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Carlos Alcaraz, la sagesse au service d’une fin de saison réussie

À seulement 21 ans, Carlos Alcaraz affiche une maturité surprenante. Alors qu'il peine habituellement à briller en fin de saison, l'Espagnol compte bien inverser la tendance cette année. Confiant et déterminé, il nous livre les clés de...

En ce début d’automne, l’heure est à la sagesse pour Carlos Alcaraz. Du haut de ses 21 ans, le prodige espagnol du tennis mondial semble avoir tiré les leçons de ses expériences passées. Alors qu’il peinait jusqu’ici à briller en fin de saison, « Carlitos » compte bien inverser la tendance cette année.

Une prise de conscience salutaire

« Je dois intégrer que la saison ne s’arrête pas en septembre ». Cette phrase lâchée par Alcaraz en dit long sur sa nouvelle approche. Après plusieurs automnes en demi-teinte, ponctués de contre-performances dans les tournois de fin d’année, le natif de Murcie a décidé de changer son fusil d’épaule.

Une prise de conscience motivée en partie par son lot de blessures, qui l’ont contraint à faire l’impasse sur plusieurs grands rendez-vous depuis le début de sa jeune carrière. À 21 ans, Alcaraz en est déjà à sa quatrième saison chez les pros, et les stigmates de ce rythme effréné commencent à se faire sentir.

Une gestion de carrière repensée

Cette année, Alcaraz aborde donc l’automne avec un état d’esprit renouvelé. Exit l’insouciance de la jeunesse, place à une approche plus réfléchie et mature de sa saison.

L’an passé, cette période a été très compliquée pour moi. Cette saison, c’est totalement différent. Je suis motivé pour gagner ce tournoi.

Carlos Alcaraz, après sa victoire face à Nicolas Jarry au Rolex Paris Masters 2024

L’Espagnol a ainsi fait le choix de réduire son nombre de tournois, avec onze apparitions de moins que l’an passé à la même époque. L’objectif : arriver plus frais et affûté pour les échéances majeures de la fin de saison, à commencer par le Masters 1000 de Paris-Bercy, où il espère bien décrocher son premier titre.

Un jeu en constante progression

Cette nouvelle maturité se reflète également dans le jeu déployé par Alcaraz depuis le début du tournoi parisien. Face au Chilien Nicolas Jarry au 2e tour, l’Espagnol a affiché un visage séduisant, dans la continuité de ses récentes sorties :

  • Un tennis varié et réfléchi
  • Une prise de risques mesurée (13 coups gagnants pour 6 fautes directes)
  • Une constante montée en puissance au fil du match

Des ingrédients qui laissent augurer du meilleur pour la suite de la quinzaine parisienne, où Alcaraz retrouvera le Français Ugo Humbert en huitièmes de finale, avant un potentiel choc face à Félix Auger-Aliassime ou Holger Rune.

Tenir la distance

Reste désormais à confirmer sur la durée. Car c’est bien là que le bât blesse pour le jeune Espagnol depuis ses débuts sur le circuit. Malgré des démarrages souvent tonitruants, « Carlitos » peine encore à maintenir son niveau de jeu sur la longueur d’une saison.

À Paris, comme dans les autres grands rendez-vous de cette fin d’année (Masters et Coupe Davis notamment), Alcaraz aura ainsi à cœur de prouver qu’il a bel et bien passé un cap. S’il y parvient, nul doute que les observateurs devront déjà le placer parmi les grandissimes favoris pour la saison 2025. Le temps de la confirmation a sonné.

Cette année, Alcaraz aborde donc l’automne avec un état d’esprit renouvelé. Exit l’insouciance de la jeunesse, place à une approche plus réfléchie et mature de sa saison.

L’an passé, cette période a été très compliquée pour moi. Cette saison, c’est totalement différent. Je suis motivé pour gagner ce tournoi.

Carlos Alcaraz, après sa victoire face à Nicolas Jarry au Rolex Paris Masters 2024

L’Espagnol a ainsi fait le choix de réduire son nombre de tournois, avec onze apparitions de moins que l’an passé à la même époque. L’objectif : arriver plus frais et affûté pour les échéances majeures de la fin de saison, à commencer par le Masters 1000 de Paris-Bercy, où il espère bien décrocher son premier titre.

Un jeu en constante progression

Cette nouvelle maturité se reflète également dans le jeu déployé par Alcaraz depuis le début du tournoi parisien. Face au Chilien Nicolas Jarry au 2e tour, l’Espagnol a affiché un visage séduisant, dans la continuité de ses récentes sorties :

  • Un tennis varié et réfléchi
  • Une prise de risques mesurée (13 coups gagnants pour 6 fautes directes)
  • Une constante montée en puissance au fil du match

Des ingrédients qui laissent augurer du meilleur pour la suite de la quinzaine parisienne, où Alcaraz retrouvera le Français Ugo Humbert en huitièmes de finale, avant un potentiel choc face à Félix Auger-Aliassime ou Holger Rune.

Tenir la distance

Reste désormais à confirmer sur la durée. Car c’est bien là que le bât blesse pour le jeune Espagnol depuis ses débuts sur le circuit. Malgré des démarrages souvent tonitruants, « Carlitos » peine encore à maintenir son niveau de jeu sur la longueur d’une saison.

À Paris, comme dans les autres grands rendez-vous de cette fin d’année (Masters et Coupe Davis notamment), Alcaraz aura ainsi à cœur de prouver qu’il a bel et bien passé un cap. S’il y parvient, nul doute que les observateurs devront déjà le placer parmi les grandissimes favoris pour la saison 2025. Le temps de la confirmation a sonné.

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