En ce mercredi 6 novembre 2024, l’Amérique se réveille avec la gueule de bois. Contre toute attente, Donald Trump vient de remporter un second mandat présidentiel, quatre ans après avoir quitté la Maison Blanche. Une victoire historique qui bouscule les certitudes et redistribue les cartes de la politique américaine.
Une campagne sous haute tension
Depuis plusieurs mois, la campagne électorale faisait rage entre le camp démocrate mené par Kamala Harris, première femme vice-présidente de l’histoire, et les républicains unis derrière leur chef de file Donald Trump. Les sondages donnaient Harris largement favorite, surfant sur son bilan et sa popularité. Mais c’était sans compter sur la ténacité de Trump.
L’ex-président n’a eu de cesse de dénoncer un “système corrompu” et des “fake news”, mobilisant sa base électorale comme personne. Meetings surchauffés, attaques ad hominem, rien n’a été épargné pour écorner l’image de Harris et des démocrates, accusés de vouloir “détruire l’Amérique”.
La surprise du vote latino
Dans les urnes, le miracle Trump a opéré. D’après les analyses des résultats, il doit en grande partie sa victoire à un soutien massif et inattendu de l’électorat latino. Alors que les démocrates pensaient ce vote acquis, plus d’un homme Latino sur deux a finalement choisi Trump.
Les raisons de ce basculement ? Un positionnement de Trump très orienté sur les valeurs familiales et religieuses traditionnelles, cher à cette communauté. Mais aussi une politique économique perçue comme plus favorable aux travailleurs modestes et non diplômés, très représentés chez les latinos.
Un parti républicain ragaillardi
Au-delà de l’élection de Trump, c’est tout le parti républicain qui sort renforcé du scrutin. De nombreux candidats trumpistes réalisent des scores remarquables, tandis que le Grand Old Party reprend le contrôle des deux chambres du Congrès. Un raz-de-marée qui va donner les coudées franches à Trump pour son second mandat.
Du côté démocrate en revanche, c’est la soupe à la grimace. Selon des sources proches du parti, le QG de campagne de Kamala Harris était plongé dans un “silence de mort” à l’annonce des résultats. Les stratèges démocrates vont devoir se remettre en question pour éviter une nouvelle déroute en 2028.
Les réactions internationales
À l’étranger, la victoire de Trump suscite des réactions contrastées. Si le président salvadorien Nayib Bukele s’est empressé de le féliciter, de nombreux dirigeants européens affichent leur inquiétude, redoutant un regain de protectionnisme et d’unilatéralisme.
“Every single day, I will be fighting for you. And with every grain in my body, I will not rest until we have delivered the strong, safe, and prosperous America that our children deserve and that you deserve.”
President Donald J. Trump
Une nouvelle ère s’ouvre quoi qu’il en soit pour les États-Unis. Avec un Donald Trump aux commandes pour quatre ans de plus, nul doute que nous n’avons pas fini d’entendre parler de l’Amérique. Pour le meilleur ou pour le pire.
Les raisons de ce basculement ? Un positionnement de Trump très orienté sur les valeurs familiales et religieuses traditionnelles, cher à cette communauté. Mais aussi une politique économique perçue comme plus favorable aux travailleurs modestes et non diplômés, très représentés chez les latinos.
Un parti républicain ragaillardi
Au-delà de l’élection de Trump, c’est tout le parti républicain qui sort renforcé du scrutin. De nombreux candidats trumpistes réalisent des scores remarquables, tandis que le Grand Old Party reprend le contrôle des deux chambres du Congrès. Un raz-de-marée qui va donner les coudées franches à Trump pour son second mandat.
Du côté démocrate en revanche, c’est la soupe à la grimace. Selon des sources proches du parti, le QG de campagne de Kamala Harris était plongé dans un “silence de mort” à l’annonce des résultats. Les stratèges démocrates vont devoir se remettre en question pour éviter une nouvelle déroute en 2028.
Les réactions internationales
À l’étranger, la victoire de Trump suscite des réactions contrastées. Si le président salvadorien Nayib Bukele s’est empressé de le féliciter, de nombreux dirigeants européens affichent leur inquiétude, redoutant un regain de protectionnisme et d’unilatéralisme.
“Every single day, I will be fighting for you. And with every grain in my body, I will not rest until we have delivered the strong, safe, and prosperous America that our children deserve and that you deserve.”
President Donald J. Trump
Une nouvelle ère s’ouvre quoi qu’il en soit pour les États-Unis. Avec un Donald Trump aux commandes pour quatre ans de plus, nul doute que nous n’avons pas fini d’entendre parler de l’Amérique. Pour le meilleur ou pour le pire.