Alors que la crypto-sphère est en ébullition à l’approche des élections présidentielles américaines, un acteur inattendu vient redistribuer les cartes : BlackRock. Le mastodonte de la gestion d’actifs, gérant près de 10 000 milliards de dollars, a fait une entrée fracassante dans l’univers des crypto-monnaies ces derniers mois. Une décision lourde de sens qui pourrait bien éclipser l’enjeu du scrutin présidentiel pour l’avenir du secteur, selon Darius Sit, directeur des investissements chez QCP Capital.
BlackRock, le nouveau parrain de la crypto
Le virage crypto de BlackRock ne date pas d’hier. Dès 2021, Larry Fink, PDG visionnaire de la firme, déclarait son intérêt pour les actifs numériques, y voyant un potentiel de « révolution » des marchés financiers. Mais c’est en 2023 que BlackRock est passé de la parole aux actes, avec le lancement très médiatisé d’un ETF Bitcoin, rapidement devenu le plus important du marché.
Pour Darius Sit, ce sont ces initiatives de BlackRock qui constituent le véritable tournant pour la crypto, bien plus que l’issue incertaine des élections :
Quand Larry Fink intervient sur CNBC pour qualifier le Bitcoin de réserve de valeur, on comprend que la crypto est devenue un élément central de la narration financière américaine. BlackRock a fait passer la crypto de la marge à la norme.
Darius Sit, directeur des investissements chez QCP Capital
Un effet domino sur l’adoption institutionnelle
L’entrée en scène d’un acteur de la trempe de BlackRock ne manquera pas de créer un appel d’air pour l’adoption institutionnelle de la crypto. Avec sa réputation et son influence, la firme new-yorkaise pourrait bien convaincre les investisseurs traditionnels encore frileux de franchir le pas.
Une dynamique déjà enclenchée si l’on en croit les chiffres records des ETF Bitcoin, dont les actifs sous gestion cumulés dépassent désormais les 3 milliards de dollars. Un engouement qui illustre la confiance grandissante des investisseurs dans la maturité et le potentiel du marché crypto.
Face à ces bouleversements, les enjeux des élections présidentielles américaines paraissent presque secondaires pour la sphère crypto. Bien sûr, l’élection d’un candidat ouvertement pro-crypto comme Donald Trump pourrait donner un coup de fouet au secteur, avec des régulations plus souples et des initiatives gouvernementales ambitieuses.
Mais selon Darius Sit, l’impact de la Maison Blanche sera toujours limité par rapport à l’influence des acteurs privés comme BlackRock :
Même si une administration Trump serait une bonne nouvelle pour la crypto, son rôle sera surtout d’accompagner et d’accélérer une dynamique déjà en marche. Le vrai moteur du changement, ce sont les poids lourds de la finance comme BlackRock qui légitiment la crypto et attirent les investisseurs traditionnels.
Darius Sit, directeur des investissements chez QCP Capital
Vers une normalisation de la crypto
Au final, l’histoire retiendra peut-être 2023 comme l’année du grand basculement pour la crypto, celle de son passage d’un marché de niche à un écosystème financier mature et intégré. Un tournant symbolisé par l’entrée tonitruante de BlackRock, qui marque le début d’une nouvelle ère pour les actifs numériques.
Reste à savoir si cette normalisation se fera au prix d’une certaine uniformisation, avec la mainmise des géants de la finance sur un secteur né en opposition au système traditionnel. Une question qui divisera encore longtemps la communauté crypto, partagée entre la volonté de démocratisation et la crainte d’une récupération.
Une chose est sûre : avec BlackRock dans la danse, la crypto ne sera plus jamais la même. Et cela pourrait bien compter plus que le nom du prochain locataire de la Maison Blanche.
Face à ces bouleversements, les enjeux des élections présidentielles américaines paraissent presque secondaires pour la sphère crypto. Bien sûr, l’élection d’un candidat ouvertement pro-crypto comme Donald Trump pourrait donner un coup de fouet au secteur, avec des régulations plus souples et des initiatives gouvernementales ambitieuses.
Mais selon Darius Sit, l’impact de la Maison Blanche sera toujours limité par rapport à l’influence des acteurs privés comme BlackRock :
Même si une administration Trump serait une bonne nouvelle pour la crypto, son rôle sera surtout d’accompagner et d’accélérer une dynamique déjà en marche. Le vrai moteur du changement, ce sont les poids lourds de la finance comme BlackRock qui légitiment la crypto et attirent les investisseurs traditionnels.
Darius Sit, directeur des investissements chez QCP Capital
Vers une normalisation de la crypto
Au final, l’histoire retiendra peut-être 2023 comme l’année du grand basculement pour la crypto, celle de son passage d’un marché de niche à un écosystème financier mature et intégré. Un tournant symbolisé par l’entrée tonitruante de BlackRock, qui marque le début d’une nouvelle ère pour les actifs numériques.
