Le petit paradis balnéaire de Villa Gesell, en Argentine, s’est réveillé sous le choc ce mardi matin. Un immeuble de dix étages s’est effondré en pleine nuit, semant la panique et le désarroi. Le terrible bilan fait déjà état d’un mort, d’un blessé grave, et d’au moins sept personnes portées disparues, probablement piégées sous les montagnes de gravats.
Dès les premières lueurs du jour, ce sont près de 300 secouristes qui se sont rués sur les lieux du drame pour tenter de porter secours aux victimes. Équipés de drones, de chiens renifleurs, de sondes avec caméras et micros, ils progressent prudemment dans les décombres à la recherche de signes de vie. Une véritable course contre la montre s’est engagée pour tenter de sauver un maximum de personnes.
Un chantier clandestin pointé du doigt
Mais comment un tel drame a-t-il pu se produire ? Les premiers éléments de l’enquête semblent pointer du doigt un chantier clandestin qui se déroulait dans l’immeuble effondré. En effet, selon les autorités municipales, des travaux non-autorisés étaient en cours dans la bâtisse qui abritait normalement un appart-hotel.
Sur place, c’est la consternation qui domine. Javier Alonso, le ministre de la Sécurité de la province de Buenos Aires, a décrit une scène apocalyptique. Selon lui, l’immeuble a littéralement “implosé” et est “tombé sur lui-même”. Les trois derniers étages de la tour de dix étages se sont effondrés sur le bâtiment adjacent, l’écrasant à 25%.
Les voisins ont entendu un craquement, une vibration dans le sol et quelques minutes plus tard, ça s’est effondré.
Javier Alonso, ministre de la Sécurité de la province de Buenos Aires
C’est d’ailleurs dans ce bâtiment voisin qu’ont été retrouvées les deux premières victimes. Un octogénaire qui a tragiquement perdu la vie, et une septuagénaire grièvement blessée qui a dû être héliportée en urgence vers l’hôpital.
Une quête éperdue pour retrouver les disparus
Mais le plus dur reste à venir pour les secouristes. Car entre 7 et 9 personnes manqueraient toujours à l’appel selon les estimations. Il s’agirait principalement d’ouvriers qui travaillaient sur le chantier clandestin au moment du drame. Leurs proches, effondrés, attendent désespérément des nouvelles.
Silvana Perhauc, qui se présente comme la mère de l’un des disparus, lance un appel déchirant :
Le temps passe, mais moi je veux mon petit vivant, je veux mon fils vivant, entier !
Silvana Perhauc, mère d’un ouvrier porté disparu
Malheureusement, les autorités ont d’ores et déjà prévenu que les opérations de recherche seraient longues et délicates. Plusieurs couches de gravats doivent encore être ôtées, et le tout doit se faire à la main pour ne pas risquer d’écraser d’éventuels survivants. Un travail de fourmi, délicat et éprouvant, qui demandera des heures, voire des jours d’efforts.
L’espoir d’un miracle
Malgré l’ampleur de la catastrophe, les secouristes refusent de perdre espoir. Ils savent que lors d’accidents similaires, des personnes ont pu être retrouvées vivantes jusqu’à une semaine après les faits. Chaque minute compte désormais pour tenter d’arracher des vies aux décombres.
Toute l’Argentine retient son souffle et prie pour qu’un miracle se produise. Pour que cette station balnéaire, d’ordinaire si paisible et joyeuse, ne sombre pas totalement dans le deuil et la tristesse. Villa Gesell, réputée pour sa douceur de vivre, sa jeunesse insouciante et ses nuits festives, est aujourd’hui en état de choc. Combien de temps lui faudra-t-il pour panser ses plaies et se reconstruire ? Nul ne le sait encore. Mais une chose est sûre : plus rien ne sera jamais comme avant.
Sur place, c’est la consternation qui domine. Javier Alonso, le ministre de la Sécurité de la province de Buenos Aires, a décrit une scène apocalyptique. Selon lui, l’immeuble a littéralement “implosé” et est “tombé sur lui-même”. Les trois derniers étages de la tour de dix étages se sont effondrés sur le bâtiment adjacent, l’écrasant à 25%.
Les voisins ont entendu un craquement, une vibration dans le sol et quelques minutes plus tard, ça s’est effondré.
Javier Alonso, ministre de la Sécurité de la province de Buenos Aires
C’est d’ailleurs dans ce bâtiment voisin qu’ont été retrouvées les deux premières victimes. Un octogénaire qui a tragiquement perdu la vie, et une septuagénaire grièvement blessée qui a dû être héliportée en urgence vers l’hôpital.
