Alors que les nuages s’accumulent sur les perspectives de croissance de la Chine, c’est le dollar américain qui en profite sur les marchés des changes. Le billet vert a atteint mardi un nouveau plus haut de deux mois face à l’euro à 1,0882 dollar, en hausse de 0,16%. Une domination qui se confirme face à la plupart des grandes devises. Mais qu’est-ce qui explique cette envolée du dollar et est-elle partie pour durer ?
La Chine, principale source d’inquiétude des investisseurs
C’est bien la situation économique préoccupante du géant asiatique qui est au cœur des préoccupations des marchés et qui booste le dollar, valeur refuge par excellence. Malgré les récentes mesures de soutien annoncées par Pékin, les investisseurs restent sceptiques sur la capacité du pays à relancer rapidement une croissance en berne depuis la crise sanitaire.
Si le roi dollar règne aujourd’hui en maître, certains s’interrogent sur la durabilité de cette domination face aux velléités grandissantes de “dédollarisation” dans certains pays. La Chine et la Russie en tête cherchent ainsi à promouvoir l’usage de leurs propres devises dans les échanges internationaux.
Reste que le billet vert contrôle toujours près de 40% des transactions et des réserves de change dans le monde. Une suprématie qui ne semble pas encore réellement menacée malgré les initiatives de plus en plus nombreuses pour s’en affranchir.
En conclusion
La vigueur retrouvée du dollar ces derniers jours illustre bien son statut de valeur refuge dans un environnement économique et géopolitique particulièrement incertain. Dopé par les solides perspectives américaines, et profitant en creux des difficultés de l’Europe et de la Chine, le billet vert a sans doute encore de beaux jours devant lui. Les velléités de dédollarisation de certains pays émergents ne suffiront pas dans l’immédiat à bouleverser la hiérarchie des monnaies.
Si le roi dollar règne aujourd’hui en maître, certains s’interrogent sur la durabilité de cette domination face aux velléités grandissantes de “dédollarisation” dans certains pays. La Chine et la Russie en tête cherchent ainsi à promouvoir l’usage de leurs propres devises dans les échanges internationaux.
Reste que le billet vert contrôle toujours près de 40% des transactions et des réserves de change dans le monde. Une suprématie qui ne semble pas encore réellement menacée malgré les initiatives de plus en plus nombreuses pour s’en affranchir.
En conclusion
La vigueur retrouvée du dollar ces derniers jours illustre bien son statut de valeur refuge dans un environnement économique et géopolitique particulièrement incertain. Dopé par les solides perspectives américaines, et profitant en creux des difficultés de l’Europe et de la Chine, le billet vert a sans doute encore de beaux jours devant lui. Les velléités de dédollarisation de certains pays émergents ne suffiront pas dans l’immédiat à bouleverser la hiérarchie des monnaies.
Les derniers indicateurs publiés ont confirmé la panne de la consommation et de l’immobilier en Chine. Et les perspectives à moyen terme ne sont guère plus réjouissantes, avec les défis structurels auxquels le pays est confronté, notamment le vieillissement accéléré de sa population.
L’Europe également touchée par le ralentissement chinois
Les inquiétudes sur l’économie chinoise ont eu un impact direct sur les devises européennes mardi. L’euro a ainsi chuté après l’avertissement sur résultats de l’équipementier néerlandais ASML, très dépendant de la demande en semi-conducteurs. Autre coup dur, les ventes décevantes publiées par le numéro un européen du luxe LVMH, secteur très exposé au marché chinois.
Les problèmes rencontrés par certaines valeurs européennes majeures reflètent la faible croissance des économies du Vieux continent et rendent le dollar d’autant plus attractif dans ce contexte.
analyse Christopher Vecchio, de Tastylive
Le dollar profite des atouts de l’économie américaine
Face aux difficultés de la Chine et de l’Europe, les États-Unis font figure d’exception avec une croissance qui reste solide. Un dynamisme qui profite pleinement au billet vert. D’autant que les chiffres de l’emploi publiés la semaine passée ont conforté le scénario d’une poursuite du resserrement monétaire de la Fed dans les prochains mois.
