Alors qu’il devait comparaître en août 2025 devant un tribunal californien pour une affaire de viol sur mineur datant de 1973, Roman Polanski vient d’éviter ce procès très attendu grâce à un accord trouvé avec la plaignante. Une issue qui soulage sans doute le cinéaste de 91 ans, mais qui ne gomme en rien les accusations qui le poursuivent depuis des décennies.
Un procès annulé après un accord entre les parties
C’est l’avocat américain de Roman Polanski, Me Alexander Rufus-Isaacs, qui a annoncé mardi à l’AFP que le procès prévu en août 2025 n’aurait finalement pas lieu. « L’affaire a été réglée durant l’été après satisfaction mutuelle des parties », a-t-il déclaré par e-mail, sans donner plus de détails sur la nature de cet accord.
Selon la plainte déposée en juin 2023, une adolescente de 13 ans aurait été agressée sexuellement par Roman Polanski à son domicile en 1973 après qu’il l’a fait boire de l’alcool. L’avocat de la victime présumée, Gloria Allred, figure du mouvement #MeToo, avait affirmé que « l’accusé Polanski a retiré les vêtements de la plaignante et l’a ensuite agressée sexuellement, provoquant chez elle des souffrances physiques et émotionnelles immenses ».
Polanski reste un fugitif aux États-Unis
Cette affaire remonte à près de 50 ans mais elle n’avait été rendue publique qu’en 2017, avant de faire l’objet d’une plainte juste avant la clôture d’une fenêtre temporelle permettant de porter plainte pour des viols et agressions sexuelles anciens en Californie.
L’annulation de ce procès est donc une épine en moins dans le pied de Roman Polanski, même si elle ne change pas grand chose à sa situation. Toujours sous le coup d’un mandat d’arrêt aux États-Unis, il reste confiné en Europe où il peut continuer à travailler avec un certain succès. Son dernier film « L’Accusé » a même représenté la France aux Oscars 2024.
Cependant, l’ombre des accusations et de la réprobation publique continuera de planer sur sa filmographie. De plus en plus de voix s’élèvent pour dire que le talent ne peut excuser les fautes et les crimes. Le cas Polanski cristallise ce débat sur la séparation entre l’homme et l’artiste. Même si la justice ne semble plus en mesure de le rattraper, le tribunal de l’opinion publique, lui, a déjà tranché.
L’annulation de ce procès est donc une épine en moins dans le pied de Roman Polanski, même si elle ne change pas grand chose à sa situation. Toujours sous le coup d’un mandat d’arrêt aux États-Unis, il reste confiné en Europe où il peut continuer à travailler avec un certain succès. Son dernier film « L’Accusé » a même représenté la France aux Oscars 2024.
Cependant, l’ombre des accusations et de la réprobation publique continuera de planer sur sa filmographie. De plus en plus de voix s’élèvent pour dire que le talent ne peut excuser les fautes et les crimes. Le cas Polanski cristallise ce débat sur la séparation entre l’homme et l’artiste. Même si la justice ne semble plus en mesure de le rattraper, le tribunal de l’opinion publique, lui, a déjà tranché.
Même si ce procès n’aura finalement pas lieu, la présence de Roman Polanski était de toute façon plus qu’hypothétique. En effet, le réalisateur franco-polonais, considéré comme un fugitif par la justice américaine, n’a plus remis les pieds aux États-Unis depuis sa fuite en 1978 alors qu’il risquait une peine de prison pour des relations sexuelles illégales avec une mineure de 13 ans.
Une dizaine d’accusations pesant sur le cinéaste
Depuis plus de 40 ans, Roman Polanski est visé par un mandat d’arrêt international et a échappé à plusieurs procédures d’extradition. L’affaire pour laquelle il vient de trouver un accord n’était malheureusement pas un cas isolé. Au fil de sa carrière, le réalisateur, qui a remporté trois Oscars et une Palme d’Or, a été accusé d’agressions sexuelles et de viols par une dizaine de femmes, des accusations qu’il a toujours niées.
Malgré ces lourds soupçons, Roman Polanski a continué à tourner des films et à être salué par une partie de l’industrie du cinéma. Mais avec l’avènement du mouvement #MeToo et une prise de conscience croissante des violences faites aux femmes, la position du cinéaste est devenue de plus en plus intenable. Même en France où il réside, Roman Polanski est devenu très controversé, certains appelant à un boycott de ses films.
Les conséquences limitées pour sa carrière
L’annulation de ce procès est donc une épine en moins dans le pied de Roman Polanski, même si elle ne change pas grand chose à sa situation. Toujours sous le coup d’un mandat d’arrêt aux États-Unis, il reste confiné en Europe où il peut continuer à travailler avec un certain succès. Son dernier film « L’Accusé » a même représenté la France aux Oscars 2024.
Cependant, l’ombre des accusations et de la réprobation publique continuera de planer sur sa filmographie. De plus en plus de voix s’élèvent pour dire que le talent ne peut excuser les fautes et les crimes. Le cas Polanski cristallise ce débat sur la séparation entre l’homme et l’artiste. Même si la justice ne semble plus en mesure de le rattraper, le tribunal de l’opinion publique, lui, a déjà tranché.
Même si ce procès n’aura finalement pas lieu, la présence de Roman Polanski était de toute façon plus qu’hypothétique. En effet, le réalisateur franco-polonais, considéré comme un fugitif par la justice américaine, n’a plus remis les pieds aux États-Unis depuis sa fuite en 1978 alors qu’il risquait une peine de prison pour des relations sexuelles illégales avec une mineure de 13 ans.
Une dizaine d’accusations pesant sur le cinéaste
Depuis plus de 40 ans, Roman Polanski est visé par un mandat d’arrêt international et a échappé à plusieurs procédures d’extradition. L’affaire pour laquelle il vient de trouver un accord n’était malheureusement pas un cas isolé. Au fil de sa carrière, le réalisateur, qui a remporté trois Oscars et une Palme d’Or, a été accusé d’agressions sexuelles et de viols par une dizaine de femmes, des accusations qu’il a toujours niées.
Malgré ces lourds soupçons, Roman Polanski a continué à tourner des films et à être salué par une partie de l’industrie du cinéma. Mais avec l’avènement du mouvement #MeToo et une prise de conscience croissante des violences faites aux femmes, la position du cinéaste est devenue de plus en plus intenable. Même en France où il réside, Roman Polanski est devenu très controversé, certains appelant à un boycott de ses films.
Les conséquences limitées pour sa carrière
L’annulation de ce procès est donc une épine en moins dans le pied de Roman Polanski, même si elle ne change pas grand chose à sa situation. Toujours sous le coup d’un mandat d’arrêt aux États-Unis, il reste confiné en Europe où il peut continuer à travailler avec un certain succès. Son dernier film « L’Accusé » a même représenté la France aux Oscars 2024.
Cependant, l’ombre des accusations et de la réprobation publique continuera de planer sur sa filmographie. De plus en plus de voix s’élèvent pour dire que le talent ne peut excuser les fautes et les crimes. Le cas Polanski cristallise ce débat sur la séparation entre l’homme et l’artiste. Même si la justice ne semble plus en mesure de le rattraper, le tribunal de l’opinion publique, lui, a déjà tranché.