L’OGC Nice a vécu un véritable cauchemar ce jeudi soir sur la pelouse gorgée d’eau du Stadio Olimpico de Rome. Opposés à la Lazio lors de la 2e journée de Ligue Europa, les Aiglons ont sombré sous les trombes d’eau et les assauts répétés des hommes de Maurizio Sarri. Score final : une lourde défaite 4-1 qui vient ternir le début de campagne européenne des Azuréens.
Un terrain de jeu impraticable
Dès les premières minutes de la rencontre, les conditions de jeu se sont avérées dantesques. Une pluie diluvienne s’est abattue sur la capitale italienne, transformant rapidement la pelouse en véritable bourbier. Les 22 acteurs ont dû composer avec un ballon imbibé d’eau qui peinait à circuler et des flaques rendant les appuis précaires. Un contexte qui a clairement tourné à l’avantage des locaux.
“Le terrain n’était bon pour aucune des deux équipes, mais c’est beaucoup plus facile quand tu mènes”
– Dante, défenseur de l’OGC Nice
Nice a bien tenté de construire son jeu malgré ce terrain détrempé. Mais les tentatives de combinaisons des joueurs de Lucien Favre se sont souvent enlisées dans les mares qui parsemaient le rectangle vert. Les Italiens ont mieux su s’adapter à ces conditions extrêmes pour développer des attaques tranchantes.
La Lazio déroule, Nice sombre
Les Romains ont profité des largesses de la défense niçoise pour ouvrir rapidement le score par Pedro (1-0, 20e). Un avantage mérité au vu de leur entame tonitruante, où ils ont trouvé par deux fois les montants du but de Bulka. Nice est parvenu à réagir par séquences, à l’image d’une belle frappe cadrée de Brahimi. Mais sans concrétiser ses temps forts.
Au contraire, la Lazio a fait preuve d’un réalisme glacial. Malgré une passe d’armes équilibrée, le club italien a creusé l’écart juste avant la pause par l’intermédiaire de Castellanos, bien servi par Pedro (2-0, 35e). Un break logique qui récompensait les approximations défensives des Niçois sur un terrain compliqué.
Nice a pourtant continué à y croire et a été récompensé de ses efforts. Suite à un joli une-deux entre Moffi et Boudaoui, le Gym est parvenu à réduire le score juste avant la mi-temps (2-1, 41e). Un but qui laissait penser que tout restait possible pour les partenaires de Dante au retour des vestiaires. C’était sans compter sur la maîtrise froide des Romains.
L’expérience italienne a parlé
Car au retour des vestiaires, c’est bien la Lazio qui a repris sa marche en avant. Sur une pelouse de plus en plus impraticable, les hommes de Sarri ont déroulé leur football. Et ont assommé des Niçois impuissants par un doublé de Castellanos, d’abord d’une superbe frappe enroulée (3-1, 53e) puis sur penalty (4-1, 67e). La messe était dite.
Malgré les entrées de Brahimi et Thuram pour apporter de la percussion, Nice n’a jamais su revenir dans cette partie. Les conditions de jeu extrêmes ont eu raison des intentions louables des Azuréens. Et la Lazio n’a plus jamais tremblé pour décrocher une victoire nette et sans bavure qui relance ses chances de qualification.
Un revers cuisant à digérer pour la suite
Avec cette lourde défaite 4-1, Nice reste bloqué à la 3e place du groupe H avec un seul petit point en deux rencontres. Un bilan famélique alors que la double confrontation face au FC Slovácko s’annonce déjà cruciale pour la suite de son aventure européenne. Les Aiglons devront impérativement s’imposer face au club tchèque pour garder espoir.
Mais avant cela, le Gym va devoir vite digérer ce revers cuisant. Et basculer sur un gros choc de Ligue 1 qui l’attend dès dimanche avec la réception du Paris Saint-Germain à l’Allianz Riviera. L’occasion de se racheter avec une performance de haut vol face au leader incontesté du championnat. Histoire d’évacuer les stigmates de ce cauchemar romain.
“Malgré le score, on s’est bien battu. Sur ce genre de terrain, il faut jouer long. On voulait jouer mais c’était compliqué. Il y a des choses à corriger.”
– Dante, capitaine de l’OGC Nice
Nice devra surtout retrouver de l’allant et de la confiance pour ne pas voir sa saison partir en eau de boudin. Les prochaines semaines s’annoncent décisives pour le club azuréen. Lucien Favre et ses hommes sont prévenus. La pression est sur leurs épaules pour rebondir après ce terrible coup d’arrêt européen. À eux de montrer qu’ils ont les ressources mentales pour surmonter cette désillusion et aller de l’avant. Le chemin s’annonce semé d’embûches. Mais en football, rien n’est jamais perdu d’avance.
Car au retour des vestiaires, c’est bien la Lazio qui a repris sa marche en avant. Sur une pelouse de plus en plus impraticable, les hommes de Sarri ont déroulé leur football. Et ont assommé des Niçois impuissants par un doublé de Castellanos, d’abord d’une superbe frappe enroulée (3-1, 53e) puis sur penalty (4-1, 67e). La messe était dite.
Malgré les entrées de Brahimi et Thuram pour apporter de la percussion, Nice n’a jamais su revenir dans cette partie. Les conditions de jeu extrêmes ont eu raison des intentions louables des Azuréens. Et la Lazio n’a plus jamais tremblé pour décrocher une victoire nette et sans bavure qui relance ses chances de qualification.
Un revers cuisant à digérer pour la suite
Avec cette lourde défaite 4-1, Nice reste bloqué à la 3e place du groupe H avec un seul petit point en deux rencontres. Un bilan famélique alors que la double confrontation face au FC Slovácko s’annonce déjà cruciale pour la suite de son aventure européenne. Les Aiglons devront impérativement s’imposer face au club tchèque pour garder espoir.
Mais avant cela, le Gym va devoir vite digérer ce revers cuisant. Et basculer sur un gros choc de Ligue 1 qui l’attend dès dimanche avec la réception du Paris Saint-Germain à l’Allianz Riviera. L’occasion de se racheter avec une performance de haut vol face au leader incontesté du championnat. Histoire d’évacuer les stigmates de ce cauchemar romain.
“Malgré le score, on s’est bien battu. Sur ce genre de terrain, il faut jouer long. On voulait jouer mais c’était compliqué. Il y a des choses à corriger.”
– Dante, capitaine de l’OGC Nice
Nice devra surtout retrouver de l’allant et de la confiance pour ne pas voir sa saison partir en eau de boudin. Les prochaines semaines s’annoncent décisives pour le club azuréen. Lucien Favre et ses hommes sont prévenus. La pression est sur leurs épaules pour rebondir après ce terrible coup d’arrêt européen. À eux de montrer qu’ils ont les ressources mentales pour surmonter cette désillusion et aller de l’avant. Le chemin s’annonce semé d’embûches. Mais en football, rien n’est jamais perdu d’avance.