Selon Christopher Vecchio:
Où allez-vous placer votre argent? Dans une Allemagne qui se désindustrialise? Un Royaume-Uni post-Brexit? Une Chine engluée dans la déflation? Dans le même temps, l’économie américaine conserve une croissance impressionnante.
Vers une “dédollarisation” de l’économie mondiale?
Si le roi dollar règne aujourd’hui en maître, certains s’interrogent sur la durabilité de cette domination face aux velléités grandissantes de “dédollarisation” dans certains pays. La Chine et la Russie en tête cherchent ainsi à promouvoir l’usage de leurs propres devises dans les échanges internationaux.
Reste que le billet vert contrôle toujours près de 40% des transactions et des réserves de change dans le monde. Une suprématie qui ne semble pas encore réellement menacée malgré les initiatives de plus en plus nombreuses pour s’en affranchir.
En conclusion
La vigueur retrouvée du dollar ces derniers jours illustre bien son statut de valeur refuge dans un environnement économique et géopolitique particulièrement incertain. Dopé par les solides perspectives américaines, et profitant en creux des difficultés de l’Europe et de la Chine, le billet vert a sans doute encore de beaux jours devant lui. Les velléités de dédollarisation de certains pays émergents ne suffiront pas dans l’immédiat à bouleverser la hiérarchie des monnaies.
Les derniers indicateurs publiés ont confirmé la panne de la consommation et de l’immobilier en Chine. Et les perspectives à moyen terme ne sont guère plus réjouissantes, avec les défis structurels auxquels le pays est confronté, notamment le vieillissement accéléré de sa population.
L’Europe également touchée par le ralentissement chinois
Les inquiétudes sur l’économie chinoise ont eu un impact direct sur les devises européennes mardi. L’euro a ainsi chuté après l’avertissement sur résultats de l’équipementier néerlandais ASML, très dépendant de la demande en semi-conducteurs. Autre coup dur, les ventes décevantes publiées par le numéro un européen du luxe LVMH, secteur très exposé au marché chinois.
Les problèmes rencontrés par certaines valeurs européennes majeures reflètent la faible croissance des économies du Vieux continent et rendent le dollar d’autant plus attractif dans ce contexte.
analyse Christopher Vecchio, de Tastylive
Le dollar profite des atouts de l’économie américaine
Face aux difficultés de la Chine et de l’Europe, les États-Unis font figure d’exception avec une croissance qui reste solide. Un dynamisme qui profite pleinement au billet vert. D’autant que les chiffres de l’emploi publiés la semaine passée ont conforté le scénario d’une poursuite du resserrement monétaire de la Fed dans les prochains mois.
Selon Christopher Vecchio:
Où allez-vous placer votre argent? Dans une Allemagne qui se désindustrialise? Un Royaume-Uni post-Brexit? Une Chine engluée dans la déflation? Dans le même temps, l’économie américaine conserve une croissance impressionnante.
Vers une “dédollarisation” de l’économie mondiale?
Si le roi dollar règne aujourd’hui en maître, certains s’interrogent sur la durabilité de cette domination face aux velléités grandissantes de “dédollarisation” dans certains pays. La Chine et la Russie en tête cherchent ainsi à promouvoir l’usage de leurs propres devises dans les échanges internationaux.
Reste que le billet vert contrôle toujours près de 40% des transactions et des réserves de change dans le monde. Une suprématie qui ne semble pas encore réellement menacée malgré les initiatives de plus en plus nombreuses pour s’en affranchir.
En conclusion
La vigueur retrouvée du dollar ces derniers jours illustre bien son statut de valeur refuge dans un environnement économique et géopolitique particulièrement incertain. Dopé par les solides perspectives américaines, et profitant en creux des difficultés de l’Europe et de la Chine, le billet vert a sans doute encore de beaux jours devant lui. Les velléités de dédollarisation de certains pays émergents ne suffiront pas dans l’immédiat à bouleverser la hiérarchie des monnaies.