Au cœur de la tourmente politique qui secoue le Venezuela, une figure émerge, portant haut les valeurs de liberté et de démocratie. Maria Corina Machado, visage et âme de l’opposition vénézuélienne, vient de recevoir le prix Sakharov, la plus haute distinction décernée par l’Union Européenne pour la défense des droits humains. Un hommage à son parcours exceptionnel et à son engagement sans faille.
Une opposition menée d’une main de fer malgré la clandestinité
Depuis la réélection controversée de Nicolas Maduro à la présidence du Venezuela, Maria Corina Machado vit dans la clandestinité. Mais cela ne l’empêche pas de mener d’une main de fer l’opposition, aux côtés d’Edmundo Gonzalez Urrutia, lui aussi lauréat du prix Sakharov. Pour Maria Corina Machado, cette récompense est une reconnaissance pour “chaque prisonnier politique, demandeur d’asile, exilé et chaque citoyen qui se bat pour ce qu’il pense”.
Au péril de sa liberté, elle a choisi de rester au Venezuela pendant que d’autres leaders de l’opposition comme Edmundo Gonzalez Urrutia ont été forcés à l’exil. Dans un entretien accordé à l’AFP fin septembre, elle expliquait vivre parfois “des semaines sans contact humain” mais vouloir rester là “où elle se sent le plus utile pour la lutte”.
L’âme et le visage de l’opposition lors des primaires
La notoriété de Maria Corina Machado a explosé lors des primaires de l’opposition en octobre 2023. Recueillant plus de 90% des voix, elle a mené une démonstration de force avec 3 millions de votants. Rapidement devenue la favorite des sondages, elle a été surnommée la “libertadora” en hommage au “libertador” Simon Bolivar, figure emblématique de l’indépendance vénézuélienne.
Déclarée inéligible, elle s’est alors muée en porte-parole de la candidature d’Edmundo Gonzalez Urrutia. Son nom n’était pas sur les bulletins mais c’est elle qui était le visage et l’âme de l’opposition, sillonnant inlassablement le pays pour faire campagne, interdite de prendre l’avion.
Malgré les promesses de changement portées par Maria Corina Machado, Nicolas Maduro a été proclamé vainqueur avec 52% des voix par le Conseil national électoral, considéré aux ordres du pouvoir. Ce dernier n’a pas publié le détail des votes, se disant victime d’un piratage informatique.
De son côté, l’opposition assure qu’Edmundo Gonzalez Urrutia a remporté le scrutin avec plus de 67% des voix, s’appuyant sur des procès-verbaux des bureaux de vote qu’elle a collectés. Une initiative qui revient à Maria Corina Machado, qui avait demandé à ses troupes d’organiser cette collecte en amont du scrutin.
Un fort soutien international
Le combat de Maria Corina Machado lui a valu un fort soutien international, de nombreux pays dont les États-Unis et les pays européens ne reconnaissant pas la réélection de Nicolas Maduro. Une position renforcée par l’attribution du prix Sakharov à la cheffe de l’opposition vénézuélienne.
Avec ses propositions pour redresser l’économie vénézuélienne, comme la privatisation de la compagnie pétrolière nationale PDVSA, et sa volonté de faire revenir au pays les millions de Vénézuéliens ayant fui la crise, Maria Corina Machado incarne l’espoir d’un changement profond. Un espoir qu’elle garde chevillé au corps, malgré la situation, promettant de “libérer le pays et ramener les enfants à la maison”.
Un parcours politique semé d’embûches
Ingénieure de profession, Maria Corina Machado est entrée en politique en 2002 avec la création de l’association Sumate (Rejoins-nous) qui réclamait un référendum pour révoquer le président Chavez. Un engagement qui lui a valu d’être accusée de trahison et de recevoir des menaces de mort, la poussant à envoyer ses enfants en bas âge vivre aux États-Unis.
Réputée franche et sans demi-mesure, ces qualités qui selon les experts ont catapulté sa popularité, Maria Corina Machado reste fidèle au mantra scandé pendant sa campagne : “jusqu’au bout”. Un message d’espoir et de détermination pour tous ceux qui aspirent à un avenir démocratique pour le Venezuela.