Une quête éperdue pour retrouver les disparus
Mais le plus dur reste à venir pour les secouristes. Car entre 7 et 9 personnes manqueraient toujours à l’appel selon les estimations. Il s’agirait principalement d’ouvriers qui travaillaient sur le chantier clandestin au moment du drame. Leurs proches, effondrés, attendent désespérément des nouvelles.
Silvana Perhauc, qui se présente comme la mère de l’un des disparus, lance un appel déchirant :
Le temps passe, mais moi je veux mon petit vivant, je veux mon fils vivant, entier !
Silvana Perhauc, mère d’un ouvrier porté disparu
Malheureusement, les autorités ont d’ores et déjà prévenu que les opérations de recherche seraient longues et délicates. Plusieurs couches de gravats doivent encore être ôtées, et le tout doit se faire à la main pour ne pas risquer d’écraser d’éventuels survivants. Un travail de fourmi, délicat et éprouvant, qui demandera des heures, voire des jours d’efforts.
L’espoir d’un miracle
Malgré l’ampleur de la catastrophe, les secouristes refusent de perdre espoir. Ils savent que lors d’accidents similaires, des personnes ont pu être retrouvées vivantes jusqu’à une semaine après les faits. Chaque minute compte désormais pour tenter d’arracher des vies aux décombres.
Toute l’Argentine retient son souffle et prie pour qu’un miracle se produise. Pour que cette station balnéaire, d’ordinaire si paisible et joyeuse, ne sombre pas totalement dans le deuil et la tristesse. Villa Gesell, réputée pour sa douceur de vivre, sa jeunesse insouciante et ses nuits festives, est aujourd’hui en état de choc. Combien de temps lui faudra-t-il pour panser ses plaies et se reconstruire ? Nul ne le sait encore. Mais une chose est sûre : plus rien ne sera jamais comme avant.
D’après une source proche de l’enquête, ce chantier illégal avait déjà été stoppé une première fois en août dernier par la municipalité. Seuls des travaux superficiels, comme de la peinture ou des revêtements de sol, avaient depuis été réautorisés. Mais il semblerait que des modifications de structure plus profondes aient été réalisées en toute illégalité dans la partie qui s’est effondrée.
Une dalle percée pour installer un ascenseur ?
Le président de l’association des hôteliers de Villa Gesell a même confié aux médias avoir visité l’hôtel il y a une dizaine de jours. Et ce qu’il y a vu l’a profondément choqué. Selon lui, les propriétaires auraient fait percer la dalle d’un deuxième étage dans le but d’y installer un ascenseur. Un acte totalement irresponsable qui pourrait être à l’origine de la tragédie.
Trois personnes, dont le chef de chantier et deux maçons, ont d’ores et déjà été placées en garde à vue. L’enquête ne fait que commencer mais elle devra déterminer les responsabilités de chacun dans ce drame qui endeuille toute une communauté.
Un immeuble “tombé sur lui-même”
Sur place, c’est la consternation qui domine. Javier Alonso, le ministre de la Sécurité de la province de Buenos Aires, a décrit une scène apocalyptique. Selon lui, l’immeuble a littéralement “implosé” et est “tombé sur lui-même”. Les trois derniers étages de la tour de dix étages se sont effondrés sur le bâtiment adjacent, l’écrasant à 25%.
Les voisins ont entendu un craquement, une vibration dans le sol et quelques minutes plus tard, ça s’est effondré.
Javier Alonso, ministre de la Sécurité de la province de Buenos Aires
C’est d’ailleurs dans ce bâtiment voisin qu’ont été retrouvées les deux premières victimes. Un octogénaire qui a tragiquement perdu la vie, et une septuagénaire grièvement blessée qui a dû être héliportée en urgence vers l’hôpital.
Une quête éperdue pour retrouver les disparus
Mais le plus dur reste à venir pour les secouristes. Car entre 7 et 9 personnes manqueraient toujours à l’appel selon les estimations. Il s’agirait principalement d’ouvriers qui travaillaient sur le chantier clandestin au moment du drame. Leurs proches, effondrés, attendent désespérément des nouvelles.
Silvana Perhauc, qui se présente comme la mère de l’un des disparus, lance un appel déchirant :
Le temps passe, mais moi je veux mon petit vivant, je veux mon fils vivant, entier !
Silvana Perhauc, mère d’un ouvrier porté disparu
Malheureusement, les autorités ont d’ores et déjà prévenu que les opérations de recherche seraient longues et délicates. Plusieurs couches de gravats doivent encore être ôtées, et le tout doit se faire à la main pour ne pas risquer d’écraser d’éventuels survivants. Un travail de fourmi, délicat et éprouvant, qui demandera des heures, voire des jours d’efforts.
