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La nouvelle défaite de l’Asvel en Euroligue : que se passe-t-il ?

Nouveau revers pour l'Asvel en déplacement en Euroligue. Battus 84-79 sur le parquet de l'Alba Berlin, les Villeurbannais enchaînent une deuxième défaite loin de leurs bases. Malgré un sursaut d'orgueil en fin de rencontre, l'Asvel n'a pas réussi à inverser le cours du match. Que se passe-t-il avec le club français ? Décryptage.

C’est un nouveau coup dur pour l’Asvel. Le club de Villeurbanne s’est incliné mardi soir sur le parquet de l’Alba Berlin sur le score de 84 à 79, concédant ainsi sa deuxième défaite en autant de déplacements en Euroligue cette saison. Un revers d’autant plus frustrant que les joueurs de TJ Parker avaient les cartes en main pour l’emporter et basculer enfin du bon côté en Euroligue.

Un trou d’air fatal au cœur du 3ème quart-temps

La réaction attendue de l’Asvel

Il va maintenant falloir vite se remobiliser pour le club de Tony Parker. Dès jeudi, l’Asvel aura l’occasion de se racheter en recevant les Espagnols de Vitoria pour tenter de décrocher une deuxième victoire en Euroligue et ainsi rééquilibrer son bilan. Un succès apparaît même impératif avant un déplacement périlleux la semaine prochaine sur le parquet de l’Olympiakos, finaliste de la dernière édition.

On est forcément déçus mais il faut positiver et vite basculer sur la réception de Vitoria jeudi. À nous de corriger nos erreurs pour renouer avec la victoire.

TJ Parker, entraîneur de l’Asvel

L’entraîneur villeurbannais TJ Parker en est bien conscient, il va falloir “vite basculer” pour ne pas voir le doute s’installer. Son équipe a montré par séquences qu’elle avait les armes pour rivaliser avec de belles équipes européennes. Aux cadres de l’effectif comme Elie Okobo, Chris Jones ou encore Charles Kahudi de montrer la voie. Le talent est là, il doit maintenant s’exprimer avec constance. Le chemin est encore long mais l’Asvel a les moyens de redresser la barre en Euroligue.

La réaction attendue de l’Asvel

Il va maintenant falloir vite se remobiliser pour le club de Tony Parker. Dès jeudi, l’Asvel aura l’occasion de se racheter en recevant les Espagnols de Vitoria pour tenter de décrocher une deuxième victoire en Euroligue et ainsi rééquilibrer son bilan. Un succès apparaît même impératif avant un déplacement périlleux la semaine prochaine sur le parquet de l’Olympiakos, finaliste de la dernière édition.

On est forcément déçus mais il faut positiver et vite basculer sur la réception de Vitoria jeudi. À nous de corriger nos erreurs pour renouer avec la victoire.

TJ Parker, entraîneur de l’Asvel

L’entraîneur villeurbannais TJ Parker en est bien conscient, il va falloir “vite basculer” pour ne pas voir le doute s’installer. Son équipe a montré par séquences qu’elle avait les armes pour rivaliser avec de belles équipes européennes. Aux cadres de l’effectif comme Elie Okobo, Chris Jones ou encore Charles Kahudi de montrer la voie. Le talent est là, il doit maintenant s’exprimer avec constance. Le chemin est encore long mais l’Asvel a les moyens de redresser la barre en Euroligue.

L’Alba Berlin, pourtant loin d’être un cador de l’Euroligue, a passé un terrible 14-0 aux Rhodaniens, faisant grimper l’écart jusqu’à 13 points (60-47) en milieu de 3ème quart-temps. Un trou d’air dont l’Asvel ne s’est jamais vraiment remise, malgré une fin de match haletante où Villeurbanne est revenue à 2 petits points à 25 secondes de la fin (81-79).

Les limites actuelles de l’Asvel en Euroligue

Cette nouvelle contre-performance à l’extérieur vient confirmer les difficultés récurrentes de l’Asvel loin de l’Astroballe cette saison en Euroligue. Invaincu en championnat de France (4 victoires en autant de matches), le club présidé par Tony Parker peine à exister sur la scène continentale, souffrant d’un cruel manque de régularité et d’expérience à ce niveau.

L’absence sur blessure de deux cadres de l’effectif, Joffrey Lauvergne et Mbaye Ndiaye, n’arrange évidemment pas les affaires des Villeurbannais. Mais elle ne peut pas tout expliquer. L’Asvel doit encore franchir un cap dans la gestion des temps faibles et l’impact physique pour espérer rivaliser avec les grosses écuries européennes.

La réaction attendue de l’Asvel

Il va maintenant falloir vite se remobiliser pour le club de Tony Parker. Dès jeudi, l’Asvel aura l’occasion de se racheter en recevant les Espagnols de Vitoria pour tenter de décrocher une deuxième victoire en Euroligue et ainsi rééquilibrer son bilan. Un succès apparaît même impératif avant un déplacement périlleux la semaine prochaine sur le parquet de l’Olympiakos, finaliste de la dernière édition.

On est forcément déçus mais il faut positiver et vite basculer sur la réception de Vitoria jeudi. À nous de corriger nos erreurs pour renouer avec la victoire.

TJ Parker, entraîneur de l’Asvel

L’entraîneur villeurbannais TJ Parker en est bien conscient, il va falloir “vite basculer” pour ne pas voir le doute s’installer. Son équipe a montré par séquences qu’elle avait les armes pour rivaliser avec de belles équipes européennes. Aux cadres de l’effectif comme Elie Okobo, Chris Jones ou encore Charles Kahudi de montrer la voie. Le talent est là, il doit maintenant s’exprimer avec constance. Le chemin est encore long mais l’Asvel a les moyens de redresser la barre en Euroligue.