Je suis là où je me sens le plus utile pour la lutte.
– Maria Corina Machado, dans un entretien à l’AFP en septembre 2024
Avec l’attribution du prix Sakharov, c’est toute la lumière qui est faite sur la lutte acharnée menée par Maria Corina Machado et l’opposition vénézuélienne pour restaurer la démocratie dans leur pays. Un combat loin d’être terminé mais qui, porté par l’abnégation et le courage de femmes et d’hommes comme Maria Corina Machado, garde tout son sens et son espoir.
Malgré les promesses de changement portées par Maria Corina Machado, Nicolas Maduro a été proclamé vainqueur avec 52% des voix par le Conseil national électoral, considéré aux ordres du pouvoir. Ce dernier n’a pas publié le détail des votes, se disant victime d’un piratage informatique.
De son côté, l’opposition assure qu’Edmundo Gonzalez Urrutia a remporté le scrutin avec plus de 67% des voix, s’appuyant sur des procès-verbaux des bureaux de vote qu’elle a collectés. Une initiative qui revient à Maria Corina Machado, qui avait demandé à ses troupes d’organiser cette collecte en amont du scrutin.
Un fort soutien international
Le combat de Maria Corina Machado lui a valu un fort soutien international, de nombreux pays dont les États-Unis et les pays européens ne reconnaissant pas la réélection de Nicolas Maduro. Une position renforcée par l’attribution du prix Sakharov à la cheffe de l’opposition vénézuélienne.
Avec ses propositions pour redresser l’économie vénézuélienne, comme la privatisation de la compagnie pétrolière nationale PDVSA, et sa volonté de faire revenir au pays les millions de Vénézuéliens ayant fui la crise, Maria Corina Machado incarne l’espoir d’un changement profond. Un espoir qu’elle garde chevillé au corps, malgré la situation, promettant de “libérer le pays et ramener les enfants à la maison”.
Un parcours politique semé d’embûches
Ingénieure de profession, Maria Corina Machado est entrée en politique en 2002 avec la création de l’association Sumate (Rejoins-nous) qui réclamait un référendum pour révoquer le président Chavez. Un engagement qui lui a valu d’être accusée de trahison et de recevoir des menaces de mort, la poussant à envoyer ses enfants en bas âge vivre aux États-Unis.
Réputée franche et sans demi-mesure, ces qualités qui selon les experts ont catapulté sa popularité, Maria Corina Machado reste fidèle au mantra scandé pendant sa campagne : “jusqu’au bout”. Un message d’espoir et de détermination pour tous ceux qui aspirent à un avenir démocratique pour le Venezuela.
Je suis là où je me sens le plus utile pour la lutte.
– Maria Corina Machado, dans un entretien à l’AFP en septembre 2024
Avec l’attribution du prix Sakharov, c’est toute la lumière qui est faite sur la lutte acharnée menée par Maria Corina Machado et l’opposition vénézuélienne pour restaurer la démocratie dans leur pays. Un combat loin d’être terminé mais qui, porté par l’abnégation et le courage de femmes et d’hommes comme Maria Corina Machado, garde tout son sens et son espoir.
Controverses sur les résultats de l’élection présidentielle
Malgré les promesses de changement portées par Maria Corina Machado, Nicolas Maduro a été proclamé vainqueur avec 52% des voix par le Conseil national électoral, considéré aux ordres du pouvoir. Ce dernier n’a pas publié le détail des votes, se disant victime d’un piratage informatique.
De son côté, l’opposition assure qu’Edmundo Gonzalez Urrutia a remporté le scrutin avec plus de 67% des voix, s’appuyant sur des procès-verbaux des bureaux de vote qu’elle a collectés. Une initiative qui revient à Maria Corina Machado, qui avait demandé à ses troupes d’organiser cette collecte en amont du scrutin.
Un fort soutien international
Le combat de Maria Corina Machado lui a valu un fort soutien international, de nombreux pays dont les États-Unis et les pays européens ne reconnaissant pas la réélection de Nicolas Maduro. Une position renforcée par l’attribution du prix Sakharov à la cheffe de l’opposition vénézuélienne.