L’espoir d’un miracle
Malgré l’ampleur de la catastrophe, les secouristes refusent de perdre espoir. Ils savent que lors d’accidents similaires, des personnes ont pu être retrouvées vivantes jusqu’à une semaine après les faits. Chaque minute compte désormais pour tenter d’arracher des vies aux décombres.
Toute l’Argentine retient son souffle et prie pour qu’un miracle se produise. Pour que cette station balnéaire, d’ordinaire si paisible et joyeuse, ne sombre pas totalement dans le deuil et la tristesse. Villa Gesell, réputée pour sa douceur de vivre, sa jeunesse insouciante et ses nuits festives, est aujourd’hui en état de choc. Combien de temps lui faudra-t-il pour panser ses plaies et se reconstruire ? Nul ne le sait encore. Mais une chose est sûre : plus rien ne sera jamais comme avant.
D’après une source proche de l’enquête, ce chantier illégal avait déjà été stoppé une première fois en août dernier par la municipalité. Seuls des travaux superficiels, comme de la peinture ou des revêtements de sol, avaient depuis été réautorisés. Mais il semblerait que des modifications de structure plus profondes aient été réalisées en toute illégalité dans la partie qui s’est effondrée.
Une dalle percée pour installer un ascenseur ?
Le président de l’association des hôteliers de Villa Gesell a même confié aux médias avoir visité l’hôtel il y a une dizaine de jours. Et ce qu’il y a vu l’a profondément choqué. Selon lui, les propriétaires auraient fait percer la dalle d’un deuxième étage dans le but d’y installer un ascenseur. Un acte totalement irresponsable qui pourrait être à l’origine de la tragédie.
Trois personnes, dont le chef de chantier et deux maçons, ont d’ores et déjà été placées en garde à vue. L’enquête ne fait que commencer mais elle devra déterminer les responsabilités de chacun dans ce drame qui endeuille toute une communauté.
Un immeuble “tombé sur lui-même”
Sur place, c’est la consternation qui domine. Javier Alonso, le ministre de la Sécurité de la province de Buenos Aires, a décrit une scène apocalyptique. Selon lui, l’immeuble a littéralement “implosé” et est “tombé sur lui-même”. Les trois derniers étages de la tour de dix étages se sont effondrés sur le bâtiment adjacent, l’écrasant à 25%.
Les voisins ont entendu un craquement, une vibration dans le sol et quelques minutes plus tard, ça s’est effondré.
Javier Alonso, ministre de la Sécurité de la province de Buenos Aires
C’est d’ailleurs dans ce bâtiment voisin qu’ont été retrouvées les deux premières victimes. Un octogénaire qui a tragiquement perdu la vie, et une septuagénaire grièvement blessée qui a dû être héliportée en urgence vers l’hôpital.
Une quête éperdue pour retrouver les disparus
Mais le plus dur reste à venir pour les secouristes. Car entre 7 et 9 personnes manqueraient toujours à l’appel selon les estimations. Il s’agirait principalement d’ouvriers qui travaillaient sur le chantier clandestin au moment du drame. Leurs proches, effondrés, attendent désespérément des nouvelles.
Silvana Perhauc, qui se présente comme la mère de l’un des disparus, lance un appel déchirant :
Le temps passe, mais moi je veux mon petit vivant, je veux mon fils vivant, entier !
Silvana Perhauc, mère d’un ouvrier porté disparu
Malheureusement, les autorités ont d’ores et déjà prévenu que les opérations de recherche seraient longues et délicates. Plusieurs couches de gravats doivent encore être ôtées, et le tout doit se faire à la main pour ne pas risquer d’écraser d’éventuels survivants. Un travail de fourmi, délicat et éprouvant, qui demandera des heures, voire des jours d’efforts.
L’espoir d’un miracle
Malgré l’ampleur de la catastrophe, les secouristes refusent de perdre espoir. Ils savent que lors d’accidents similaires, des personnes ont pu être retrouvées vivantes jusqu’à une semaine après les faits. Chaque minute compte désormais pour tenter d’arracher des vies aux décombres.
Toute l’Argentine retient son souffle et prie pour qu’un miracle se produise. Pour que cette station balnéaire, d’ordinaire si paisible et joyeuse, ne sombre pas totalement dans le deuil et la tristesse. Villa Gesell, réputée pour sa douceur de vivre, sa jeunesse insouciante et ses nuits festives, est aujourd’hui en état de choc. Combien de temps lui faudra-t-il pour panser ses plaies et se reconstruire ? Nul ne le sait encore. Mais une chose est sûre : plus rien ne sera jamais comme avant.