Face à la vague de révélations d’accusations de violences sexuelles visant son fondateur l’Abbé Pierre, la fondation éponyme a pris la difficile décision de changer de nom. Cependant, comme l’a souligné son délégué général Christophe Robert, ce changement ne signifie en rien un abandon de son combat historique contre le mal-logement et les inégalités.
Selon une source proche du dossier, les faits reprochés à l’Abbé Pierre, de son vrai nom Henri Grouès, seraient graves. Plusieurs femmes ont témoigné avoir subi des violences sexuelles de sa part entre les années 1950 et 2000, certaines relevant potentiellement du viol ou commises sur mineures. Ces révélations ont provoqué une véritable onde de choc au sein de la société.
Un changement de nom nécessaire mais pas d’identité
Pour la Fondation, changer de nom est apparu comme une décision inévitable au vu de la gravité des accusations. Un choix douloureux mais indispensable par respect pour les victimes présumées. Cependant, la Fondation tient à réaffirmer avec force que sa mission et son engagement restent intacts.
Nous allons écrire un nouveau chapitre de la Fondation, mais notre mission est de continuer à combattre le mal-logement, les exclusions et les inégalités.
Christophe Robert, délégué général de la Fondation
Malgré ce séisme, pas question donc de faiblir face à l’ampleur de la tâche. Car l’urgence sociale est toujours là, cruelle et pressante. Les personnes précaires accompagnées par la Fondation ont plus que jamais besoin de son soutien et de son action.
Une procédure de changement de nom engagée
Concrètement, les démarches légales pour changer de dénomination ont d’ores et déjà été initiées par la Fondation. Il s’agit cependant d’une procédure juridique lourde et complexe qui prendra du temps. La Fondation espère malgré tout être en mesure d’annoncer son nouveau nom prochainement.
En parallèle, le lieu de mémoire dédié à l’Abbé Pierre situé à Esteville en Normandie sera définitivement fermé. Un crève-cœur sans doute pour beaucoup, mais là encore un choix dicté par la volonté de tourner la page.
Les combats et les valeurs demeurent
Au-delà du nom, ce sont bien les combats et les valeurs portés depuis toujours par la Fondation qui doivent primer. La lutte en faveur du droit au logement pour tous, contre la précarité et les exclusions ne doit pas pâtir de la chute d’une icône. Les besoins sont immenses et la mobilisation de chacun plus indispensable que jamais.
La Fondation change de nom, pas de combat. Nous ne faiblirons pas. Pour les personnes que nous accompagnons et car l’urgence sociale est là.
Christophe Robert, délégué général de la Fondation
Un message fort et sans ambiguïté. Les équipes de la Fondation restent pleinement mobilisées sur le terrain au côté des mal-logés et des plus démunis. Avec la même détermination, la même énergie, car telle est leur raison d’être.
Ce nouveau chapitre qui s’ouvre sera l’occasion de réaffirmer et de réinventer ce combat si essentiel pour une société plus juste et solidaire. Un défi immense et vital que la Fondation, quel que soit son nom demain, est déterminée à relever. Car l’urgence n’attend pas et l’engagement de tous est plus que jamais nécessaire.
Pour la Fondation, changer de nom est apparu comme une décision inévitable au vu de la gravité des accusations. Un choix douloureux mais indispensable par respect pour les victimes présumées. Cependant, la Fondation tient à réaffirmer avec force que sa mission et son engagement restent intacts.
Nous allons écrire un nouveau chapitre de la Fondation, mais notre mission est de continuer à combattre le mal-logement, les exclusions et les inégalités.
Christophe Robert, délégué général de la Fondation
Malgré ce séisme, pas question donc de faiblir face à l’ampleur de la tâche. Car l’urgence sociale est toujours là, cruelle et pressante. Les personnes précaires accompagnées par la Fondation ont plus que jamais besoin de son soutien et de son action.
Une procédure de changement de nom engagée
Concrètement, les démarches légales pour changer de dénomination ont d’ores et déjà été initiées par la Fondation. Il s’agit cependant d’une procédure juridique lourde et complexe qui prendra du temps. La Fondation espère malgré tout être en mesure d’annoncer son nouveau nom prochainement.
En parallèle, le lieu de mémoire dédié à l’Abbé Pierre situé à Esteville en Normandie sera définitivement fermé. Un crève-cœur sans doute pour beaucoup, mais là encore un choix dicté par la volonté de tourner la page.
Les combats et les valeurs demeurent
Au-delà du nom, ce sont bien les combats et les valeurs portés depuis toujours par la Fondation qui doivent primer. La lutte en faveur du droit au logement pour tous, contre la précarité et les exclusions ne doit pas pâtir de la chute d’une icône. Les besoins sont immenses et la mobilisation de chacun plus indispensable que jamais.
La Fondation change de nom, pas de combat. Nous ne faiblirons pas. Pour les personnes que nous accompagnons et car l’urgence sociale est là.
Christophe Robert, délégué général de la Fondation
Un message fort et sans ambiguïté. Les équipes de la Fondation restent pleinement mobilisées sur le terrain au côté des mal-logés et des plus démunis. Avec la même détermination, la même énergie, car telle est leur raison d’être.
Ce nouveau chapitre qui s’ouvre sera l’occasion de réaffirmer et de réinventer ce combat si essentiel pour une société plus juste et solidaire. Un défi immense et vital que la Fondation, quel que soit son nom demain, est déterminée à relever. Car l’urgence n’attend pas et l’engagement de tous est plus que jamais nécessaire.