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Cambriolage à Bayonne : Deux migrants pris sur le fait

À Bayonne, le cauchemar d'une jeune femme réveillée par l'odeur de sueur de deux cambrioleurs migrants en pleine nuit. L'un d'eux aurait dû être expulsé depuis plus d'un mois. La victime est...

Un réveil en sursaut au beau milieu de la nuit. Une odeur de transpiration envahissant soudain la chambre. La peur au ventre en réalisant que des intrus se sont introduits chez soi. C’est le cauchemar qu’a vécu une jeune Bayonnaise dans la nuit du 21 au 22 octobre dernier, victime de deux cambrioleurs dont l’un n’aurait pas dû se trouver sur le territoire français.

Réveillée par l’odeur de sueur des cambrioleurs

Selon le récit de son avocate au tribunal, cette jeune femme a été brutalement tirée de son sommeil cette nuit-là par une présence inhabituelle dans son domicile. Mais ce n’est pas un bruit qui l’a alertée. C’est une odeur, celle de la transpiration des deux individus qui venaient de s’introduire chez elle après avoir fracturé un volet.

Elle ne dort plus. Dès qu’on évoque les faits, elle se met à pleurer. Elle a pensé au pire tout de suite. Une agression physique ou sexuelle. Cet aspect est extrêmement traumatique pour elle.

– L’avocate de la victime

Les deux intrus, un mineur et un jeune de 19 ans, ont rapidement été interpellés par la police. Mais cette mésaventure laissera des traces indélébiles chez la victime, comme l’a souligné son conseil. Choquée et tétanisée, elle en garde des séquelles psychologiques importantes.

Un récidiviste sous le coup d’une OQTF

Mais ce qui a ajouté à l’incompréhension et à la colère de la jeune femme, c’est le profil d’un des cambrioleurs. Le majeur, un migrant, avait reçu une Obligation de Quitter le Territoire Français (OQTF) depuis plus d’un mois. Il aurait donc dû être expulsé du pays et n’aurait pas dû pouvoir ainsi violer son domicile.

Il s’agissait en outre d’un récidiviste, également jugé pour un autre vol au tribunal de Bayonne. D’après des sources judiciaires, il a été condamné à deux mois de prison, ainsi qu’à cinq ans d’interdiction de territoire. Une peine insuffisante aux yeux de nombreux Bayonnais, choqués par cette affaire.

Des OQTF rarement exécutées

Ce cambriolage met en lumière un problème récurrent, celui des OQTF rarement mises en application. Malgré l’injonction de quitter le territoire, de nombreux étrangers en situation irrégulière passent entre les mailles du filet et restent en France pendant des mois, voire des années.

Une situation ubuesque qui permet à certains délinquants multirécidivistes de poursuivre leurs méfaits en toute impunité. Les victimes, elles, doivent composer avec un traumatisme et un profond sentiment d’injustice face à une réponse pénale souvent trop clémente.

Cette affaire soulève une nouvelle fois la question de l’efficacité de la politique migratoire et de la fermeté judiciaire envers les délinquants étrangers. Combien de cambriolages, d’agressions et de drames auraient pu être évités si ces OQTF étaient réellement suivies d’effet ? Combien de vies auraient pu être préservées sans la présence de ces récidivistes qui n’ont plus leur place sur notre sol ?

On ne peut plus tolérer cette délinquance importée, nourrie par un laxisme migratoire et judiciaire sans fin. Il est temps de protéger nos concitoyens et d’appliquer une tolérance zéro envers les clandestins voyous !

– Un habitant de Bayonne

Le réveil a été brutal pour cette Bayonnaise. Mais il doit aussi sonner comme un électrochoc pour nos dirigeants. Car derrière chaque statistique, chaque OQTF non appliquée, il y a des victimes meurtries à vie, qui ont perdu toute confiance dans leur pays censé les protéger.

Une situation ubuesque qui permet à certains délinquants multirécidivistes de poursuivre leurs méfaits en toute impunité. Les victimes, elles, doivent composer avec un traumatisme et un profond sentiment d’injustice face à une réponse pénale souvent trop clémente.

Cette affaire soulève une nouvelle fois la question de l’efficacité de la politique migratoire et de la fermeté judiciaire envers les délinquants étrangers. Combien de cambriolages, d’agressions et de drames auraient pu être évités si ces OQTF étaient réellement suivies d’effet ? Combien de vies auraient pu être préservées sans la présence de ces récidivistes qui n’ont plus leur place sur notre sol ?

On ne peut plus tolérer cette délinquance importée, nourrie par un laxisme migratoire et judiciaire sans fin. Il est temps de protéger nos concitoyens et d’appliquer une tolérance zéro envers les clandestins voyous !

– Un habitant de Bayonne

Le réveil a été brutal pour cette Bayonnaise. Mais il doit aussi sonner comme un électrochoc pour nos dirigeants. Car derrière chaque statistique, chaque OQTF non appliquée, il y a des victimes meurtries à vie, qui ont perdu toute confiance dans leur pays censé les protéger.

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