Cécilia, une jeune mère de famille de 30 ans, a vécu l’enfer mardi après-midi dans la forêt de Janas, près de La Seyne dans le Var. Alors qu’elle faisait du VTT, écouteurs sur les oreilles, elle a été violemment agressée par deux individus qui ont tenté de la violer. Mais Cécilia n’est pas du genre à se laisser faire. Ancienne pratiquante d’arts martiaux en compétition pendant sa jeunesse, elle a réussi à mettre en fuite ses assaillants après une lutte acharnée.
Un guet-apens en pleine forêt
Cécilia raconte les circonstances de son agression avec une précision glaçante. Absorbée par sa musique, elle n’a pas entendu ses agresseurs arriver dans son dos : “C’est à ce moment-là que j’ai reçu des coups de matraque dans la jambe. J’ai mis un coup de coude dans le nez de celui qui était derrière moi”. Les deux individus, décrits comme des “maghrébins âgés de 18 à 20 ans” par la victime, ont alors tenté de lui baisser son pantalon en proférant des menaces sans équivoque : “Ouais elle est bonne, on va la violer”.
Ses réflexes d’arts martiaux lui sauvent la vie
Mais c’était sans compter sur les aptitudes de Cécilia en arts martiaux. Malgré les coups de matraque, elle riposte avec toute son énergie : “Je lui ai mis un crochet du droit direct. Et à ce moment-là son collègue m’a mis un coup de matraque dans les côtes. Et après, on s’est bagarrés.” Comprenant qu’ils avaient affaire à forte partie, les deux agresseurs ont fini par prendre la fuite devant la résistance acharnée de leur victime.
J’ai cru être une Philippine bis
Cécilia
Une enquête ouverte, les agresseurs activement recherchés
Blessée et choquée, Cécilia a immédiatement porté plainte. La police a ouvert une enquête et recherche activement les deux suspects qui courent toujours. Cécilia a pu fournir quelques éléments permettant de les identifier malgré sa panique sur le moment : “Ils avaient la capuche baissée au niveau des yeux. Dans le feu de l’action j’ai plus regardé où ils envoyaient leurs mains que leurs visages”. Elle évalue leur taille entre 1m73 et 1m75.
Le cauchemar de Cécilia
Cette effroyable agression a profondément marqué Cécilia qui revit en boucle son calvaire. Très émue, elle a confié aux enquêteurs : “J’ai cru être une Philippine bis”, en référence à l’affaire du viol et du meurtre de Philippine Degerin, 18 ans, en 2018. Un traumatisme d’autant plus grand que Cécilia est mère de quatre enfants.
Cécilia a eu la présence d’esprit et le courage de se défendre grâce à ses années d’arts martiaux, empêchant le pire d’arriver. Mais le traumatisme est profond et les séquelles à la fois physiques et psychologiques. Son témoignage est un appel à la vigilance pour toutes les femmes pratiquant des activités isolées. Cette agression rappelle cruellement que même en pleine journée, dans un lieu familier, le danger peut surgir de nulle part.
Mais c’était sans compter sur les aptitudes de Cécilia en arts martiaux. Malgré les coups de matraque, elle riposte avec toute son énergie : “Je lui ai mis un crochet du droit direct. Et à ce moment-là son collègue m’a mis un coup de matraque dans les côtes. Et après, on s’est bagarrés.” Comprenant qu’ils avaient affaire à forte partie, les deux agresseurs ont fini par prendre la fuite devant la résistance acharnée de leur victime.
J’ai cru être une Philippine bis
Cécilia
Une enquête ouverte, les agresseurs activement recherchés
Blessée et choquée, Cécilia a immédiatement porté plainte. La police a ouvert une enquête et recherche activement les deux suspects qui courent toujours. Cécilia a pu fournir quelques éléments permettant de les identifier malgré sa panique sur le moment : “Ils avaient la capuche baissée au niveau des yeux. Dans le feu de l’action j’ai plus regardé où ils envoyaient leurs mains que leurs visages”. Elle évalue leur taille entre 1m73 et 1m75.
Le cauchemar de Cécilia
Cette effroyable agression a profondément marqué Cécilia qui revit en boucle son calvaire. Très émue, elle a confié aux enquêteurs : “J’ai cru être une Philippine bis”, en référence à l’affaire du viol et du meurtre de Philippine Degerin, 18 ans, en 2018. Un traumatisme d’autant plus grand que Cécilia est mère de quatre enfants.
Cécilia a eu la présence d’esprit et le courage de se défendre grâce à ses années d’arts martiaux, empêchant le pire d’arriver. Mais le traumatisme est profond et les séquelles à la fois physiques et psychologiques. Son témoignage est un appel à la vigilance pour toutes les femmes pratiquant des activités isolées. Cette agression rappelle cruellement que même en pleine journée, dans un lieu familier, le danger peut surgir de nulle part.