Avis aux cinéphiles fans d’univers décalés ! En mars 2025, la Cinémathèque française met les petits plats dans les grands pour célébrer l’un des réalisateurs les plus atypiques de sa génération : Wes Anderson. Au programme, une rétrospective inédite avec accessoires, costumes et révélations sur les secrets de fabrication de ses films cultes. L’occasion en or de se plonger dans l’imaginaire si particulier de ce cinéaste hors normes.
L’esthétique Anderson à l’honneur
Avec ses plans léchés, ses couleurs saturées, sa direction artistique ultra-graphique et son humour pince-sans-rire, Wes Anderson s’est forgé un style immédiatement reconnaissable. Des Tenenbaums au Grand Budapest Hotel, ses films semblent tout droit sortis de photos vintage savamment composées. L’expo de la Cinémathèque nous plonge au cœur de cet univers si singulier.
Dans les coulisses de ses tournages
Conçue avec la complicité de Wes Anderson himself, la rétrospective lève le voile sur les secrets de fabrication de ses films. Décors, costumes, accessoires… Une mine d’or pour les fans ! On pourra notamment admirer :
- Les tenues rétro si distinctives
- Le fameux chariot à pâtisseries du Grand Budapest Hotel
- Des croquis et storyboards des scènes les plus emblématiques
Cette expo offre un regard sans précédent sur l’univers de Wes Anderson et célèbre son influence durable sur le cinéma contemporain.
– La Cinémathèque française
Paris, terrain de jeu favori
Le réalisateur voue un amour particulier à la France, où il a tourné plusieurs fois. En 2018, il transforme Angoulême en studio à ciel ouvert pour The French Dispatch, véritable déclaration à la presse hexagonale. Anderson savoure l’architecture et l’atmosphère de nos contrées, qui collent si bien à son esthétique vintage et son goût pour le raffinement.
Préparez-vous à un grand bol d’excentricité façon Anderson du 19 mars au 27 juillet 2025 ! Les fans londoniens pourront aussi profiter d’une version revisitée de l’expo au Design Museum dans la foulée. Voilà une belle manière de patienter avant son prochain délire.