Tout avait pourtant bien commencé pour l’Asvel dans cette rencontre. Portés par un Elie Okobo des grands soirs (21 points), les Villeurbannais ont fait jeu égal avec leur adversaire allemand pendant une mi-temps, regagnant les vestiaires avec seulement 3 points de retard (38-41). Mais comme souvent cette saison, c’est au retour des vestiaires que les choses se sont gâtées.

L’Alba Berlin, pourtant loin d’être un cador de l’Euroligue, a passé un terrible 14-0 aux Rhodaniens, faisant grimper l’écart jusqu’à 13 points (60-47) en milieu de 3ème quart-temps. Un trou d’air dont l’Asvel ne s’est jamais vraiment remise, malgré une fin de match haletante où Villeurbanne est revenue à 2 petits points à 25 secondes de la fin (81-79).

Les limites actuelles de l’Asvel en Euroligue

Cette nouvelle contre-performance à l’extérieur vient confirmer les difficultés récurrentes de l’Asvel loin de l’Astroballe cette saison en Euroligue. Invaincu en championnat de France (4 victoires en autant de matches), le club présidé par Tony Parker peine à exister sur la scène continentale, souffrant d’un cruel manque de régularité et d’expérience à ce niveau.

L’absence sur blessure de deux cadres de l’effectif, Joffrey Lauvergne et Mbaye Ndiaye, n’arrange évidemment pas les affaires des Villeurbannais. Mais elle ne peut pas tout expliquer. L’Asvel doit encore franchir un cap dans la gestion des temps faibles et l’impact physique pour espérer rivaliser avec les grosses écuries européennes.

La réaction attendue de l’Asvel

Il va maintenant falloir vite se remobiliser pour le club de Tony Parker. Dès jeudi, l’Asvel aura l’occasion de se racheter en recevant les Espagnols de Vitoria pour tenter de décrocher une deuxième victoire en Euroligue et ainsi rééquilibrer son bilan. Un succès apparaît même impératif avant un déplacement périlleux la semaine prochaine sur le parquet de l’Olympiakos, finaliste de la dernière édition.

On est forcément déçus mais il faut positiver et vite basculer sur la réception de Vitoria jeudi. À nous de corriger nos erreurs pour renouer avec la victoire.

TJ Parker, entraîneur de l’Asvel

L’entraîneur villeurbannais TJ Parker en est bien conscient, il va falloir “vite basculer” pour ne pas voir le doute s’installer. Son équipe a montré par séquences qu’elle avait les armes pour rivaliser avec de belles équipes européennes. Aux cadres de l’effectif comme Elie Okobo, Chris Jones ou encore Charles Kahudi de montrer la voie. Le talent est là, il doit maintenant s’exprimer avec constance. Le chemin est encore long mais l’Asvel a les moyens de redresser la barre en Euroligue.

Tout avait pourtant bien commencé pour l’Asvel dans cette rencontre. Portés par un Elie Okobo des grands soirs (21 points), les Villeurbannais ont fait jeu égal avec leur adversaire allemand pendant une mi-temps, regagnant les vestiaires avec seulement 3 points de retard (38-41). Mais comme souvent cette saison, c’est au retour des vestiaires que les choses se sont gâtées.

L’Alba Berlin, pourtant loin d’être un cador de l’Euroligue, a passé un terrible 14-0 aux Rhodaniens, faisant grimper l’écart jusqu’à 13 points (60-47) en milieu de 3ème quart-temps. Un trou d’air dont l’Asvel ne s’est jamais vraiment remise, malgré une fin de match haletante où Villeurbanne est revenue à 2 petits points à 25 secondes de la fin (81-79).

Les limites actuelles de l’Asvel en Euroligue

Cette nouvelle contre-performance à l’extérieur vient confirmer les difficultés récurrentes de l’Asvel loin de l’Astroballe cette saison en Euroligue. Invaincu en championnat de France (4 victoires en autant de matches), le club présidé par Tony Parker peine à exister sur la scène continentale, souffrant d’un cruel manque de régularité et d’expérience à ce niveau.

L’absence sur blessure de deux cadres de l’effectif, Joffrey Lauvergne et Mbaye Ndiaye, n’arrange évidemment pas les affaires des Villeurbannais. Mais elle ne peut pas tout expliquer. L’Asvel doit encore franchir un cap dans la gestion des temps faibles et l’impact physique pour espérer rivaliser avec les grosses écuries européennes.

La réaction attendue de l’Asvel

Il va maintenant falloir vite se remobiliser pour le club de Tony Parker. Dès jeudi, l’Asvel aura l’occasion de se racheter en recevant les Espagnols de Vitoria pour tenter de décrocher une deuxième victoire en Euroligue et ainsi rééquilibrer son bilan. Un succès apparaît même impératif avant un déplacement périlleux la semaine prochaine sur le parquet de l’Olympiakos, finaliste de la dernière édition.

On est forcément déçus mais il faut positiver et vite basculer sur la réception de Vitoria jeudi. À nous de corriger nos erreurs pour renouer avec la victoire.

TJ Parker, entraîneur de l’Asvel

L’entraîneur villeurbannais TJ Parker en est bien conscient, il va falloir “vite basculer” pour ne pas voir le doute s’installer. Son équipe a montré par séquences qu’elle avait les armes pour rivaliser avec de belles équipes européennes. Aux cadres de l’effectif comme Elie Okobo, Chris Jones ou encore Charles Kahudi de montrer la voie. Le talent est là, il doit maintenant s’exprimer avec constance. Le chemin est encore long mais l’Asvel a les moyens de redresser la barre en Euroligue.

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