Reste à savoir si cette normalisation se fera au prix d’une certaine uniformisation, avec la mainmise des géants de la finance sur un secteur né en opposition au système traditionnel. Une question qui divisera encore longtemps la communauté crypto, partagée entre la volonté de démocratisation et la crainte d’une récupération.
Une chose est sûre : avec BlackRock dans la danse, la crypto ne sera plus jamais la même. Et cela pourrait bien compter plus que le nom du prochain locataire de la Maison Blanche.
Une crédibilité renforcée pour le secteur
Au-delà des flux de capitaux, c’est toute la perception de la crypto qui pourrait changer avec l’arrivée de BlackRock. Longtemps cantonnés à une image sulfu-reuse, entre volatilité extrême et usage illicite, les actifs numériques gagnent en respectabilité avec la caution d’une institution financière de premier plan.
Un changement d’image qui pourrait accélérer l’adoption grand public et inciter les régulateurs à créer un cadre juridique plus clair et favorable. Des évolutions cruciales pour faire de la crypto une véritable classe d’actifs à part entière, au même titre que les actions ou l’immobilier.
Des élections reléguées au second plan ?
Face à ces bouleversements, les enjeux des élections présidentielles américaines paraissent presque secondaires pour la sphère crypto. Bien sûr, l’élection d’un candidat ouvertement pro-crypto comme Donald Trump pourrait donner un coup de fouet au secteur, avec des régulations plus souples et des initiatives gouvernementales ambitieuses.
Mais selon Darius Sit, l’impact de la Maison Blanche sera toujours limité par rapport à l’influence des acteurs privés comme BlackRock :
Même si une administration Trump serait une bonne nouvelle pour la crypto, son rôle sera surtout d’accompagner et d’accélérer une dynamique déjà en marche. Le vrai moteur du changement, ce sont les poids lourds de la finance comme BlackRock qui légitiment la crypto et attirent les investisseurs traditionnels.
Darius Sit, directeur des investissements chez QCP Capital
Vers une normalisation de la crypto
Au final, l’histoire retiendra peut-être 2023 comme l’année du grand basculement pour la crypto, celle de son passage d’un marché de niche à un écosystème financier mature et intégré. Un tournant symbolisé par l’entrée tonitruante de BlackRock, qui marque le début d’une nouvelle ère pour les actifs numériques.
Reste à savoir si cette normalisation se fera au prix d’une certaine uniformisation, avec la mainmise des géants de la finance sur un secteur né en opposition au système traditionnel. Une question qui divisera encore longtemps la communauté crypto, partagée entre la volonté de démocratisation et la crainte d’une récupération.
Une chose est sûre : avec BlackRock dans la danse, la crypto ne sera plus jamais la même. Et cela pourrait bien compter plus que le nom du prochain locataire de la Maison Blanche.
Une crédibilité renforcée pour le secteur
Au-delà des flux de capitaux, c’est toute la perception de la crypto qui pourrait changer avec l’arrivée de BlackRock. Longtemps cantonnés à une image sulfu-reuse, entre volatilité extrême et usage illicite, les actifs numériques gagnent en respectabilité avec la caution d’une institution financière de premier plan.
Un changement d’image qui pourrait accélérer l’adoption grand public et inciter les régulateurs à créer un cadre juridique plus clair et favorable. Des évolutions cruciales pour faire de la crypto une véritable classe d’actifs à part entière, au même titre que les actions ou l’immobilier.
Des élections reléguées au second plan ?
Face à ces bouleversements, les enjeux des élections présidentielles américaines paraissent presque secondaires pour la sphère crypto. Bien sûr, l’élection d’un candidat ouvertement pro-crypto comme Donald Trump pourrait donner un coup de fouet au secteur, avec des régulations plus souples et des initiatives gouvernementales ambitieuses.
Mais selon Darius Sit, l’impact de la Maison Blanche sera toujours limité par rapport à l’influence des acteurs privés comme BlackRock :
Même si une administration Trump serait une bonne nouvelle pour la crypto, son rôle sera surtout d’accompagner et d’accélérer une dynamique déjà en marche. Le vrai moteur du changement, ce sont les poids lourds de la finance comme BlackRock qui légitiment la crypto et attirent les investisseurs traditionnels.
Darius Sit, directeur des investissements chez QCP Capital
Vers une normalisation de la crypto
Au final, l’histoire retiendra peut-être 2023 comme l’année du grand basculement pour la crypto, celle de son passage d’un marché de niche à un écosystème financier mature et intégré. Un tournant symbolisé par l’entrée tonitruante de BlackRock, qui marque le début d’une nouvelle ère pour les actifs numériques.
Reste à savoir si cette normalisation se fera au prix d’une certaine uniformisation, avec la mainmise des géants de la finance sur un secteur né en opposition au système traditionnel. Une question qui divisera encore longtemps la communauté crypto, partagée entre la volonté de démocratisation et la crainte d’une récupération.
Une chose est sûre : avec BlackRock dans la danse, la crypto ne sera plus jamais la même. Et cela pourrait bien compter plus que le nom du prochain locataire de la Maison Blanche.