas été immédiatement recherché et interpellé après avoir rompu son assignation à résidence? «Cette affaire illustre tragiquement les failles béantes de notre système d’exécution des peines et d’éloignement des étrangers criminels», a commenté un ténor de l’opposition.

Au-delà de l’onde de choc et de l’émotion suscitée par ce meurtre, l’affaire Oualidat soulève de nombreuses interrogations sur la gestion des délinquants étrangers. Comment renforcer le suivi de ceux visés par une OQTF? Faut-il allonger la rétention administrative et renforcer les contrôles pour éviter qu’ils ne se soustraient à leur expulsion? Doit-on systématiquement appliquer des peines de prison ferme aux multirécidivistes?

Pour les proches de Philippine, ces questions paraissent hélas bien lointaines face à l’atrocité de la perte qu’ils doivent affronter. La brillante étudiante a été inhumée le 27 septembre lors d’une cérémonie très émouvante en la cathédrale Saint-Louis de Versailles, en présence de milliers de personnes. L’enquête devra déterminer les circonstances exactes de sa mort et les raisons du passage à l’acte du suspect.

«C’était une fille, une sœur, une fiancée chérie qui souhaitait fonder une famille, une marraine adorée. Philippine a tout fait avant tout le monde, elle aimait faire des blagues et formait un binôme de choc avec sa cousine. Elle était très aimée.»

– La famille de Philippine dans le livret distribué lors de ses obsèques

Au-delà de la polémique légitime sur les failles du système judiciaire, n’oublions pas avant tout Philippine, jeune femme lumineuse et prometteuse fauchée dans la fleur de l’âge, et la douleur insondable de ses proches. Son meurtre doit questionner les carences béantes dans la gestion des délinquants étrangers multirécidivistes pour éviter que d’autres drames ne se reproduisent à l’avenir.

Au-delà de l’onde de choc et de l’émotion suscitée par ce meurtre, l’affaire Oualidat soulève de nombreuses interrogations sur la gestion des délinquants étrangers. Comment renforcer le suivi de ceux visés par une OQTF? Faut-il allonger la rétention administrative et renforcer les contrôles pour éviter qu’ils ne se soustraient à leur expulsion? Doit-on systématiquement appliquer des peines de prison ferme aux multirécidivistes?

Pour les proches de Philippine, ces questions paraissent hélas bien lointaines face à l’atrocité de la perte qu’ils doivent affronter. La brillante étudiante a été inhumée le 27 septembre lors d’une cérémonie très émouvante en la cathédrale Saint-Louis de Versailles, en présence de milliers de personnes. L’enquête devra déterminer les circonstances exactes de sa mort et les raisons du passage à l’acte du suspect.

«C’était une fille, une sœur, une fiancée chérie qui souhaitait fonder une famille, une marraine adorée. Philippine a tout fait avant tout le monde, elle aimait faire des blagues et formait un binôme de choc avec sa cousine. Elle était très aimée.»

– La famille de Philippine dans le livret distribué lors de ses obsèques

Au-delà de la polémique légitime sur les failles du système judiciaire, n’oublions pas avant tout Philippine, jeune femme lumineuse et prometteuse fauchée dans la fleur de l’âge, et la douleur insondable de ses proches. Son meurtre doit questionner les carences béantes dans la gestion des délinquants étrangers multirécidivistes pour éviter que d’autres drames ne se reproduisent à l’avenir.

Pour tenter d’éteindre la polémique, l’Élysée a assuré par la voix d’Emmanuel Macron que «la justice et les services de l’État feraient leur travail». Une enquête administrative a été ouverte sur les dysfonctionnements ayant conduit à la remise en liberté de Taha Oualidat.

Un drame qui soulève de nombreuses questions

Au-delà de l’onde de choc et de l’émotion suscitée par ce meurtre, l’affaire Oualidat soulève de nombreuses interrogations sur la gestion des délinquants étrangers. Comment renforcer le suivi de ceux visés par une OQTF? Faut-il allonger la rétention administrative et renforcer les contrôles pour éviter qu’ils ne se soustraient à leur expulsion? Doit-on systématiquement appliquer des peines de prison ferme aux multirécidivistes?

Pour les proches de Philippine, ces questions paraissent hélas bien lointaines face à l’atrocité de la perte qu’ils doivent affronter. La brillante étudiante a été inhumée le 27 septembre lors d’une cérémonie très émouvante en la cathédrale Saint-Louis de Versailles, en présence de milliers de personnes. L’enquête devra déterminer les circonstances exactes de sa mort et les raisons du passage à l’acte du suspect.

«C’était une fille, une sœur, une fiancée chérie qui souhaitait fonder une famille, une marraine adorée. Philippine a tout fait avant tout le monde, elle aimait faire des blagues et formait un binôme de choc avec sa cousine. Elle était très aimée.»

– La famille de Philippine dans le livret distribué lors de ses obsèques

Au-delà de la polémique légitime sur les failles du système judiciaire, n’oublions pas avant tout Philippine, jeune femme lumineuse et prometteuse fauchée dans la fleur de l’âge, et la douleur insondable de ses proches. Son meurtre doit questionner les carences béantes dans la gestion des délinquants étrangers multirécidivistes pour éviter que d’autres drames ne se reproduisent à l’avenir.

Pour tenter d’éteindre la polémique, l’Élysée a assuré par la voix d’Emmanuel Macron que «la justice et les services de l’État feraient leur travail». Une enquête administrative a été ouverte sur les dysfonctionnements ayant conduit à la remise en liberté de Taha Oualidat.

Un drame qui soulève de nombreuses questions

Au-delà de l’onde de choc et de l’émotion suscitée par ce meurtre, l’affaire Oualidat soulève de nombreuses interrogations sur la gestion des délinquants étrangers. Comment renforcer le suivi de ceux visés par une OQTF? Faut-il allonger la rétention administrative et renforcer les contrôles pour éviter qu’ils ne se soustraient à leur expulsion? Doit-on systématiquement appliquer des peines de prison ferme aux multirécidivistes?

Pour les proches de Philippine, ces questions paraissent hélas bien lointaines face à l’atrocité de la perte qu’ils doivent affronter. La brillante étudiante a été inhumée le 27 septembre lors d’une cérémonie très émouvante en la cathédrale Saint-Louis de Versailles, en présence de milliers de personnes. L’enquête devra déterminer les circonstances exactes de sa mort et les raisons du passage à l’acte du suspect.

«C’était une fille, une sœur, une fiancée chérie qui souhaitait fonder une famille, une marraine adorée. Philippine a tout fait avant tout le monde, elle aimait faire des blagues et formait un binôme de choc avec sa cousine. Elle était très aimée.»

– La famille de Philippine dans le livret distribué lors de ses obsèques

Au-delà de la polémique légitime sur les failles du système judiciaire, n’oublions pas avant tout Philippine, jeune femme lumineuse et prometteuse fauchée dans la fleur de l’âge, et la douleur insondable de ses proches. Son meurtre doit questionner les carences béantes dans la gestion des délinquants étrangers multirécidivistes pour éviter que d’autres drames ne se reproduisent à l’avenir.

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