Le canton de Bâle-Ville, au nord de la Suisse, se prépare à un référendum haut en couleurs au mois de novembre prochain. L’objet du débat ? L’accueil très convoité de l’Eurovision 2025 suite à la victoire retentissante du chanteur helvétique Nemo lors de l’édition 2024. Mais cette opportunité de briller sous les projecteurs divise, et des opposants ont réussi à réunir suffisamment de signatures pour soumettre la question au vote populaire.
Nemo, le triomphe inattendu qui bouscule la Suisse
Tout a commencé avec la victoire surprise de Nemo, un artiste non binaire engagé, qui a offert à la Suisse le privilège d’organiser le plus grand concours de chanson au monde en mai 2025. Un honneur qui ne pouvait laisser le pays indifférent. Bâle a rapidement été préférée à Genève pour accueillir l’événement, mais c’était sans compter sur la tradition helvétique du droit de regard des électeurs sur l’utilisation des fonds publics.
L’UDF monte au créneau contre l’Eurovision
L’Union démocratique fédérale (UDF), un petit parti qui se revendique comme le défenseur des “valeurs chrétiennes intemporelles”, a immédiatement saisi l’occasion pour lancer un référendum contre les crédits prévus par Bâle. Selon des sources proches du dossier, l’UDF reproche à l’Eurovision d’être “un événement de propagande” en faveur notamment de la communauté LGBT+.
Le parti ultra-conservateur va plus loin en accusant le concours de rendre “acceptables” des sujets sensibles comme l’antisémitisme, pointant du doigt la polémique sur la présence d’Israël cette année, mais aussi le satanisme en référence à la prestation jugée subversive de l’Irlande. Des arguments chocs pour tenter de faire basculer l’opinion.
37,5 millions de francs suisses en jeu
Au cœur de la polémique, le nerf de la guerre : le budget faramineux de 37,5 millions de francs suisses (un montant équivalent en euros) que Bâle devra débourser pour participer aux frais d’organisation. Un investissement que l’UDF juge déraisonnable, estimant que cet argent pourrait être bien mieux utilisé ailleurs.
Un symbole fort pour la Suisse
Au-delà des considérations financières, l’organisation de l’Eurovision revêt une dimension symbolique forte pour la Suisse. Le pays avait déjà accueilli la toute première édition en 1956 à Lugano, puis une seconde fois en 1989 à Lausanne après la victoire de Céline Dion l’année précédente.
Avec le triomphe de Nemo et sa proposition artistique avant-gardiste, la Suisse a l’occasion de montrer un visage moderne et progressiste sur la scène internationale. Un enjeu d’image qui transcende les clivages politiques habituels.
Bâle retient son souffle
Alors que les vérifications sur la validité des signatures sont en cours, Bâle se prépare à vivre un automne électrique. Si le référendum est confirmé, les citoyens seront appelés aux urnes le 24 novembre pour trancher cette question qui passionne et divise.
D’un côté, les partisans de l’Eurovision mettent en avant les retombées économiques et touristiques de l’événement, ainsi que l’opportunité unique de promouvoir la créativité et l’ouverture de la Suisse. De l’autre, les opposants dénoncent un gaspillage d’argent public et un agenda idéologique contraire aux valeurs traditionnelles.
Dans ce climat de tension, une certitude demeure : tous les regards seront braqués sur Bâle en novembre prochain. Le suspense est à son comble pour savoir si la cité rhénane vivra bien au rythme de l’Eurovision en 2025 ou si les électeurs en décideront autrement. Rendez-vous dans les urnes pour connaître le verdict final de ce référendum aux allures de saga nationale !
Pourtant, le parlement cantonal avait approuvé ce budget à une majorité écrasante en septembre dernier, même la droite radicale de l’UDC s’y ralliant malgré ses critiques initiales. Mais l’UDF ne désarme pas et a réussi son pari en collectant plus du double des signatures requises pour déclencher un référendum.
Un symbole fort pour la Suisse
Au-delà des considérations financières, l’organisation de l’Eurovision revêt une dimension symbolique forte pour la Suisse. Le pays avait déjà accueilli la toute première édition en 1956 à Lugano, puis une seconde fois en 1989 à Lausanne après la victoire de Céline Dion l’année précédente.
Avec le triomphe de Nemo et sa proposition artistique avant-gardiste, la Suisse a l’occasion de montrer un visage moderne et progressiste sur la scène internationale. Un enjeu d’image qui transcende les clivages politiques habituels.
Bâle retient son souffle
Alors que les vérifications sur la validité des signatures sont en cours, Bâle se prépare à vivre un automne électrique. Si le référendum est confirmé, les citoyens seront appelés aux urnes le 24 novembre pour trancher cette question qui passionne et divise.
D’un côté, les partisans de l’Eurovision mettent en avant les retombées économiques et touristiques de l’événement, ainsi que l’opportunité unique de promouvoir la créativité et l’ouverture de la Suisse. De l’autre, les opposants dénoncent un gaspillage d’argent public et un agenda idéologique contraire aux valeurs traditionnelles.
Dans ce climat de tension, une certitude demeure : tous les regards seront braqués sur Bâle en novembre prochain. Le suspense est à son comble pour savoir si la cité rhénane vivra bien au rythme de l’Eurovision en 2025 ou si les électeurs en décideront autrement. Rendez-vous dans les urnes pour connaître le verdict final de ce référendum aux allures de saga nationale !
Pourtant, le parlement cantonal avait approuvé ce budget à une majorité écrasante en septembre dernier, même la droite radicale de l’UDC s’y ralliant malgré ses critiques initiales. Mais l’UDF ne désarme pas et a réussi son pari en collectant plus du double des signatures requises pour déclencher un référendum.
Un symbole fort pour la Suisse
Au-delà des considérations financières, l’organisation de l’Eurovision revêt une dimension symbolique forte pour la Suisse. Le pays avait déjà accueilli la toute première édition en 1956 à Lugano, puis une seconde fois en 1989 à Lausanne après la victoire de Céline Dion l’année précédente.
Avec le triomphe de Nemo et sa proposition artistique avant-gardiste, la Suisse a l’occasion de montrer un visage moderne et progressiste sur la scène internationale. Un enjeu d’image qui transcende les clivages politiques habituels.
Bâle retient son souffle
Alors que les vérifications sur la validité des signatures sont en cours, Bâle se prépare à vivre un automne électrique. Si le référendum est confirmé, les citoyens seront appelés aux urnes le 24 novembre pour trancher cette question qui passionne et divise.
D’un côté, les partisans de l’Eurovision mettent en avant les retombées économiques et touristiques de l’événement, ainsi que l’opportunité unique de promouvoir la créativité et l’ouverture de la Suisse. De l’autre, les opposants dénoncent un gaspillage d’argent public et un agenda idéologique contraire aux valeurs traditionnelles.
Dans ce climat de tension, une certitude demeure : tous les regards seront braqués sur Bâle en novembre prochain. Le suspense est à son comble pour savoir si la cité rhénane vivra bien au rythme de l’Eurovision en 2025 ou si les électeurs en décideront autrement. Rendez-vous dans les urnes pour connaître le verdict final de ce référendum aux allures de saga nationale !