Culture

Deux Gimlets Sur La 5e Avenue : Le Nouveau Roman Intime De Philippe Labro

Le nouveau roman de Philippe Labro nous emporte dans une histoire intime entre Paris et New York sur 40 ans. Suivez les destins croisés de Lucas et Élisabeth, anciens amants, dans "Deux Gimlets sur la 5e avenue". Un style empreint de cinéma pour une romance...

C’est avec une plume empreinte de l’élégance du 7e art que Philippe Labro nous livre son dernier roman, “Deux Gimlets sur la 5e avenue”. Au fil des pages, on suit le destin croisé de Lucas et Élisabeth, deux anciens amants dont les vies s’étirent sur quatre décennies, entre Paris et New York. Une fresque romanesque intimiste qui questionne l’amour, le temps qui passe et les liens indéfectibles.

Destins liés entre deux continents

Comme un long travelling, “Deux Gimlets sur la 5e avenue” nous entraîne de 1961 à 2001 dans le sillage de Lucas et Élisabeth. Lui, beau garçon au sourire éclatant. Elle, incarnation parfaite de la beauté à la française. Unis par leur passion pour le cinéma, ils vivront une histoire d’amour intense mais éphémère, avant que leurs chemins ne se séparent.

Pourtant, malgré la distance et les années, quelque chose subsistera toujours entre eux. Un lien invisible les poussant à se retrouver, par intermittence, au hasard d’une rue new-yorkaise ou d’un café parisien. Comme si leurs destins étaient irrémédiablement liés.

Paris et New York, toile de fond d’une romance

Dans ce roman, les villes deviennent des personnages à part entière. Paris, avec son charme suranné et ses intellectuels de Saint-Germain-des-Prés. New York et ses gratte-ciels, symboles d’une modernité qui fascine Lucas. Entre Old Europe et Nouveau Monde, Philippe Labro tisse une histoire d’amour et d’amitié qui se joue des frontières.

J’ai voulu explorer les méandres d’une relation qui dure, malgré la distance, malgré le temps. Questionner ces liens qui ne se défont jamais vraiment.

– Philippe Labro, à propos de “Deux Gimlets sur la 5e avenue”

La littérature comme un film

Fidèle à son amour du 7e art, l’auteur construit son récit comme un long-métrage. Les chapitres s’enchaînent tels des séquences, alternant entre différentes époques. Une construction narrative complexe mais parfaitement maîtrisée, qui donne au lecteur l’impression de visionner un film.

Les dialogues ciselés achèvent de donner vie aux personnages. Les non-dits, les silences sont autant de “gros plans” sur leurs visages, leurs émotions. Une écriture minutieuse et sensible, marque de fabrique de Philippe Labro.

L’Amérique, terre d’inspiration

Comme dans nombre de ses romans précédents, Philippe Labro puise son inspiration outre-Atlantique. Jeune journaliste, il fut marqué par un séjour aux États-Unis où il couvrit notamment l’assassinat de John F. Kennedy. Une fascination qui ne l’a plus quitté et innerve toute son œuvre romanesque.

  • L’Étudiant étranger (1986)
  • Un été dans l’Ouest (1989)
  • La Traversée (1991)

Autant de romans aux parfums d’Amérique, explorant les thèmes chers à l’auteur. Des histoires de destins qui se croisent et s’entremêlent, sur fond de grands espaces et de culture américaine.

La tentation autobiographique

S’il se défend de faire de l’autobiographie, Philippe Labro reconnaît volontiers puiser dans son vécu pour nourrir ses fictions. Lui-même a connu les affres d’un amour transatlantique dans sa jeunesse. Une expérience qui transparaît en filigrane dans “Deux Gimlets sur la 5e avenue”.

Pour autant, le roman va bien au-delà du simple témoignage. C’est toute une époque, des années 1960 au début du nouveau millénaire, qui se dessine en arrière-plan. Les mœurs évoluent, les générations se succèdent, mais les questionnements intimes des personnages résonnent, intemporels.

Un beau roman sur l’amour et le temps

Avec “Deux Gimlets sur la 5e avenue”, Philippe Labro signe un roman envoûtant sur la force des sentiments. Une ode à ces amours qui marquent une vie, malgré la distance et les années.

La plume élégante de l’auteur, son sens du détail et des atmosphères, nous offrent un récit touchant qui ne cède jamais à la mièvrerie. On en ressort ému, un peu nostalgique peut-être, mais surtout conquis par la justesse des mots et des émotions.

Philippe Labro réussit le pari d’un roman intemporel, brillant hommage à l’amour et à ces destinées qui se jouent des frontières.

– D’après une source proche de l’éditeur

Un livre à savourer d’urgence, pour une échappée littéraire entre les lumières de Paris et les fastes de New York. Et, qui sait, peut-être, l’irrépressible envie de déguster un Gimlet avec vue sur la 5e avenue…

Passionné et dévoué, j'explore sans cesse les nouvelles frontières de l'information et de la technologie. Pour explorer les options de sponsoring, contactez-nous.