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Châteauroux : Lair et Plasil Évincés, Ferreira Assure l’Intérim

Séisme à la Berri : Lair et Plasil débarqués, Ferreira en pompier de service. La fin d'une ère ou le début du renouveau pour Châteauroux qui navigue en eaux troubles en National ? L'avenir nous le dira mais une chose est sûre, les Castelroussins jouent gros...

C’est un véritable coup de tonnerre qui vient de s’abattre sur la Berrichonne de Châteauroux. Le club de National, en proie à de sérieuses difficultés sportives depuis l’entame de la saison, a décidé de se séparer de son entraîneur Patrice Lair ainsi que de son adjoint Jaroslav Plasil. Une décision radicale prise d’un commun accord entre les différentes parties, selon des sources proches du dossier, qui témoigne de l’urgence de la situation dans le Berry.

Un bilan catastrophique

Il faut dire que le bilan de Patrice Lair à la tête de la Berrichonne est pour le moins catastrophique. Nommé en juillet dernier avec pour mission de redresser la barre après une saison délicate, l’ancien entraîneur de l’équipe féminine de l’Olympique Lyonnais n’aura tenu que huit petites rencontres sur le banc castelroussin. Huit matches soldés par un maigre bilan de deux victoires pour six défaites, dont trois lors des trois dernières journées. Des résultats qui placent actuellement Châteauroux à la dernière place du classement de National, avec la pire attaque et la pire défense du championnat. Un constat d’échec qui ne pouvait rester sans conséquence.

Des relations tendues

Outre les piètres performances sportives, Patrice Lair semblait également éprouver quelques difficultés à fédérer son groupe. Selon certaines indiscrétions, l’ambiance au sein du vestiaire berrichon s’était nettement dégradée ces dernières semaines, plusieurs cadres de l’équipe n’hésitant plus à remettre ouvertement en cause les choix de leur entraîneur. Un climat délétère qui a sans doute précipité la décision des dirigeants castelroussins d’écourter l’aventure avec leur technicien.

Ferreira en pompier de service

Pour assurer l’intérim suite au départ de Lair et Plasil, la Berrichonne a décidé de faire appel à Armindo Ferreira. Actuellement en charge de l’équipe réserve évoluant en National 3, le technicien portugais connait parfaitement la maison castelroussine pour y officier depuis plusieurs saisons. Dès ce lundi, il a pris en main le groupe professionnel à l’entraînement en vue du périlleux déplacement à Versailles prévu mercredi. Un baptême du feu qui s’annonce d’ores et déjà crucial pour l’avenir des Berrichons.

Un électrochoc nécessaire ?

Si le limogeage de Patrice Lair peut paraître brutal au vu de la brièveté de son passage sur le banc de Châteauroux, il témoigne surtout de l’inquiétude qui règne actuellement au sein du club. Englué dans les profondeurs du classement après seulement huit journées, les Castelroussins se devaient de réagir sous peine de voir leur saison virer au cauchemar. Reste à savoir si ce changement de direction constituera l’électrochoc espéré pour relancer une équipe qui semble avoir perdu tout repère.

On attendait mieux, c’est certain. Il fallait faire quelque chose. J’espère que cette décision nous permettra de repartir sur de bonnes bases.

Un cadre de l’équipe sous couvert d’anonymat

Une chose est sûre, Armindo Ferreira n’aura pas le droit à l’erreur pour sa première sur le banc berrichon mercredi soir à Versailles. Dans un championnat de National extrêmement dense et homogène, chaque point comptera dans l’optique du maintien. Et le nouveau coach intérimaire de la Berri le sait mieux que quiconque, lui qui avait déjà été appelé à la rescousse la saison passée avant de réaliser une seconde partie de championnat tonitruante qui avait permis aux siens d’assurer in extremis leur place en National.

Quoi qu’il en soit, ce nouveau coup de tonnerre vient confirmer une tendance de fond qui touche de nombreux clubs professionnels : face aux impératifs de résultats toujours plus pressants et à la marchandisation à outrance du football moderne, la patience n’est plus de mise. Et c’est souvent l’entraîneur qui en fait les frais, parfois de façon prématurée. À Châteauroux comme ailleurs, on attend désormais des miracles immédiats de la part du coach. Une gageure dans un sport où le temps long et la stabilité restent bien souvent les meilleurs gages de réussite.

Pour assurer l’intérim suite au départ de Lair et Plasil, la Berrichonne a décidé de faire appel à Armindo Ferreira. Actuellement en charge de l’équipe réserve évoluant en National 3, le technicien portugais connait parfaitement la maison castelroussine pour y officier depuis plusieurs saisons. Dès ce lundi, il a pris en main le groupe professionnel à l’entraînement en vue du périlleux déplacement à Versailles prévu mercredi. Un baptême du feu qui s’annonce d’ores et déjà crucial pour l’avenir des Berrichons.

Un électrochoc nécessaire ?

Si le limogeage de Patrice Lair peut paraître brutal au vu de la brièveté de son passage sur le banc de Châteauroux, il témoigne surtout de l’inquiétude qui règne actuellement au sein du club. Englué dans les profondeurs du classement après seulement huit journées, les Castelroussins se devaient de réagir sous peine de voir leur saison virer au cauchemar. Reste à savoir si ce changement de direction constituera l’électrochoc espéré pour relancer une équipe qui semble avoir perdu tout repère.

On attendait mieux, c’est certain. Il fallait faire quelque chose. J’espère que cette décision nous permettra de repartir sur de bonnes bases.

Un cadre de l’équipe sous couvert d’anonymat

Une chose est sûre, Armindo Ferreira n’aura pas le droit à l’erreur pour sa première sur le banc berrichon mercredi soir à Versailles. Dans un championnat de National extrêmement dense et homogène, chaque point comptera dans l’optique du maintien. Et le nouveau coach intérimaire de la Berri le sait mieux que quiconque, lui qui avait déjà été appelé à la rescousse la saison passée avant de réaliser une seconde partie de championnat tonitruante qui avait permis aux siens d’assurer in extremis leur place en National.

Quoi qu’il en soit, ce nouveau coup de tonnerre vient confirmer une tendance de fond qui touche de nombreux clubs professionnels : face aux impératifs de résultats toujours plus pressants et à la marchandisation à outrance du football moderne, la patience n’est plus de mise. Et c’est souvent l’entraîneur qui en fait les frais, parfois de façon prématurée. À Châteauroux comme ailleurs, on attend désormais des miracles immédiats de la part du coach. Une gageure dans un sport où le temps long et la stabilité restent bien souvent les meilleurs gages de réussite.

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