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Un clandestin algérien violent sous le coup d’une OQTF écroué après plusieurs viols

Un migrant clandestin algérien sous le coup d'une Obligation de Quitter le Territoire Français, déjà condamné pour viol en Suisse, vient d'écoper de 17 ans de prison pour avoir violé une ado à l'hôpital et agressé une femme dans la rue à Toulouse. Son cas pose question...

Un fait divers dramatique vient secouer la ville rose. Ismael C., un clandestin algérien de 39 ans sous le coup d’une Obligation de Quitter le Territoire Français (OQTF), a été condamné le vendredi 4 octobre 2024 par la cour criminelle de Haute-Garonne à la lourde peine de 17 ans de réclusion. Son crime ? Deux viols d’une violence inouïe, commis à seulement trois semaines d’intervalle en novembre 2021. Le premier a eu lieu en pleine rue, près de la place du Capitole à Toulouse, où il a agressé sauvagement une jeune femme en tentant de lui dérober son téléphone. Le second, encore plus choquant, s’est déroulé dans une chambre d’hôpital du CHU de Purpan, où il s’en est pris à une adolescente de 16 ans.

Un multirécidiviste au passé lourd

Ce qui rend cette affaire encore plus révoltante, c’est que ce migrant n’en était pas à son coup d’essai. Déjà condamné pour des faits similaires en Suisse, il était pourtant toujours en liberté sur le sol français malgré son OQTF. Les experts avaient noté “la dangerosité sexuelle importante” de cet individu lors de l’instruction. Mais cela n’a pas empêché ce nouveau drame…

Un comportement indécent à l’audience

Lors du procès à huis clos cette semaine, l’attitude de l’accusé a été proprement scandaleuse. Non content de nier les faits et de rejeter la faute sur les victimes en assurant qu’elles étaient consentantes, Ismael C. n’a pas hésité à mimer les gestes des viols dans le box, créant un profond malaise dans la salle. Une indécence sans nom face à la souffrance de ces jeunes femmes “blessées dans leur chair”, comme l’a souligné l’avocate de l’une des parties civiles.

“La peine est lourde, mais elle est à la hauteur du traumatisme infligé aux victimes.”

– Me Brice Zanin, avocat de la jeune femme agressée en pleine rue.

Un drame qui soulève des questions

Au-delà de l’horreur des faits, ce dossier met en lumière plusieurs problématiques :

  • Comment un migrant sous OQTF, déjà condamné pour viol, a-t-il pu rester sur le territoire ?
  • Quelles sont les failles dans le suivi et l’expulsion des étrangers criminels ?
  • Comment mieux protéger les citoyens face à ces profils ultra-violents ?

Autant de questions qui se posent avec une acuité particulière après le meurtre de la petite Lola par une Algérienne sous OQTF en 2022. Les pouvoirs publics se doivent d’y apporter des réponses concrètes pour éviter que de tels drames ne se reproduisent. Car derrière les agressions et les chiffres, ce sont bien des vies brisées à jamais.

La double-peine pour les victimes

Pour Lisa*, 16 ans à peine, le chemin de la reconstruction sera long et douloureux. Venue se faire soigner au CHU, elle n’imaginait pas y vivre un tel cauchemar. Réveillée en pleine nuit par son agresseur, dénudée et violée dans ce qui aurait dû être un lieu de soin et de sécurité… Le choc est immense.

Quant à Myriam*, cette jeune femme attaquée près du Capitole, elle gardera à vie les stigmates de cette agression d’une rare sauvagerie, survenue alors qu’elle rentrait simplement chez elle.

Pour ces deux victimes, comme pour toutes celles de violences sexuelles, la condamnation de leur bourreau est une étape importante. Mais elle n’effacera jamais totalement les traumatismes subis. C’est tout le drame de ces affaires : le coupable purge sa peine, mais les victimes restent condamnées à vie. Une peine qui n’est inscrite dans aucun code, mais qui les hantera à jamais.

L’impérieuse nécessité d’agir

Face à ce fléau des violences faites aux femmes, qui plus est par des individus qui n’ont rien à faire sur notre sol, il est temps de réagir fermement. Cela passe par :

  • Un meilleur suivi des OQTF pour s’assurer de leur exécution rapide
  • Des peines plus sévères et vraiment appliquées pour les multirécidivistes
  • Une meilleure prise en charge des victimes sur les plans judiciaire, médical et psychologique
  • Des mesures de prévention et de sécurisation des lieux publics sensibles

Il en va de la protection de nos concitoyens et du droit fondamental de chacun à vivre en sécurité. Et aucune naïveté ni angélisme ne doivent venir entraver cet impératif. Le droit à la sûreté n’est pas négociable.

Pour Ismael C., l’addition est lourde : 17 ans de prison et une interdiction définitive du territoire français. Mais combien de crimes aurait-on pu éviter en le renvoyant dans son pays dès sa première condamnation ? Combien de vies auraient pu être épargnées par une politique d’immigration plus ferme face aux étrangers délinquants ?

Ce sont ces questions que les familles des victimes ne cessent de se poser. Et il est plus que temps que nos dirigeants y apportent enfin des réponses à la hauteur. Les Français ne supportent plus que leur sécurité soit sacrifiée sur l’autel de l’idéologie et du “pas de vague”. Ils attendent des actes forts. Et vite !

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