Avec ses propositions pour redresser l’économie vénézuélienne, comme la privatisation de la compagnie pétrolière nationale PDVSA, et sa volonté de faire revenir au pays les millions de Vénézuéliens ayant fui la crise, Maria Corina Machado incarne l’espoir d’un changement profond. Un espoir qu’elle garde chevillé au corps, malgré la situation, promettant de “libérer le pays et ramener les enfants à la maison”.
Un parcours politique semé d’embûches
Ingénieure de profession, Maria Corina Machado est entrée en politique en 2002 avec la création de l’association Sumate (Rejoins-nous) qui réclamait un référendum pour révoquer le président Chavez. Un engagement qui lui a valu d’être accusée de trahison et de recevoir des menaces de mort, la poussant à envoyer ses enfants en bas âge vivre aux États-Unis.
Réputée franche et sans demi-mesure, ces qualités qui selon les experts ont catapulté sa popularité, Maria Corina Machado reste fidèle au mantra scandé pendant sa campagne : “jusqu’au bout”. Un message d’espoir et de détermination pour tous ceux qui aspirent à un avenir démocratique pour le Venezuela.
Je suis là où je me sens le plus utile pour la lutte.
– Maria Corina Machado, dans un entretien à l’AFP en septembre 2024
Avec l’attribution du prix Sakharov, c’est toute la lumière qui est faite sur la lutte acharnée menée par Maria Corina Machado et l’opposition vénézuélienne pour restaurer la démocratie dans leur pays. Un combat loin d’être terminé mais qui, porté par l’abnégation et le courage de femmes et d’hommes comme Maria Corina Machado, garde tout son sens et son espoir.
Controverses sur les résultats de l’élection présidentielle
Malgré les promesses de changement portées par Maria Corina Machado, Nicolas Maduro a été proclamé vainqueur avec 52% des voix par le Conseil national électoral, considéré aux ordres du pouvoir. Ce dernier n’a pas publié le détail des votes, se disant victime d’un piratage informatique.
De son côté, l’opposition assure qu’Edmundo Gonzalez Urrutia a remporté le scrutin avec plus de 67% des voix, s’appuyant sur des procès-verbaux des bureaux de vote qu’elle a collectés. Une initiative qui revient à Maria Corina Machado, qui avait demandé à ses troupes d’organiser cette collecte en amont du scrutin.
Un fort soutien international
Le combat de Maria Corina Machado lui a valu un fort soutien international, de nombreux pays dont les États-Unis et les pays européens ne reconnaissant pas la réélection de Nicolas Maduro. Une position renforcée par l’attribution du prix Sakharov à la cheffe de l’opposition vénézuélienne.
Avec ses propositions pour redresser l’économie vénézuélienne, comme la privatisation de la compagnie pétrolière nationale PDVSA, et sa volonté de faire revenir au pays les millions de Vénézuéliens ayant fui la crise, Maria Corina Machado incarne l’espoir d’un changement profond. Un espoir qu’elle garde chevillé au corps, malgré la situation, promettant de “libérer le pays et ramener les enfants à la maison”.
Un parcours politique semé d’embûches
Ingénieure de profession, Maria Corina Machado est entrée en politique en 2002 avec la création de l’association Sumate (Rejoins-nous) qui réclamait un référendum pour révoquer le président Chavez. Un engagement qui lui a valu d’être accusée de trahison et de recevoir des menaces de mort, la poussant à envoyer ses enfants en bas âge vivre aux États-Unis.
Réputée franche et sans demi-mesure, ces qualités qui selon les experts ont catapulté sa popularité, Maria Corina Machado reste fidèle au mantra scandé pendant sa campagne : “jusqu’au bout”. Un message d’espoir et de détermination pour tous ceux qui aspirent à un avenir démocratique pour le Venezuela.
Je suis là où je me sens le plus utile pour la lutte.
– Maria Corina Machado, dans un entretien à l’AFP en septembre 2024
Avec l’attribution du prix Sakharov, c’est toute la lumière qui est faite sur la lutte acharnée menée par Maria Corina Machado et l’opposition vénézuélienne pour restaurer la démocratie dans leur pays. Un combat loin d’être terminé mais qui, porté par l’abnégation et le courage de femmes et d’hommes comme Maria Corina Machado, garde tout son sens et son espoir.