Intolérable agression à Quimper. Le 19 juillet dernier, un migrant tunisien de 23 ans s’en est pris violemment à une jeune femme dans un bar près de la gare. Son crime ? Avoir osé repousser ses avances insistantes et déplacées.
La scène, d’une rare violence, a choqué les témoins présents. Excité et ivre, le jeune homme n’a pas supporté le refus de sa victime. Gifles, coups de poing… Les témoignages sont accablants. Un déchaînement de violences inouï qui a nécessité l’intervention musclée des forces de l’ordre.
Un agresseur multirécidiviste
Mais le plus effarant reste à venir. Ce Tunisien, fraîchement arrivé dans notre pays, n’en est pas à son coup d’essai. Son casier judiciaire parle pour lui : il a déjà été condamné à 6 mois de prison avec sursis pour agression sexuelle ! Un prédateur sexuel multirécidiviste qui sévit en toute impunité.
Une peine trop clémente ?
Lors de son procès le 26 juillet, cet individu violent et pervers a d’abord tenté de nier les faits, mimant grotesquement des gestes de boxe. Mais face aux preuves accablantes, impossible de se dérober. 12 mois de prison dont 6 avec sursis ont été requis, en plus de la révocation de 3 mois de sursis de sa précédente condamnation.
Pourtant, à la stupéfaction générale, le tribunal a décidé d’une peine entièrement aménagée sous bracelet électronique ! Un soulagement visible pour l’accusé. Mais qu’en est-il pour les victimes passées et potentielles ? La société est-elle réellement protégée de ce prédateur multirécidiviste ?
Agressions de femmes : un fléau qui s’amplifie
Cette affaire n’est malheureusement pas un cas isolé. À Berlin, les agressions sur les femmes se multiplient dans les transports en commun, au point que beaucoup les jugent trop dangereux. Les femmes sont aussi de plus en plus victimes d’agressions sexuelles par des chauffeurs Uber ou de taxi.
Aux États-Unis, l’administration Biden promeut de nouvelles réglementations sur les discriminations d’identité de genre à l’école. Des mesures controversées qui donneraient par exemple accès aux toilettes des filles à un individu s’identifiant comme tel. Le débat fait rage et divise profondément le pays.
Une immigration incontrôlée, source de dangers
Depuis la chute du régime de Ben Ali en Tunisie, la France fait face à un afflux massif de clandestins tunisiens. Tous tentent de rejoindre des proches déjà installés, souvent dans l’illégalité. Un phénomène migratoire incontrôlé qui favorise la délinquance et l’insécurité.
Le cas de ce migrant tunisien ultraviolent est emblématique des dérives d’une politique migratoire et pénale laxiste. Déjà condamné, il aurait dû être expulsé depuis longtemps. Au lieu de cela, il bénéficie de la clémence d’une justice trop complaisante. Combien de femmes devront encore subir ses assauts avant qu’il ne soit enfin mis hors d’état de nuire ?
Il est grand temps de protéger efficacement nos concitoyennes face à ces agresseurs venus d’ailleurs. Expulsions systématiques, peines de prison ferme, contrôles aux frontières renforcés… Des mesures fortes s’imposent. La sécurité et la dignité des femmes doivent redevenir une priorité absolue.
