Envie d’un voyage dans le temps au cœur de Manhattan ? Le livre “Le fond du port” de Joseph Mitchell, grand reporter du New Yorker dans les années 50, vous embarque dans une flânerie littéraire inoubliable. Récemment réédité en format poche par les Éditions du sous-sol, ce classique de la littérature du réel nous plonge avec élégance dans les rues, les bars et les vies du vieux New York.
La plume ciselée d’un maître du journalisme
Joseph Mitchell, c’est un peu le Balzac de Manhattan. Cet écrivain-reporter légendaire, toujours tiré à quatre épingles, avait un don pour croquer sur le vif l’âme de sa ville. À travers six textes savoureux écrits entre 1944 et 1959, il nous entraîne dans les quartiers populaires de South Street, de Staten Island ou du Bowery, à la rencontre de personnages pittoresques.
Son secret ? Une curiosité insatiable et une patience d’orfèvre pour recueillir les témoignages de ceux qui ont vu le vieux Manhattan changer de visage. Tenanciers de bar, gardiens de cimetière, marins et clochards… Mitchell écoute, consigne, et restitue leurs histoires dans une prose ciselée, avec un art du détail et de l’anecdote qui fait mouche à chaque page.
Un conteur hors pair
Qu’il nous parle de la saga étonnante du Sloppy Louie’s, institution de South Street, ou qu’il dresse le portrait savoureux du vieux George Hunter, gardien de cimetière plein de verve, Mitchell est un conteur né. Il sait rendre ses personnages attachants, hauts en couleur, et faire revivre sous nos yeux ébahis un New York disparu.
C’est du journalisme à l’ancienne, du temps où les reporters ne coupaient pas la parole aux gens qu’ils interrogeaient pour gagner leur quart d’heure de célébrité.
Bruno Corty, Le Figaro
Une ode à un New York révolu
Au fil des pages, c’est tout un monde foisonnant qui se déploie, avec ses personnalités hautes en couleur, ses lieux mythiques, ses traditions et ses légendes. Un New York portuaire, ouvrier, populaire, bien loin des gratte-ciels rutilants d’aujourd’hui. Un New York où résonne l’écho d’une Amérique éternelle, avec ses petites gens et ses destins singuliers.
Pour les amateurs d’histoire, de littérature ou de journalisme, “Le fond du port” est une pépite à ne pas manquer. Mais au-delà, c’est à tous les amoureux de la Big Apple que ce livre unique offre une plongée envoûtante dans les coulisses du vieux Manhattan. Une ode vibrante à une ville et une époque à jamais disparues.
Pour prolonger le voyage
- Découvrez les autres ouvrages de Joseph Mitchell traduits aux Éditions du sous-sol, comme “McSorley’s Wonderful Saloon” ou “Joe Gould”.
- Baladez-vous dans le Financial District et essayez de retrouver les traces du vieux South Street décrit par Mitchell.
- Relisez les grands classiques de la littérature new-yorkaise, de “Manhattan Transfer” de Dos Passos à “Brooklin Follies” de Paul Auster.
Avec “Le fond du port”, Joseph Mitchell nous convie à un voyage extraordinaire au cœur d’un New York mythique et intemporel. Un bijou de finesse et d’humanité, à savourer sans modération. Comme une madeleine de Proust qui aurait le parfum enivrant de la Big Apple des années 50…
Son secret ? Une curiosité insatiable et une patience d’orfèvre pour recueillir les témoignages de ceux qui ont vu le vieux Manhattan changer de visage. Tenanciers de bar, gardiens de cimetière, marins et clochards… Mitchell écoute, consigne, et restitue leurs histoires dans une prose ciselée, avec un art du détail et de l’anecdote qui fait mouche à chaque page.
Un conteur hors pair
Qu’il nous parle de la saga étonnante du Sloppy Louie’s, institution de South Street, ou qu’il dresse le portrait savoureux du vieux George Hunter, gardien de cimetière plein de verve, Mitchell est un conteur né. Il sait rendre ses personnages attachants, hauts en couleur, et faire revivre sous nos yeux ébahis un New York disparu.
C’est du journalisme à l’ancienne, du temps où les reporters ne coupaient pas la parole aux gens qu’ils interrogeaient pour gagner leur quart d’heure de célébrité.
Bruno Corty, Le Figaro
Une ode à un New York révolu
Au fil des pages, c’est tout un monde foisonnant qui se déploie, avec ses personnalités hautes en couleur, ses lieux mythiques, ses traditions et ses légendes. Un New York portuaire, ouvrier, populaire, bien loin des gratte-ciels rutilants d’aujourd’hui. Un New York où résonne l’écho d’une Amérique éternelle, avec ses petites gens et ses destins singuliers.
Pour les amateurs d’histoire, de littérature ou de journalisme, “Le fond du port” est une pépite à ne pas manquer. Mais au-delà, c’est à tous les amoureux de la Big Apple que ce livre unique offre une plongée envoûtante dans les coulisses du vieux Manhattan. Une ode vibrante à une ville et une époque à jamais disparues.
Pour prolonger le voyage
- Découvrez les autres ouvrages de Joseph Mitchell traduits aux Éditions du sous-sol, comme “McSorley’s Wonderful Saloon” ou “Joe Gould”.
- Baladez-vous dans le Financial District et essayez de retrouver les traces du vieux South Street décrit par Mitchell.
- Relisez les grands classiques de la littérature new-yorkaise, de “Manhattan Transfer” de Dos Passos à “Brooklin Follies” de Paul Auster.
Avec “Le fond du port”, Joseph Mitchell nous convie à un voyage extraordinaire au cœur d’un New York mythique et intemporel. Un bijou de finesse et d’humanité, à savourer sans modération. Comme une madeleine de Proust qui aurait le parfum enivrant de la Big Apple des années 50…
