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Effroi dans un Flixbus : deux migrants plantent un Slovène au tournevis

Stupeur dans un Flixbus à Bry-sur-Marne : un touriste slovène poignardé au tournevis par deux migrants clandestins, pour leur avoir demandé de baisser le ton. Interpellés puis relâchés malgré leur OQTF, la faillite de l'État pointée du doigt...

C’est une soirée qui a viré au cauchemar dans un Flixbus reliant Paris à Metz lundi soir. Alors que le car traversait la commune de Bry-sur-Marne dans le Val-de-Marne, un passager slovène d’une trentaine d’années, qui voyageait avec sa compagne, a eu le malheur de demander à deux autres voyageurs particulièrement bruyants, installés au fond du bus, de baisser d’un ton. Une remarque qui lui a valu d’être poignardé à coups de tournevis par les deux individus, identifiés comme des migrants clandestins.

Des agresseurs interpellés puis relâchés malgré leur OQTF

L’agression d’une rare violence a suscité l’effroi parmi les autres passagers du bus. Selon une source proche de l’enquête, le couple de Slovènes a d’abord tenté de raisonner pacifiquement les deux migrants, dont le comportement perturbait le voyage. C’est alors que ces derniers se sont rués sur l’homme, le rouant de coups et le blessant avec un tournevis.

Alertés, les policiers sont rapidement intervenus pour interpeller les deux agresseurs. Il s’avère que ceux-ci faisaient déjà l’objet d’une Obligation de Quitter le Territoire Français (OQTF), jamais exécutée. Et malgré la gravité des faits qui leur sont reprochés, ils ont finalement été condamnés à de simples peines de 7 et 6 mois de prison avec sursis, avant d’être remis en liberté ! Une décision qui a suscité l’incompréhension et la colère.

Un énième fait divers impliquant des clandestins

Cette agression ultraviolente n’est malheureusement pas un cas isolé. Ces dernières années, les faits divers impliquant des migrants clandestins se sont multipliés, sans que les pouvoirs publics ne semblent en mesure d’endiguer le phénomène. Il y a quelques semaines, un migrant congolais déjà condamné plus de 30 fois tuait un père de famille à Boussy-Saint-Antoine dans l’Essonne, sans mobile apparent.

Pour de nombreux observateurs, cet énième drame met en lumière la faillite de l’État face au problème des clandestins violents. « Les Français ne sont pas protégés », s’insurge le conseiller régional Charles Aslangul, dénonçant « l’incroyable laxisme » de la justice qui remet en liberté des individus censés être expulsés, au mépris de la sécurité des citoyens.

L’exaspération et l’impuissance face aux violences

En attendant une réponse ferme des autorités, c’est un sentiment d’exaspération et d’impuissance qui prédomine chez les Français, confrontés à la montée des violences commises par des étrangers en situation irrégulière. « On a l’impression que plus rien n’est fait pour nous protéger », déplore Céline, une usagère régulière des transports en commun.

« Avec tous ces clandestins qui sévissent en toute impunité, on a peur de sortir, peur de prendre le bus ou le métro… C’est devenu invivable, il faut que ça cesse ! »

Céline, usagère des transports en commun

De fait, les chiffres officiels de la délinquance révèlent une surreprésentation massive des étrangers parmi les mis en cause, dans quasiment tous les domaines : vols, violences, viols, trafics, homicides… Une réalité explosive le plus souvent passée sous silence, mais vécue au quotidien par les Français.

Entre angélisme et laxisme, l’immobilisme coupable de l’État

Face à cette vague de fond qui déferle sur le pays, les gouvernements successifs affichent un mélange d’angélisme et de laxisme coupable. Comme le prouve le sort réservé aux deux agresseurs du Flixbus, les étrangers délinquants et criminels ne sont quasiment jamais expulsés, même quand ils font l’objet d’une OQTF.

Une faiblesse entretenue au sommet de l’État, y compris par Emmanuel Macron qui vient de revoir drastiquement à la baisse ses objectifs en matière d’exécution des OQTF. Alors qu’il promettait en 2019 l’expulsion de 100% des clandestins, le chef de l’État se contente désormais de viser les seules OQTF visant « les plus dangereux », en réalité une infime minorité.

En attendant, ce sont les Français qui trinquent, livrés à la violence d’une immigration de masse livrée à elle-même. Dans les transports, dans la rue, jusque chez eux… L’agression ultraviolente de ce touriste slovène venu passer des vacances dans l’Hexagone est, hélas, symptomatique d’un pays en proie à un ensauvagement que plus rien ne semble pouvoir arrêter.

Nul doute que ce énième fait divers glaçant alimentera le débat déjà brûlant sur l’immigration et l’insécurité, à l’approche d’échéances électorales cruciales. Plus que jamais, les Français exigent des actes forts pour restaurer leur droit élémentaire à la sécurité. En commençant par l’application réelle et systématique des OQTF envers les clandestins délinquants, avant qu’il ne soit trop tard.

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